1 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
1 devant mes yeux : l’image d’un clerc en vêtements moyenâgeux circulant dans les perspectives d’un tableau de maître italien. La so
2 termes de chrétien et de cité, qui, dans l’image moyenâgeuse me paraissaient se correspondre et s’ordonner si simplement, me sembl
3 l’image que je vous donnais en débutant du clerc moyenâgeux dans la cité thomiste, j’opposerai une image moderne, qui est aussi c
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
4 ceptique et purificatrice soutient la bourgeoisie moyenâgeuse dans sa lutte contre les tabous d’une féodalité qui se survit. Là enc
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
5 vec violence contre toute conception ascétique ou moyenâgeuse de la vie : « Nous condamnons tous les systèmes d’éducation qui se fo
4 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
6 ceptique et purificatrice soutient la bourgeoisie moyenâgeuse dans sa lutte contre les tabous d’une féodalité qui se survit. Là enc
5 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
7 vec violence contre toute conception ascétique ou moyenâgeuse de la vie : « Nous condamnons tous les systèmes d’éducation qui se fo
6 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
8 cles, il a plu au diable de revêtir une apparence moyenâgeuse qui le rend inoffensif aux yeux de la plupart d’entre nous. Car si le
7 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable I : « Je ne suis personne » (15 octobre 1943)
9 cles, il a plu au diable de revêtir une apparence moyenâgeuse qui le rend inoffensif aux yeux de la plupart d’entre nous. Car si le
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
10 s hommes de science, nés dans ses vieilles villes moyenâgeuses , formés dans ses vieilles universités, toujours en tête de la connais