1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
1 en 1776 : « La constitution de Neuchâtel est une monarchie limitée, dont la machine est mise en mouvement par des ressorts si dé
2 le Procureur général de Rougemont… considérait la monarchie comme fatalement condamnée » (II. 242). « Il jugeait ridicule et dang
2 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
3 italienne et allemande, succédant à la chute des monarchies ont consacré l’avènement d’une civilisation de vitesse, de machines e
3 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
4 ement — ne fût-ce que par l’exemple des actuelles monarchies protestantes — que la position nationaliste. Il y a dans le nationali
4 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
5 sur une tradition de centralisme instituée par la monarchie . Il s’agissait surtout, pour eux, d’activer le processus amorcé, d’éc
5 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
6 sur une tradition de centralisme instituée par la monarchie . Il s’agissait surtout, pour eux, d’activer le processus amorcé, d’éc
6 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
7 ts. Il insiste à maintes reprises sur le fait que monarchies , oligarchies et républiques sont également voulues de Dieu et doivent
8 aussi disparates que possible : d’abord les cinq monarchies protestantes du Nord : Scandinavie, Pays-Bas, Angleterre ; puis l’uni
9 Scandinavie, Pays-Bas, Angleterre ; puis l’unique monarchie catholique, celle des Belges ; les quatre monarchies orthodoxes des B
10 narchie catholique, celle des Belges ; les quatre monarchies orthodoxes des Balkans ; deux républiques démocratiques seulement, la
7 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
11 ts. Il insiste à maintes reprises sur le fait que monarchies , oligarchies et républiques sont également voulues de Dieu et doivent
12 aussi disparates que possible : d’abord les cinq monarchies protestantes du Nord : Scandinavie, Pays-Bas, Angleterre ; puis l’uni
13 Scandinavie, Pays-Bas, Angleterre ; puis l’unique monarchie catholique, celle des Belges ; les quatre monarchies orthodoxes des B
14 narchie catholique, celle des Belges ; les quatre monarchies orthodoxes des Balkans ; trois républiques démocratiques seulement, l
8 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
15 ts. Il insiste à maintes reprises sur le fait que monarchies , oligarchies et républiques sont également voulues de Dieu et doivent
16 aussi disparates que possible : d’abord les cinq monarchies protestantes du Nord : Scandinavie, Pays-Bas, Angleterre ; puis l’uni
17 Scandinavie, Pays-Bas, Angleterre ; puis l’unique monarchie catholique, celle des Belges ; les quatre monarchies orthodoxes des B
18 narchie catholique, celle des Belges ; les quatre monarchies orthodoxes des Balkans ; trois républiques démocratiques seulement :
9 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
19 publique, presse libre, meetings, conférences. La monarchie était fondée sur le rite, les formules consacrées, la cérémonie plast
10 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
20 en manuel les maximes de l’astuce sociale sous la monarchie absolue. Mr. Dale Carnegie nous apprend pour sa part comment gagner n
11 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
21 publique, presse libre, meetings, conférences. La monarchie était fondée sur le rite, les formules consacrées, la cérémonie plast
12 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
22 en manuel les maximes de l’astuce sociale sous la monarchie absolue. Mr. Dale Carnegie nous apprend pour sa part comment gagner n
13 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
23 publique, presse libre, meetings, conférences. La monarchie était fondée sur le rite, les formules consacrées, la cérémonie plast
14 1948, Suite neuchâteloise. III
24 en 1776 : « La constitution de Neuchâtel est une monarchie limitée, dont la machine est mise en mouvement par des ressorts si dé
25 le Procureur général de Rougemont… considérait la monarchie comme fatalement condamnée » (II. 242). « Il jugeait ridicule et dang
15 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
26 terre de la liberté ». Par rapport à l’Europe des monarchies jésuites et des lettres de cachet, la Suisse aristocratique et républ
16 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
27 phrase célèbre : « Le gouvernement russe est une monarchie absolue tempérée par l’assassinat. » Sous Catherine, l’aspect généra
17 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur le rêve des sciences (décembre 1956)
28 rence dans la souveraineté nationale d’innocentes monarchies populaires. Mais voici que Madariaga nous met en mesure de découvrir
18 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
29 artre, introduisant une longue diatribe contre la monarchie nouvelle, s’en prenne d’abord à la croyance en Dieu ? « Il est normal
30 approuvent encore.   Problème particulier d’une monarchie française. — Personne ne peut douter que la Ve République soit une fo
31 eut douter que la Ve République soit une forme de monarchie très voisine de l’américaine. Comme cette dernière, elle demeure élec
32 holique dans ce pays. On observe en effet que les monarchies sacrées, fondées sur le rite catholique, ont été renversées dans tout
33 tants, ignorant le cléricalisme, ont conservé des monarchies incontestées, fort bien admises par leurs fréquentes majorités de gau
34 , luthérienne dans les trois pays scandinaves, la monarchie paraît s’accommoder d’un sens civique qu’on est en droit de dire « ad
35 une France anticléricale et catholique un type de monarchie qui, jusqu’ici, n’a fait ses preuves que chez les hérétiques ? 71.
19 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
36 de la démocratie directe (cantons primitifs) à la monarchie (principauté de Neuchâtel) en passant par les systèmes les plus compl
20 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
37 le monde serait une république américaine ou une monarchie universelle russe. La déprimante prophétie ! … Quelle perspective ! D
38 car elle ne peut devenir que l’avant-garde de la monarchie universelle de la Russie. Et Petőfi, dans son poème de 1848 intitulé
21 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
39 aut agir. À la faveur du libéralisme de la Double Monarchie , un Conseil national polonais vient d’être fondé par un groupe de pat
40 ogne autonome qui se joindrait, comme « troisième Monarchie  », à l’Empire austro-hongrois. Enfin, l’Autriche, puissance catholiqu
22 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
41 des États, qui ne saurait mener qu’au chaos. Une monarchie unique, ordonnant (mais sans l’uniformiser) une Société universelle d
42 bonne existence du monde exige l’existence de la Monarchie ou de l’Empire.58 Entre deux princes, dont l’un n’est nullement soum
43 le divin Auguste monarque, alors qu’existait une Monarchie parfaite. Que le genre humain fût alors heureux, au milieu de la tran
44 rre Dubois (env. 1250-1320) Contemporain de la Monarchie (1308), l’essai de Pierre Dubois (1306) s’en distingue par un empiris
45 n admise par la plupart de ses contemporains : la monarchie universelle, qu’il ne croit pas réalisable. Je ne crois pas qu’un ho
46 onde politique dans lequel il vit. Il voit que la monarchie universelle n’est plus possible ; que le problème qui se pose, c’est
47 son introduction à la traduction française de la Monarchie , Felix Alcan, Paris, 1933, qu’on va citer. 57. De Monarchia, I, 4.
23 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
48 t, en 1558, que reste-t-il de ce grand rêve d’une monarchie universelle dont le foyer eût été l’Europe unie ? Tout s’est défait,
49 rties du monde, il n’y eut qu’une ou deux grandes monarchies et peu de républiques ; tandis qu’en Europe il y eut beaucoup de répu
50 es tire de leur obscurité, qu’ils vivent dans une monarchie ou dans une république. Ainsi plus il y a d’États, plus il y a de gra
51 nt plus nombreux dans une république que dans une monarchie . Dans l’une la vertu est presque toujours honorée, dans l’autre elle
52 r eut vaincu toutes les républiques et toutes les monarchies de l’Europe, de l’Afrique, et la plupart de celles de l’Asie, Rome re
53 ne peut toutefois l’imaginer qu’à l’instar de la Monarchie de Dante, qui lui semble idéale mais utopique ; il faut donc se rabat
54 uissances : D’aucuns sont effrayés par le mot de Monarchie universelle, que certains paraissent ambitionner… Certes, la Monarchi
55 , que certains paraissent ambitionner… Certes, la Monarchie serait la meilleure des choses, s’il se trouvait un prince semblable
24 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — « Têtes de Turcs »
56 l’hébreu et du grec en arabe.) Postel croit à la Monarchie universelle, mais non pas à la manière de Dante. Ayant longuement séj
25 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
57 un ne se communiquent aux autres. Faut-il que les monarchies s’établissent par massacres et boucherie ?… Mais supposons que la gue
58 sons que la guerre fut nécessaire pour fonder les monarchies . Aujourd’hui qu’elles sont establies, il n’est plus besoing à ceux qu
59 joinct aussi qu’il est proche des plus signalées Monarchies de la terre, de celles du pape, des deux empereurs, et du roy d’Hespa
60 s d’entretenir la paix particulièrement en chaque monarchie . Il y en a d’autres plus universels, qui concernent la bonne intellig
61 ales Économies » : L’Europe sera composée de : 5 monarchies électives : le Saint-Empire romain germanique, les États du pape, la
62 du pape, la Pologne, la Hongrie et la Bohême ; 6 monarchies héréditaires : la France, l’Espagne, l’Angleterre, le Danemark, la Su
63 ompt & suffisant secours aux princes dans les Monarchies , & aux Magistrats dans les Républiques, contre les Séditieux &
26 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
64 On reconnaît ici les thèses fondamentales de la Monarchie de Dante. Par ailleurs, la sympathie qu’éprouvait ce luthérien pour l
65 mmes, domine partout en Europe ; là de puissantes monarchies entretiennent une civilisation des plus évoluées. Sans doute trouvera
66 nt-cinquante ans de la Suède et du Danemark — des monarchies gouvernées aristocratiquement, mais avec le temps et si les événement
67 ont point obstacle au cour naturel des choses, la monarchie véritable finira par s’établir dans ces pays. Dans cette partie du mo
27 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
68 conquérant l’Empire romain, fondèrent partout la monarchie et la liberté. Je ne sais si le fameux Rudbeck, qui, dans son Atlanti
69 : Presque tous les petits états, républiques et monarchies indifféremment, prospèrent par cela seul qu’ils sont petits, que tous
70 Jean Bodin, cf. p. 77. Dans les Réflexions sur la Monarchie universelle en Europe : « L’Europe n’est plus qu’une nation composée
28 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
71 es ont acquis de l’ordre et de la stabilité ; les monarchies ont adopté des maximes de liberté, ou au moins de modération ; et les
29 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
72 ’âge d’or, de la barbarie, de la justice et de la monarchie . Non, Européens, que notre enfance, notre ignorance et notre stupidi
73 version renouvelée du vieux mythe effrayant de la Monarchie universelle : « L’Europe soumise à un seul gouvernement — cette seule
74 confondues dans le despotisme, là où prévalait la monarchie . Dans les rares contrées qui avaient rejeté cette dernière, l’esprit
75 qui avaient rejeté cette dernière, l’esprit de la monarchie européenne subsistait. On y trouvait encore les états, c’est-à-dire l
76 t dans ces communautés républicaines que sous les monarchies . De toutes ces sources s’était composé un système de mœurs et d’éduca
30 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
77 Démiurge de la civilisation », fondateur de la «  monarchie européenne » et « source de la souveraineté de l’Europe ». Mais comme
31 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
78 raisonnable avec l’unité d’ensemble d’une grande monarchie collective… Dans la première monarchie allemande, le besoin d’un gouv
79 une grande monarchie collective… Dans la première monarchie allemande, le besoin d’un gouvernement indigène, résidant dans le pay
32 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
80 chain du monde, qui sera République américaine ou Monarchie universelle russe, — la décourageante prophétie !… Ce rêve n’est pas
81 car elle ne peut devenir que l’avant-garde de la monarchie universelle de la Russie.199 Et Petöfi, dans son poème de 1848 inti
82 de principautés microscopiques et de deux grandes monarchies . Qu’est-ce qui convenait dans l’hypothèse d’une guerre en France ? Ce
83 e ? Ce qui convenait à la Russie, c’était que ces monarchies fussent absolues, et ces deux monarchies furent absolues. Voilà, mess
84 que ces monarchies fussent absolues, et ces deux monarchies furent absolues. Voilà, messieurs, comment il est arrivé que l’influe
33 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
85 ncevait comme l’union des proscrits de toutes les monarchies , l’autrichienne, la française, puis l’italienne elle-même dès son avè
86 inguent, ex æquo, les démocraties impériales, les monarchies constitutionnelles et les républiques unitaires. Sa loi fondamentale,
87 ystème fédératif, une confédération entre grandes monarchies , à plus forte raison entre démocraties impériales, est chose impossib
34 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
88 le monde sera sous peu « République américaine ou Monarchie universelle russe », et que l’Europe ne peut pas s’opposer à un chef
35 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
89 est en lui et à ne pas se livrer sans un mot aux monarchies ou théocraties mondiales, comme c’est le cas en Orient. Si on se plac
36 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
90 lu, même le danger. Dans toutes les parties de la monarchie , vos compatriotes ont été gagnés par le nationalisme ; cela avait déj
37 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
91 e est simple : il préconise l’établissement d’une monarchie universelle, seule capable, en bonne logique, d’arbitrer les litiges
92 centre omnipotent. Curieuse réplique laïque de la monarchie universelle de Dante, à la différence près que cette utopie devrait ê
38 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
93 itiques, sociaux et économiques. La féodalité, la monarchie , la distinction des classes, le capitalisme étaient tombés les uns ap
39 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
94 me des tsars. J’observe au surplus que les seules monarchies demeurées stables en Europe sont les protestantes (Suède, Norvège, Da
40 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « L’histoire suisse commence avec Guillaume Tell »
95 fédération républicaine survit à la fédération de monarchies qui fut le chef-d’œuvre des Habsbourg. ⁂ Les unités ou formations di
41 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Le pacte de 1291 a fondé la Suisse »
96 : ainsi le fait pour Neuchâtel de rester la seule monarchie au sein de la Confédération. Vient un moment où il faut choisir. L’ég
42 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Ce petit peuple égalitaire… »
97 les rois de Prusse. Ce régime très particulier de monarchie républicaine ne fut renversé qu’en 1848. À Genève, Zurich et Bâle, an
43 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les institutions et la vie politique
98 lui l’un des plus anciens de l’Europe — après les monarchies anglaise, néerlandaise, danoise et suédoise — et probablement le plus
99 lle et de cohésion nationale lui font défaut : la monarchie , la langue unique, l’homogénéité ethnique, la religion dominante, ou
44 1967, Articles divers (1963-1969). Au-delà des nations (1967)
100 és collégiales — s’opposa durant des siècles à la monarchie autoritaire et belliqueuse — créant ainsi la première civilisation eu
45 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
101 les têtes ! » s’écrie Dante dans son traité De la Monarchie , appel désespéré, et qui restera vain, à l’empire condamné et bafoué.
102 civique intense, s’opposa durant des siècles à la monarchie autoritaire et belliqueuse, créant ainsi la première civilisation eur
46 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
103 les têtes ! » s’écrie Dante dans son traité de La Monarchie , appel désespéré, et qui restera vain, à l’Empire condamné et bafoué.
104 ivique intense — s’opposa durant des siècles à la monarchie autoritaire et belliqueuse — créant ainsi la première civilisation eu
47 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
105 les têtes ! » s’écrie Dante dans son traité De la Monarchie , appel désespéré, et qui restera vain, à l’Empire condamné et bafoué.
106 es, trop petits, ni les nationalités de la double monarchie d’antan ou de l’URSS d’aujourd’hui, ni les « States » de l’Amérique d
107 civique intense, s’opposa durant des siècles à la monarchie autoritaire et belliqueuse, créant ainsi la première civilisation eur
48 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). Quelques exemples d’engagements, du Moyen Âge jusqu’à nous
108 ge est aussi le plus engagé politiquement : De la Monarchie est un pamphlet gibelin de très haut vol, mais la Comédie, quoique in
49 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
109 qui ont fait, au cours des siècles, la force des monarchies de droit divin. À savoir : le secret, qu’on pressent menaçant, et le
110 pays, nostalgiques sans jamais se l’avouer de la monarchie absolue, se livrent à l’empire de ces structures obscurément ressenti
50 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La clé du système ou l’État-nation
111 l’avaient fait de l’économie mercantile sous les monarchies absolues. Ils ont développé cette industrie en lui offrant des marché
112 t ses ministres durant les derniers siècles de la monarchie , 1912. 67. Cf. Pierre Maugué, « Les notions de nation et d’État », d
51 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
113 lque peu cynique. Et ce n’est pas tellement cette monarchie de fait qui empêcherait la commune d’être par excellence le lieu de l
52 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
114 nalisation, au lendemain de la restauration de la monarchie libérale, est sans doute exemplaire, et la meilleure annonciatrice du
53 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Annexes
115 nalisation, au lendemain de la restauration de la monarchie libérale, est sans doute exemplaire, et la meilleure annonciatrice du
54 1981, Articles divers (1978-1981). Guy de Pourtalès l’Européen [préface] (1981)
116 français et sa descendance, les autres envers la monarchie prussienne. (Chaque mouche a son ombre, p. 21.) Or la France et l’Al
55 1982, Articles divers (1982-1985). L’Europe une et diverse : la contribution des cultures nationales [commentaires] (1982)
117 e l’Espagne. Nous avons vu qu’elle a eu plusieurs monarchies , que la « monarchie espagnole » est multiple, pluraliste, c’est-à-dir
118 ns vu qu’elle a eu plusieurs monarchies, que la «  monarchie espagnole » est multiple, pluraliste, c’est-à-dire qu’elle comporte d
56 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
119 nt) ou « trois sortes de républiques, à savoir la monarchie , l’aristocratie et la démocratie : la monarchie s’appelle quand un se
120 a monarchie, l’aristocratie et la démocratie : la monarchie s’appelle quand un seul a la souveraineté et que le reste du peuple n
121 onseils de l’Empire, puis aux ministres des trois monarchies et des cinq républiques qui ont tenu son rôle en France jusqu’à nos j
122 bord « le passage d’une souveraineté relative, la monarchie féodale », bornée par trois sortes de lois : « les loys de Dieu, les
57 1984, Cadmos, articles (1978–1986). Conclusions (été-automne 1984)
123 ope morcelée du Moyen Âge, Byzance est restée une monarchie centralisée où les doctrines politiques de l’empire et le culte de l’
58 1984, Articles divers (1982-1985). Le Patrimoine européen [conclusion] (1984)
124 la Hongrie, la Vienne au crépuscule de la double monarchie , jusqu’à rejoindre l’Europe de l’Ouest et ses problèmes actuels de dé
59 1988, Inédits (extraits de cours). « L’heure est venue. Allons-y » [préface d’Alexandre Marc]
125 siècle, de l’État totalitaire ? Ordre régalien, monarchie absolue, colbertisme, jacobinisme, bonapartisme, république une et in