1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
1 nts », où l’on est en droit de voir le germe d’un moralisme nouveau qui se fonderait solidement sur les données modernes de la ps
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
2 maison on nous croyait peut-être enfermés dans un moralisme étriqué, ennuyeux et consciencieusement arriérés. Or nous n’étions pa
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
3 jamais vous ne surprendrez dans ses yeux rien du moralisme glacial des « honnêtes gens », ni rien du dogmatisme haineux des comm
4 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
4 ise doit-elle nous rendre ce courage léger. Le moralisme nous trahit Partons du cas concret de nos trois auteurs. Le problè
5 rop volontiers souffert que l’on nous attribue un moralisme tout semblable à celui des athées, — au lieu qu’il eût fallu du premi
6 le se réduit, aux yeux de nos contemporains, à un moralisme libéral. Nous savons ce qu’une telle vue a d’injuste, c’est-à-dire d’
7 a poésie et du rayonnement spirituel notre fameux moralisme , traître à ses origines, et vidé de toute théologie efficace. Peut-êt
8 étique aux résonances profondes : Milton. Mais le moralisme détendu que la théologie libérale prétendit conserver, fut bientôt ré
9 le fondement de sa croyance34. Or nous voyons le moralisme se développer précisément à l’époque où la théologie de Calvin, pessi
10 éactions irrécusables et célèbres que provoqua le moralisme perverti. Il eût conduit le protestantisme à la négation absolue de s
11 au nom d’une foi positive que l’on attaque ici le moralisme survivant, c’est au nom d’une grande espérance. Que devons-nous atten
12 t toujours aux œuvres nées sous le signe fatal du moralisme . La grande poésie naît du tragique et de la joie surabondante : verro
13 oient les opinions qu’ils adoptèrent vis-à-vis du moralisme . Qu’on me comprenne : ce n’est pas à eux que j’en ai, mais à ce dont
5 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
14 ire du xixe , mais d’incarnation de la pensée. Ni moralisme , ni socialisme. ⁂ Moralisme. Il y a des gens qui disent : j’ai tel
15 on de la pensée. Ni moralisme, ni socialisme. ⁂ Moralisme . Il y a des gens qui disent : j’ai tel idéal de véracité, de justice,
6 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
16 contrôler la naissance des idées dangereuses, ce moralisme qui préfère la stérilité au risque. Les petits purs sont tout simplem
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
17 ofondeur d’une telle révolution dans la patrie du moralisme à la fois puritain et bourgeois. Et certes je suis loin de proposer q
8 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
18 ncier ne pourra plus être longtemps masqué par le moralisme bourgeois ou « quinquennal ». Il n’y aura jamais de liberté possible,
9 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
19 ffisance radicale de l’humanisme, du piétisme, du moralisme , du spiritualisme, de l’historicisme, de tout ce qui est œuvre de l’h
10 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
20 eurs hasardeuses, ou périmées, ou anarchiques. Le moralisme était populaire, il est mort. L’immoralisme qui lui a succédé reste s
11 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
21 gique. Il évoque un certain humanisme, un certain moralisme , un certain optimisme évolutionniste, tout un ensemble de doctrines q
12 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
22 ncier ne pourra plus être longtemps masqué par le moralisme bourgeois ou « quinquennal ». Il n’y aura jamais de liberté possible,
13 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
23 gique. Il évoque un certain humanisme, un certain moralisme , un certain optimisme évolutionniste, tout un ensemble de doctrines q
14 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
24 ncier ne pourra plus être longtemps masqué par le moralisme bourgeois ou « quinquennal ». Il n’y aura jamais de liberté possible,
15 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
25 r sur l’intention qui relève du général. Ainsi le moralisme fut une doctrine abstraite du concret. Mais ses racines plongent dans
16 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
26 écrire dans la seconde partie de cet ouvrage.)   Moralisme . — La morale est identiquement soumise dans les deux cas à l’édificat
27 du Parti, ou certaines rancunes personnelles. Le moralisme le plus agressif trouvera toujours l’appui de la police au début. Un
17 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
28 écrire dans la seconde partie de cet ouvrage.)   Moralisme  : La morale est identiquement soumise dans les deux cas à l’édificati
29 du Parti, ou certaines rancunes personnelles. Le moralisme le plus agressif trouvera toujours l’appui de la police au début. Un
18 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
30 arguments des romantiques, qui valent contre leur moralisme  ; et les croyants aux arguments de saint Paul, qui valent contre leur
19 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
31 arguments des romantiques, qui valent contre leur moralisme  ; et les croyants aux arguments de saint Paul, qui valent contre leur
20 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
32 lités. Notre danger intime et permanent, c’est le moralisme , le culte de nos vertus utilisées pour des fins purement humaines. À
21 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
33 arguments des romantiques, qui valent contre leur moralisme  ; et les croyants aux arguments de saint Paul, qui valent contre leur
22 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
34 arguments des romantiques, qui valent contre leur moralisme  ; et les croyants aux arguments de saint Paul, qui valent contre leur
23 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
35 lvin considère comme hérétiques : libre examen et moralisme . Du libre examen, Gide conserve son exigence de vérité et de véracité
36 vérité et de véracité « advienne que pourra ». Du moralisme , il a gardé sans doute une propension fondamentale à préférer à la le
37 s les adjonctions « humaines — trop humaines » du moralisme néo-protestant et du dogmatisme romain. D’où son horreur congénitale
24 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
38 aire ici, après tant d’autres, le procès de notre moralisme intolérant. Qu’il me suffise de remarquer que si nous étions plus chr
25 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Dieu premier servi » (26 avril 1940)
39 » plutôt déiste qu’évangélique ; elles prônent un moralisme plutôt bourgeois que charitable ; elles ont une façon d’exalter la cr
26 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
40 lités. Notre danger intime et permanent, c’est le moralisme , le culte de nos vertus utilisées pour des fins purement humaines. À
27 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
41 aire ici, après tant d’autres, le procès de notre moralisme intolérant. Qu’il me suffise de remarquer que si nous étions plus chr
42 terai : je connais bien des protestants que notre moralisme simpliste, notre méfiance à l’égard de toute rigueur théologique, not
43 n » plutôt déiste qu’évangélique ; ils prônent un moralisme plutôt bourgeois que charitable ; et ils ont une façon d’exalter la c
28 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
44 lités. Notre danger intime et permanent, c’est le moralisme , le culte de nos vertus utilisées pour des fins purement humaines. À
29 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
45 lvin considère comme hérétiques : libre examen et moralisme . Du libre examen, Gide a conservé son exigence de vérité et de véraci
46 vérité et de véracité « advienne que pourra ». Du moralisme , il a gardé sans doute une propension fondamentale à préférer à la le
47 s les adjonctions « humaines — trop humaines » du moralisme néo-protestant et du dogmatisme romain. D’où son horreur congénitale
30 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
48 r sur l’intention qui relève du général. Ainsi le moralisme fut une doctrine abstraite du concret. Mais ses racines plongent dans
31 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
49 mateurs faisait place, chez les protestants, à un moralisme centré sur l’homme. Tout tranquillement, et pour sauver leur corps, l
32 1946, Réforme, articles (1946–1980). Spiritualité américaine (19 octobre 1946)
50 société n’est possible. Il ne s’agissait pas de «  moralisme  » (les ismes n’apparaissaient qu’une fois le combat rompu) ni « d’éva
33 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
51 ofondeur d’une telle révolution dans la patrie du moralisme à la fois puritain et bourgeois. Et certes je suis loin de proposer q
34 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
52 nant une certaine régression politique préalable ( moralisme d’État) de quelques années. Je n’y ai plus ma place avant longtemps.
35 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le mauvais temps qui vient
53 ofondeur d’une telle révolution dans la patrie du moralisme à la fois puritain et bourgeois. Et certes je suis loin de proposer q
36 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
54 et quelque peu pédant, substitué aux préjugés du moralisme , mais aussi du libertinage ; fuite générale devant l’intensité et les
37 1947, Articles divers (1946-1948). L’opportunité chrétienne (1947)
55 ateurs faisait place, chez, les protestants, à un moralisme centré sur l’homme. Tout tranquillement, et pour sauver leur corps, l
38 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
56 société n’est possible. Il ne s’agissait pas de «  moralisme  » (les ismes n’apparaissent qu’une fois le combat rompu) ni « d’évang
39 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
57 et quelque peu pédant, substitué aux préjugés du moralisme , mais aussi du libertinage ; fuite générale devant l’intensité et les
40 1949, Le Semeur, articles (1933–1949). « Les protestants et l’esthétisme » (février-mars 1949)
58 ans sa pureté, dépasse notoirement l’antinomie du moralisme et de l’esthétique : ce dépassement constitue même l’essence de son œ
41 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
59 un peu étroit, un certain utilitarisme à base de moralisme , et un besoin méfiant de certitudes tangibles, ont pu favoriser le dé
60 de prudence et de science, de matérialisme et de moralisme , de méfiance devant le destin et de hardiesse dans l’invention pratiq
42 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
61 de près, l’on s’aperçoit que cette réputation de moralisme prêcheur tient davantage à la légende d’une Suisse calviniste, qu’à l
43 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
62 ormes « hérétiques » de la religion initiale : le moralisme américain et le bouddhisme zen, tous deux antimystiques. Historiqueme
44 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
63 ormes « hérétiques » de la religion initiale : le moralisme américain et le bouddhisme zen, tous deux antimystiques. Historiqueme
45 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
64 it : c’est le plus court chemin vers l’Europe. Le moralisme abstrait mais péremptoire qui anime ce genre de discussions en France
46 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 3. L’opportunité chrétienne
65 ateurs faisait place, chez, les protestants, à un moralisme centré sur l’homme. Tout tranquillement, et pour sauver leur corps, l
47 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les paradoxes de la vie économique
66 un peu étroit, un certain utilitarisme à base de moralisme , et un besoin méfiant de certitudes tangibles ont pu favoriser le dév
48 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
67 sol contraignant à l’ingéniosité fabricatrice, le moralisme , le civisme et le piétisme protestants inclinant les esprits les plus
68 pitre des indignations morales qu’ils opposent au moralisme « embourgeoisé » et « hypocrite » des « soi-disant chrétiens ». Toute
69 la critique de l’utilitarisme, du neutralisme, du moralisme suisses s’exprime par les « Questions » sans espoir de Ramuz, par les
49 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
70 peut ou doit dire encore, et au nom de quoi. Le «  moralisme de grand-papa » est encore plus mal vu chez les théologiens rigoureux
71 de ce progrès de la Science sur tous les fronts, moralisme et immoralisme, vertus et vices apparaissent également démodés. Ce qu
50 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
72 ninisme et de certaines traditions chinoises d’un moralisme utilitaire des plus simplets : voyez le Petit Livre rouge. Un mélange
51 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — L’Europe contestée par elle-même
73 provoquer des explosions ; aux USA, voilée par un moralisme et un civisme plus vivaces, elle tend plutôt à provoquer un abaisseme
52 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Pronostics 1969 (une interview)
74 isme15, et de certaines traditions chinoises d’un moralisme utilitaire des plus simplets : voyez le Petit Livre rouge. Lorsque le
53 1975, Articles divers (1974-1977). Notre complexe de culpabilité (1975)
75 pitre des indignations morales qu’ils opposent au moralisme « embourgeoisé » et « hypocrite » des « soi-disant chrétiens ». Toute
76 la critique de l’utilitarisme, du neutralisme, du moralisme suisses s’exprime par les Questions sans espoir de Ramuz, par les vir
54 1977, Articles divers (1974-1977). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous ! (1977)
77 nte, et celui qui nie qu’elle soit nécessaire… Le moralisme donne une réponse universelle et inefficace, là où la foi pose une qu
55 1981, Articles divers (1978-1981). Hérétiques de toutes les religions, unissez-vous (1981)
78 nte, et celui qui nie qu’elle soit nécessaire… Le moralisme donne une réponse universelle et inefficace, là où la foi pose une qu