1 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
1 ec les siens. Vous retournez une toile appuyée au mur , c’est un Renoir… Retournez-en une autre, ce doit être un dessin d’ho
2 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
2 II Je ne sais pas où tu m’entends mais ces hauts murs d’ombre et de vent autour du monde où nous vivons parquent les visage
3 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
3 ire, et quand les fondations furent achevées, les murs s’élevèrent, et quand tout fut terminé, l’on interdit l’entrée du pal
4 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
4 ller… Est-ce ici ? Je regarde autour de moi : des murs sans yeux dominent des baraques éparses dans une brousse où s’engage
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
5 soir étouffant, vous m’avez montré en passant des murs brunis qui rougeoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des roses
6 à une plate-forme dallée, surchauffée, entre des murs assez hauts dont l’un est peut-être la façade d’une chapelle ; mais l
7 ensemble des constructions. C’est là qu’on entre. Murs nus. Un catafalque de bois, au milieu, recouvert d’un très beau tapis
8 t racontée sur un papier jauni encadré et fixé au mur . Gül Baba est le dernier héros musulman qui ait fait parler de lui en
9 énétrons dans une grande salle vivement éclairée. Murs chaulés, et de nouveau de hautes voûtes. Une banquette longe trois de
10 elle), nous inscrivons nos noms au charbon sur le mur chaulé, Gachot prend des photos, Gyergyai fouille la plaine à la long
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
11 ouvelles routes. On nous connaît mal. Derrière le mur de notre maison on nous croyait peut-être enfermés dans un moralisme
12 s enthousiasmes en désordre s’agitaient entre les murs d’où nous arrachions les moulures et les vieux papiers à fleurs. La c
7 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
13 soir étouffant, vous m’avez montré en passant des murs brunis qui rougeoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des roses
14 t à une plate-forme dallée, surchauffée entre des murs assez hauts dont l’un est peut-être la façade d’une chapelle ; mais l
15 ensemble des constructions. C’est là qu’on entre. Murs nus. Un catafalque de bois, au milieu, recouvert d’un très beau tapis
16 t racontée sur un papier jauni encadré et fixé au mur . Gül Baba est le dernier héros musulman qui ait fait parler de lui en
17 énétrons dans une grande salle vivement éclairée. Murs chaulés, et de nouveau de hautes voûtes. Une banquette longe trois de
18 elle), nous inscrivons nos noms au charbon sur le mur chaulé, Gachot prend des photos, Gyergyai fouille la plaine à la long
8 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
19 ller… Est-ce ici ? Je regarde autour de moi : des murs sans yeux dominent des baraques éparses dans une brousse où s’engage
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
20 soir étouffant, vous m’avez montré en passant des murs brunis qui rougeoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des roses
21 à une plate-forme dallée, surchauffée, entre des murs assez hauts dont l’un est peut-être la façade d’une chapelle ; mais l
22 nsemble des constructions. C’est là qu’on entre. Murs nus. Un catafalque de bois, au milieu, recouvert d’un très beau tapis
23 t racontée sur un papier jauni encadré et fixé au mur . Gül Baba est le dernier héros musulman qui ait fait parler de lui en
24 énétrons dans une grande salle vivement éclairée. Murs chaulés, et de nouveau de hautes voûtes. Une banquette longe trois de
25 elle), nous inscrivons nos noms au charbon sur le mur chaulé, Gachot prend des photos, Gyergyai fouille la plaine à la long
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
26 umière orangée vient râper doucement le crépi des murs bas, sur la terrasse toute voisine. Un autre jour, le même amour, mai
27 au-dessus des toits bleus, des toits roux et des murs couleur du temps, où quelques taches de rose clair ou de noir achèven
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
28 ce qui vient. Et voici les brumes sur le lac, les murs de vignes séculaires, et ce toit qui demande aux voyageurs, en grande
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
29 rsemés de sapins majestueux et coupés çà et là de murs bas faits de grosses pierres entassées avec art. Nous passions les cl
13 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
30 iculière. Cela ne se passe point entre les quatre murs d’une chambrette, ou dans les rêveries d’un cerveau délicat. Nous dis
14 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
31 groupe, agonise au fond d’une tranchée, sous les murs du fort de Capocabana, il a soudain la vision d’une Allemagne future
15 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
32 e du culte (qui ne peut être célébré que hors les murs , et qui souffre partout des pires vexations), il ne fait pas droit da
16 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
33 ef du groupe, agoniser dans une tranchée sous les murs d’un fort brésilien. Et la haute statue de Pillau, le ministre d’Alle
17 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
34 s, l’arrivée du Führer. Et au-dehors, battant les murs de la halle, cent-mille hommes et femmes attendaient sous les haut-pa
18 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
35 maison : une ancienne magnanerie, très haute, aux murs de gros moellons rougeâtres et gris non revêtus. Il y a trois pièces
36 à franges, tabourets brodés et objets d’art. Aux murs , plusieurs douzaines d’aquarelles, sous-bois et marines. Quelques tap
37 Le reflet de l’eau tremble au plafond et sur les murs verdâtres de la chambre où j’écris. Et voilà mon petit exercice de re
38 étage supérieur. 23 septembre 1934 Maintenant les murs sont nus : d’un joli vert bleu très clair. Le carreau rouge a été déb
19 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
39 gne, un jardin en terrasses, enclos de très hauts murs . À travers la grille ouvragée, on voit une profusion de fleurs violen
20 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
40 plication du cadastre en lisant affichées sur les murs de l’église les annonces de ventes immobilières. Les propriétés se co
21 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
41 s, à demi cachée par des lauriers épais. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé, qui a juste la larg
42 e plafond. Très peu de meubles, comme j’aime. Des murs blanchis ou teintés de bleu clair, des planchers rudes. Décor candide
43 ue recouverte d’une fine couche de sable. Sur les murs blanchis, quelques petites gravures anciennes, encadrées de noir, et
44 plus moi. Premières roses au soleil, le long des murs du chai. Nous déjeunons sous les tilleuls. Il y a un grand bonheur da
22 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
45 s, à demi cachée par des lauriers épais. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé qui a juste la large
46 e plafond. Très peu de meubles, comme j’aime. Des murs blanchis ou teintés de bleu clair, des planchers rudes. Décor candide
23 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
47 nouveau le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des maisons mortes. Je me glisse dans le hangar de la grosse voiture
24 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
48 qu’une bande de terre aride, portant la route, un mur qui fait digue, une haie de tamaris. À gauche, l’océan invisible derr
49 tamaris. À gauche, l’océan invisible derrière le mur  ; à droite, des marais salants avec leurs cloisons délicates contre l
25 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
50 s, à demi cachée par des lauriers épais. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé qui a juste la large
51 e plafond. Très peu de meubles, comme j’aime. Des murs blanchis ou teintés de bleu clair, des planchers rudes. Décor candide
52 tit vin, à regarder le carré de ciel pâlir et les murs qui deviennent roses. 21 novembre 1933 Le bureau de poste. — T
53 ue recouverte d’une fine couche de sable. Sur les murs blanchis, quelques petites gravures anciennes, encadrées de noir, et
54 plication du cadastre en lisant affichées sur les murs de l’église les annonces de ventes immobilières. Les propriétés se co
55 ls ont pris la chèvre, l’ont passée par-dessus le mur , et voilà ! Et pourquoi ? Pour plaisanter ! Quand j’ai été nourrir ma
56 ie, des fleurs partout, la grande lumière sur nos murs blanchis. J’ai travaillé au jardin, tous ces jours. Labouré et dessin
57 plus moi. Premières roses au soleil, le long des murs du chai. Nous déjeunons sous les tilleuls. Il y a un grand bonheur da
58 trou en forme de serrure — ou des huîtres sur les murs des écluses à poisson. Il nous a fallu trois belles heures pour rappo
59 ne table en sapin, dans une vaste pièce vide, aux murs nus et aux fenêtres ouvertes, où passent le vent, une hirondelle, les
26 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
60 maison : une ancienne magnanerie, très haute, aux murs de gros moellons rougeâtres et gris non revêtus. Il y a trois pièces
61 à franges, tabourets brodés et objets d’art. Aux murs , plusieurs douzaines d’aquarelles, sous-bois et marines. Quelques tap
62 Le reflet de l’eau tremble au plafond et sur les murs verdâtres de la chambre où j’écris. Et voilà mon petit exercice de re
63 supérieur. 23 septembre 1934 Maintenant les murs sont nus : d’un joli vert bleu très clair. Le carreau rouge a été déb
64 gne, un jardin en terrasses, enclos de très hauts murs . À travers la grille ouvragée, on voit une profusion de fleurs violen
27 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
65 et d’arbres maigres, de champs pelés et de grands murs de briques interrompus ; tranchée de la ceinture, amas de détritus, b
66 tres obscures.) Ville aérienne, où la hauteur des murs n’évoque plus les parois d’un puits sale, mais plutôt une falaise éle
28 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
67 nouveau le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des maisons mortes. Je me glisse dans le hangar de la grosse voiture
29 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
68 elle). Nous inscrivons nos noms au charbon sur le mur chaulé, Gachot prend des photos, Gyergyai fouille la plaine à la long
30 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
69 . Dans cette église baroque de Sainte-Catherine —  murs couverts d’armoiries et de cimiers vieil or, galeries de bois peintes
70 les baies ouvertes, cent-mille hommes battent les murs de la halle. Quelques femmes s’évanouissent, on les emporte, et cela
31 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
71 et sans abois lointains. On y rôde en frôlant les murs , heurtant des corps, guettant des phares sans reflet sur le macadam.
32 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
72 et sans que rien puisse la retenir, « ni tour, ni mur , ni fort chastel ». Chez Orri le forestier, ils ont plusieurs rendez-
33 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
73 on des épées », que Nicolas avait fait peindre au mur de sa cellule. Luther l’interprétait comme une prophétie contre le pa
34 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
74 et sans que rien puisse la retenir, « ni tour, ni mur , ni fort chastel. » Chez Orri le forestier, ils ont plusieurs rendez-
35 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
75 et sans que rien puisse la retenir, « ni tour, ni mur , ni fort chastel ». Chez Orri le forestier, ils ont plusieurs rendez-
36 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
76 ouve personne. Mais ses outils sont là, contre le mur . Il reprend le chemin de son champ. En passant au carrefour, il s’est
37 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
77 fond du parc, près de la porte démolie, là où les murs ne cachent plus que les abords désertiques de la ville, ils se sont v
38 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
78 uvez en face d’un canon anti-tank, protégé par un mur en ciment. Une poussée rapide de divisions motorisées pourrait seulem
39 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
79 ue de monter les matériaux, d’autres de bâtir les murs , de charpenter, ou de crépir. À cause de l’énormité de l’entreprise,
40 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
80 nce… J’imagine que l’humilité passe à travers les murs de la cellule que bâtissaient nos craintes et nos vanités faibles, et
41 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
81 ue de monter les matériaux, d’autres de bâtir les murs , de charpenter, ou de crépir. À cause de l’énormité de l’entreprise,
42 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
82 nce… J’imagine que l’humilité passe à travers les murs de la cellule que bâtissaient nos craintes et nos vanités faibles, et
43 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
83 ue de monter les matériaux, d’autres de bâtir les murs , de charpenter, ou de crépir. À cause de l’énormité de l’entreprise,
44 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
84 nce… J’imagine que l’humilité passe à travers les murs de la cellule que bâtissaient nos craintes et nos vanités faibles, et
45 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
85 ouve personne. Mais ses outils sont là, contre le mur . Il reprend le chemin de son champ. En passant au carrefour, il s’est
46 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
86 au-dessus des toits bleus, des toits roux et des murs couleur du temps, où quelques taches de rosé clair ou de noir achèven
47 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
87 umière orangée vient râper doucement le crépi des murs bas, sur la terrasse toute voisine. Un autre jour, le même amour, mai
48 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
88 non taillés sur un pré d’un vert sombre enclos de murs . Du lierre partout. Çà et là, des statues de faunes et de chiens gise
49 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
89 umière orangée vient râper doucement le crépi des murs bas, sur la terrasse toute voisine. Un autre jour, le même amour, mai
90 non taillés sur un pré d’un vert sombre enclos de murs . Du lierre partout. Çà et là, des statues de faunes et de chiens gise
50 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
91 abois dans le lointain. On y rôde en frôlant les murs , heurtant des corps, guettant des phares sans reflet sur le macadam.
92 ouve personne. Mais ses outils sont là, contre le mur . Il reprend le chemin de son champ. En passant au carrefour il s’est
51 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
93 t pas de fenêtres et des trous partout dans leurs murs … Je songe à ce que me disait à Paris, il y a un an, Ortega y Gasset,
52 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
94 ulagement mon hôtel. Un plancher bleu foncé, des murs blancs, un plafond vitré. Deux larges et basses fenêtres sur la cour.
95 viennent sur ce toit en lisant. Comme il n’y a ni mur , ni barrière, il faut craindre à chaque fois qu’elles fassent un pas
53 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
96 umière orangée vient râper doucement le crépi des murs bas, sur la terrasse toute voisine. Un autre jour, le même amour, mai
54 1946, Journal des deux mondes. Virginie
97 non taillés sur un pré d’un vert sombre enclos de murs . Du lierre partout. Çà et là, des statues de faunes et de chiens gise
55 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
98 au-dessus des toits bleus, des toits roux et des murs couleur de temps, où quelques taches de rose clair ou de noir achèven
56 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
99 soir étouffant, vous m’avez montré en passant des murs brunis qui rougeoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des roses
100 à une plate-forme dallée, surchauffée, entre des murs assez hauts dont l’un est peut-être la façade d’une chapelle ; mais l
101 ensemble des constructions. C’est là qu’on entre. Murs nus. Un catafalque de bois, au milieu, recouvert d’un très beau tapis
102 t racontée sur un papier jauni encadré et fixé au mur . Gül Baba est le dernier héros musulman qui ait fait parler de lui en
103 énétrons dans une grande salle vivement éclairée. Murs chaulés, et de nouveau de hautes voûtes. Une banquette longe trois de
104 elle), nous inscrivons nos noms au charbon sur le mur chaulé, Gachot prend des photos, Gyergyai fouille la plaine à la long
57 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
105 ut ce que l’œil enregistre est laid, sol cimenté, mur gris, coin de ciel sombre, et quelques toits de pavillons minables au
58 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
106 qu’une bande de terre aride, portant la route, un mur qui fait digue, une haie de tamaris. À gauche, l’océan invisible derr
107 tamaris. À gauche, l’océan invisible derrière le mur  ; à droite, des marais salants avec leurs cloisons délicates contre l
59 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
108 s, à demi cachée par des lauriers épais. De hauts murs blancs enclosent de tous côtés ce jardin de curé qui a juste la large
109 e plafond. Très peu de meubles, comme j’aime. Des murs blanchis ou teintés de bleu clair, des planchers rudes. Décor candide
110 tit vin, à regarder le carré de ciel pâlir et les murs qui deviennent roses. 21 novembre 1933 Le bureau de poste. — T
111 ue recouverte d’une fine couche de sable. Sur les murs blanchis, quelques petites gravures anciennes, encadrées de noir, et
112 plication du cadastre en lisant affichées sur les murs de l’église les annonces de ventes immobilières. Les propriétés se co
113 ls ont pris la chèvre, l’ont passée par-dessus le mur , et voilà ! Et pourquoi ? Pour plaisanter ! Quand j’ai été nourrir ma
114 ie, des fleurs partout, la grande lumière sur nos murs blanchis. J’ai travaillé au jardin, tous ces jours. Labouré et dessin
115 plus moi. Premières roses au soleil, le long des murs du chai. Nous déjeunons sous les tilleuls. Il y a un grand bonheur da
116 nouveau le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des maisons mortes. Je me glisse dans le hangar de la grosse voiture
117 font un trou de serrure — ou des huîtres sur les murs des écluses à poisson. Il nous a fallu trois belles heures pour rappo
118 ne table en sapin, dans une vaste pièce vide, aux murs nus et aux fenêtres ouvertes, où passent le vent, une hirondelle, les
60 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
119 maison : une ancienne magnanerie, très haute, aux murs de gros moellons rougeâtres et gris non revêtus. Il y a trois pièces
120 à franges, tabourets brodés et objets d’art. Aux murs , plusieurs douzaines d’aquarelles, sous-bois et marines. Quelques tap
121 Le reflet de l’eau tremble au plafond et sur les murs verdâtres de la chambre où j’écris. Et voilà mon petit exercice de re
122 supérieur. 23 septembre 1934 Maintenant les murs sont nus : d’un joli vert bleu très clair. Le carreau rouge a été déb
123 gne, un jardin en terrasses, enclos de très hauts murs . À travers la grille ouvragée, on voit une profusion de fleurs violen
61 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
124 et d’arbres maigres, de champs pelés et de grands murs de briques interrompus ; tranchée de la ceinture, amas de détritus, b
125 tres obscures.) Ville aérienne, où la hauteur des murs n’évoque plus les parois d’un puits sale, mais plutôt une falaise éle
62 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
126 . Dans cette église baroque de Sainte-Catherine —  murs couverts d’armoiries et de cimiers vieil or, galeries de bois peintes
127 les baies ouvertes, cent-mille hommes battent les murs de la halle. Quelques femmes s’évanouissent, on les emporte, et cela
63 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
128 abois dans le lointain. On y rôde en frôlant les murs , heurtant des corps, guettant des phares sans reflet sur le macadam.
129 ouve personne. Mais ses outils sont là, contre le mur . Il reprend le chemin de son champ. En passant au carrefour il s’est
130 er, sur une route presque campagnarde, entre deux murs , une voiture militaire ouverte ralentit le long de nos petits groupes
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
131 t pas de fenêtres et des trous partout dans leurs murs … Je songe à ce que me disait à Paris, il y a un an, José Ortega y Gas
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
132 c’est tantôt une longue bâtisse à l’argentine aux murs jaunes et très basse (on la prolonge sur les ailes quand la famille s
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
133 oulagement mon hôtel. Un plancher bleu foncé, les murs d’un blanc rosé, et la moitié du plafond incliné est en vitrage, noir
134 e loisir n’est qu’un vide. Rien à regarder que ce mur de briques humides. Rien de vivant, rien à épier longuement, à voir b
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
135 umière orangée vient râper doucement le crépi des murs bas, sur la terrasse toute voisine. Un autre jour, le même amour, mai
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
136 non taillés sur un pré d’un vert sombre enclos de murs . Du lierre partout. Çà et là, des statues de faunes et de chiens gise
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
137 à-coups sur l’asphalte ruisselant. Plus haut, des murs de brique rouge et de brique jaune, des lessives roses et bleues deva
138 au-dessus des toits bleus, des toits roux et des murs couleur du temps, où quelques taches de rose clair ou de noir achèven
70 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
139 oulagement mon hôtel. Un plancher bleu foncé, des murs blancs, un plafond vitré. Deux larges et basses fenêtres sur la cour.
140 viennent sur ce toit en lisant. Comme il n’y a ni mur , ni barrière, il faut craindre à chaque fois qu’elles fassent un pas
71 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
141 e à demi effacée par une main sacrilège, l’un des murs de cette citadelle qu’est, pour la république des Lettres, l’immeuble
72 1948, Suite neuchâteloise. I
142 ce qui vient. Et voici les brumes sur le lac, les murs de vignes séculaires, et ce toit qui demande aux voyageurs, en grande
73 1948, Suite neuchâteloise. VIII
143 rsemés de sapins majestueux et coupés çà et là de murs bas faits de grosses pierres entassées avec art. Nous passions les cl
74 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
144 la salle même du Grand Conseil fasciste, sur les murs de laquelle on avait substitué aux faisceaux de licteur les grandes l
75 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
145 Messieurs, on vous attend encore au pied du mur  ! (4 octobre 1950)k Ceux qui disent que « l’Europe sera socialiste
146 k. « Messieurs, on vous attend encore au pied du mur  ! », Combat, Paris, n° 1944, 4 octobre 1950, p. 6. Présenté de cette
76 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
147 he : trois vitesses. Sol de dalles grises polies, murs jaunes et beaucoup de meubles. Quand je sonne, trois serviteurs parai
148 bres. Çà et là, un homme prie, accroupi contre un mur . Il règne dans tout le quartier une espèce de solennité énigmatique e
149 Malabar Hill par des chemins encaissés entre les murs de parc des grandes demeures luxueuses, un saint nous a croisés. Comm
150 on d’une vaste résidence, vidé de ses meubles, le mur du fond tendu d’un seul voile de soie noir chargé de larges signes d’
151 s aux passants. Et ces hommes en prière contre un mur . Et ces saints demi-nus, traversant à grands pas les rues encombrées
77 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rapport moral présenté par M. Denis de Rougemont (novembre 1952)
152 français de mes amis3 : « Ce n’est pas au pied du mur qu’on connaît le maçon, c’est en haut. » 2. Voir bulletin de mai 1
78 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
153 visible et matérielle est confirmée sur tous les murs  ; il réclame lui aussi la foi des militants dans un monde idéal et fu
79 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
154 moment de s’envoler pour franchir le Rideau — ce mur du son de la politique contemporaine. Précisons notre image : quand u
155 Précisons notre image : quand un pilote passe le mur du son, il entre dans une zone de silence. Mais quand un homme d’État
80 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
156 entendu (le marteau est plus dur que la main, les murs de la maison plus résistants que nos corps). Mais si vous ne priez pl
157 t ; toute la peinture mondiale peut venir sur nos murs sous forme de reproductions « à s’y méprendre » ; toute la musique no
81 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
158 de larges rues et de places trop vastes, sur des murs de plâtre jaune paille, airelle ou vert d’eau. Il est vrai que lorsqu
159 t l’on croit voir une fois de plus, à travers les murs des palais ayant perdu leur épaisseur, la plaine à perte de vue qui c
82 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Ce n’est pas au pied du mur… (juin-juillet 1956)
160 Ce n’est pas au pied du mur … (juin-juillet 1956)ak Ceux de nos amis, proches ou lointains, qui
161 aut que ce qu’on en fait. Qu’a-t-on fait dans ces murs depuis six mois ? Que fait-on réellement au Centre ? De janvier au mi
162 hef d’industrie français, ce n’est pas au pied du mur qu’on connaît l’ouvrier, c’est en haut ! Nous pouvons certes, dès mai
163 de nos activités. ak. « Ce n’est pas au pied du mur … », Bulletin du Centre européen de la culture, Genève, n° 5, juin-jui
83 1957, Arts, articles (1952-1965). L’ère des loisirs commence (10 avril 1957)
164 t ; toute la peinture mondiale peut venir sur nos murs sous forme de reproductions « à s’y méprendre » ; toute la musique no
84 1957, Articles divers (1957-1962). Lettre en réponse à Emmanuel Berl (mai 1957)
165 effet son article intitulé « L’Europe au pied du mur  » par ce post-scriptum : « Je sentais l’urgence de rappeler que l’Eur
85 1957, Preuves, articles (1951–1968). L’échéance de septembre (septembre 1957)
166 acilement contradictoires, qu’on lit sur tous les murs de ce pays — « Algérie française » ou « Paix en Algérie », c’est auta
86 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
167 visible et matérielle est confirmée sur tous les murs  ; il réclame lui aussi la foi des militants dans un monde idéal et fu
87 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
168 entendu (le marteau est plus dur que la main, les murs de la maison plus résistants que nos corps). Mais si vous ne priez pl
169 t ; toute la peinture mondiale peut venir sur nos murs sous forme de reproductions « à s’y méprendre » ; toute la musique no
88 1960, Articles divers (1957-1962). Éclipse ou disparition d’une civilisation ? (1960)
170 ’homme ? Où sont-ils, ces remparts de Ninive, ces murs de Babylone, ces palais de Persépolis ? Hélas, j’ai visité les lieux
89 1961, La Vie protestante, articles (1938–1978). Bilan simple (29 décembre 1961)
171 er qu’elle a fait perdre la face, en bâtissant le mur de Berlin non pour se protéger contre une attaque, mais pour empêcher
90 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
172 ’hui deux-mille-trois-cents villes environnées de murs . Les royaumes chrétiens du Danemarck, de la Suède et de la Pologne se
173 it dans ces routes aujourd’hui solitaires. En ces murs où règne un morne silence, retentissaient sans cesse le bruit des art
174 l’homme ? Où sont-ils ces remparts de Ninive, ces murs de Babylonie, ces palais de Persépolis, ces temples de Balbeck et de
91 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
175 apitales. Que Paris fasse, dans l’enceinte de ses murs , des révolutions : à quoi bon si Lyon, Marseille, Toulouse, Bordeaux,
92 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
176 e Tasse, et voyez-les tous prosternés au pied des murs de Jérusalem. Rappelez-vous que, pendant quinze siècles, ils n’ont eu
93 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
177 x, les gens capables de lire l’inscription sur le mur que tracent notre art et notre musique actuels ? Si peu nombreux, les
94 1962, Articles divers (1957-1962). La conjuration des officiers en juin 1940 : Journal d’un témoin III (26 juin 1962)
178 er, sur une route presque campagnarde, entre deux murs , une voiture militaire ouverte ralentit le long de nos petits groupes
95 1962, Articles divers (1957-1962). Dans vingt ans une Europe neuve (novembre 1962)
179 llemande ; de l’alliance de guerre avec l’URSS au Mur de Berlin, et de la Libération à la perte des pays de l’Est ; de l’om
180 ente, pour les masses. Les élites redécouvrent le mur plein, l’isolement, l’antique formule du château. On construit des ma
96 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
181 les pères ont conquis la Prairie. Hors des hauts murs en falaises de brique ocrée de Manhattan, au-delà des faubourgs du Br
97 1963, Preuves, articles (1951–1968). Le mur de Berlin vu par Esprit (février 1963)
182 Le mur de Berlin vu par Esprit (février 1963)ba On ne sait pas toujours q
183 rer de M. Paul Dehem, qui écrit longuement sur le mur de Berlin. D’où vient ce très curieux esprit ? À l’en croire, le mur
184 vient ce très curieux esprit ? À l’en croire, le mur de Berlin est l’œuvre des Allemands de l’Ouest, qui l’ont bâti pour a
185 e Brandebourg barrée de barbelés : « Il posait le mur comme existant, il le bâtissait déjà. » Cependant, « s’il en fut l’un
186 jusqu’ici, n’est donc pas pour une brique dans ce mur . Mais quels furent les motifs de l’Ouest ? « On avait besoin de ne pa
187 és tentantes de l’Est qu’Axel Springer a créé son mur à coups d’insignes. S’il est vrai que ce mur, aujourd’hui, « est gard
188 son mur à coups d’insignes. S’il est vrai que ce mur , aujourd’hui, « est gardé d’un côté par des sentinelles est-allemande
189 conscience de toute une société qui chérissait ce mur avant qu’il existât et qui lui voue à présent un culte confinant à l’
190 un culte confinant à l’idolâtrie ». En effet, le mur « assure aux paladins de l’antimarxisme un lieu de pèlerinage, un fer
191 l’on écrit pour les lecteurs d’ Esprit , grâce au mur l’Ouest a pu « bannir Brecht des scènes allemandes et empêcher une in
192 ation objective sur le monde communiste. Grâce au mur , plus de triomphe de la pensée ou du théâtre révolutionnaire en Allem
193 u raisonnement : ce n’est pas l’Est qui a fait le mur , c’est l’Ouest — pour empêcher qu’on joue du Brecht. 2°) Si l’Est a f
194 cher qu’on joue du Brecht. 2°) Si l’Est a fait le mur , il avait bien raison. C’était pour lui « une nécessité vitale ». Car
195 si c’est vrai, où est la « nécessité vitale » du mur  ?) 3°) L’Est doit être indemnisé pour avoir construit le mur. En effe
196 L’Est doit être indemnisé pour avoir construit le mur . En effet, l’Ouest, en promettant l’entretien aux fugitifs, « achetai
197 nstein, qui ne leur avait rien coûté ?) 4°) « Le mur rend plus nécessaire que jamais une discussion avec le pays qui l’a c
198 rnst von Salomon déclare : « Ils ont construit un mur à Berlin, ce mur n’est rien. Seul compte celui qui se trouve dans le
199 déclare : « Ils ont construit un mur à Berlin, ce mur n’est rien. Seul compte celui qui se trouve dans le cœur des Allemand
200 em et von Salomon sont d’accord pour juger que le mur , en tant qu’il leur semble néfaste, est le fait des Allemands de l’Ou
201 ’a littéralement proscrit pour avoir écrit que le mur ne me faisait pas peur. » De quel côté du mur a-t-il écrit cela ? Qui
202 le mur ne me faisait pas peur. » De quel côté du mur a-t-il écrit cela ? Qui l’a « proscrit » ? On eût mieux fait de l’obl
203 it » ? On eût mieux fait de l’obliger à sauter le mur pour prouver qu’il n’en a pas peur. ba. « Le mur de Berlin vu par E
204 ur pour prouver qu’il n’en a pas peur. ba. « Le mur de Berlin vu par Esprit », Preuves, Paris, n° 144, février 1963, p. 9
98 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [Avant-propos] (juillet 1963)
205 études européennes qui vient d’être créé dans ses murs . D’autre part, l’initiative hardie de M. Roger Bigonnet, convoquant d
99 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
206 plans d’architecture, une partie construisait les murs  ; les uns travaillaient du cordeau et de l’équerre, et les autres de
100 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
207 plans d’architecture, une partie construisait les murs  ; les uns travaillaient du cordeau et de l’équerre, et les autres de