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n, et de l’autre dessinant dans l’air des phrases
musicales
. Après quoi Richardot, entrant par la fenêtre, vint annoncer qu’on ét
2
ens des mots et des choses est celui d’un courant
musical
qui domine l’ensemble et le compose selon les lois d’une plastique ex
3
ens des mots et des choses est celui d’un courant
musical
qui domine l’ensemble et le compose selon les lois d’une plastique ex
4
regards est infini, est indéfiniment grandiose et
musical
. Ainsi coula cette nuit sans partage, et nos mains ne s’étaient point
5
ens des mots et des choses est celui d’un courant
musical
qui domine l’ensemble et le compose selon les lois d’une plastique ex
6
regards est infini, est indéfiniment grandiose et
musical
. Ainsi coula cette nuit sans partage, et nos mains ne s’étaient pas t
7
le provençale qui est, à l’origine, de propulsion
musicale
, donc romane-syrienne puisque le plain-chant est roman-syrien — et le
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que ? D’abord, je vous dirai qu’il y a 30 parties
musicales
et que le choral du premier acte par exemple forme le centre même de
9
rique : non seulement dans ses formes verbales et
musicales
, mais si paradoxal que cela paraisse, dans son inspiration elle-même,
10
oète a gagné sa dame par la beauté de son hommage
musical
. Il lui jure à genoux une éternelle fidélité, comme on fait à un suze
11
Wagner nous ont donné les chefs-d’œuvre du drame
musical
, c’est en vertu de l’affinité originelle de ce mode d’expression et d
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rique : non seulement dans ses formes verbales et
musicales
, mais si paradoxal que cela paraisse, dans son inspiration elle-même,
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oète a gagné sa dame par la beauté de son hommage
musical
. Il lui jure à genoux une éternelle fidélité, comme on fait à un suze
14
ttfried que Wagner va ressusciter par l’opération
musicale
. Le monde créé appartient au démon. Tout ce qui dépend de son empire
15
Wagner nous ont donné les chefs-d’œuvre du drame
musical
, c’est en vertu, de l’affinité originelle de ce mode d’expression et
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rique : non seulement dans ses formes verbales et
musicales
, mais si paradoxal que cela paraisse, dans son inspiration elle-même,
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oète a gagné sa dame par la beauté de son hommage
musical
. Il lui jure à genoux une éternelle fidélité, comme on fait à un suze
18
ttfried que Wagner va ressusciter par l’opération
musicale
. Le monde créé appartient au démon. Tout ce qui dépend de son empire
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Wagner nous ont donné les chefs-d’œuvre du drame
musical
, c’est en vertu de l’affinité originelle de ce mode d’expression et d
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lois de l’harmonie et du contrepoint ; les genres
musicaux
et littéraires ; les conventions de l’opéra et de la danse ; les pers
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ens des mots et des choses est celui d’un courant
musical
qui domine l’ensemble et le compose selon les lois d’une plastique ex
22
regards est infini, est indéfiniment grandiose et
musical
. Ainsi coula cette nuit sans partage, et nos mains ne s’étaient pas t
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pour l’Europe et pour l’humanité. » Grande prose
musicale
, et qui n’est pas indigne du poète de l’Exil et d’Anabase. Lorsqu’il
24
rs procédés techniques ou rhétoriques, des formes
musicales
et littéraires inventées ici ou là, et elles en vivent encore, dans l
25
Conférence de compositeurs, critiques
musicaux
et exécutants (décembre 1952-janvier 1953)i Motifs et objectifs
26
fs L’un des faits les plus frappants de la vie
musicale
actuelle en Europe, c’est que des œuvres de compositeurs célèbres de
27
otifs extra-musicaux. La situation de la critique
musicale
d’après-guerre est également peu satisfaisante du point de vue intern
28
ment pas joués. De nombreux problèmes de critique
musicale
, qui devraient être discutés sur un plan international, restent sans
29
réponse : ainsi la relation entre les techniques
musicales
contemporaines et la qualité des nouveaux publics populaires, ou le r
30
œuvres basées sur elles. En outre, les critiques
musicaux
ne peuvent que très rarement rencontrer de jeunes compositeurs et éta
31
férence internationale de compositeurs, critiques
musicaux
et exécutants. Elle aura lieu au printemps 1954, à Rome. Ses buts son
32
Rome 75 à 100 personnes (compositeurs, critiques
musicaux
et exécutants) de différents pays d’Europe et d’Amérique, pour partic
33
re, de compositeurs, chefs d’orchestre, critiques
musicaux
et musicologues, dressera des listes, d’après lesquelles seront chois
34
ir de base aux discussions. Le Comité consultatif
musical
du Centre décidera des thèmes des conférences et discussions. Le Cong
35
sera proposé à bref délai aux membres du Conseil
musical
. Dès que ces derniers auront donné leur accord, des lettres personnel
36
nitive) : 1. Musique et politique. 2. La fonction
musicale
crée-t-elle encore ses organes ? 3. Technique, style, esthétique. 4.
37
e l’opéra moderne sur le développement du langage
musical
. 5. Qu’est-ce qu’un bon programme ? i. « Une nouvelle initiative d
38
ve du CEC : Conférence de compositeurs, critiques
musicaux
et exécutants », Bulletin du Centre européen de la culture, n° 8-9, d
39
que le Prix littéraire européen et la Conférence
musicale
. Il a ainsi doté l’Europe d’un instrument de coopération intellectuel
40
urs enfants des chansons du régiment. Un folklore
musical
considérable, riche en chefs-d’œuvre charmants, narquois ou mélancoli
41
ommes connaissant toute l’histoire des techniques
musicales
. Mais il y a plus. Le public d’aujourd’hui, immensément élargi par la
42
Pierre Boulez, « Éventuellement… », dans la Revue
musicale
d’avril 1952 — étude par ailleurs importante et fort intelligente.
43
ef de leur coffre. Mais d’où tant de perspicacité
musicale
vint-elle à Denis de Rougemont ? Il habite Ferney ; le génie du lieu
44
st donc pour rien. (Ce n’est pas pour des raisons
musicales
que Voltaire ne prisait pas Rousseau.) Mais il y a que Denis de Rouge
45
par le CEC, sur une proposition de son conseiller
musical
, Igor Markevitch, les directeurs d’une quinzaine de grands festivals
46
s tel autre pays. L’organisation de « pèlerinages
musicaux
» sera développée dans un souci de qualité culturelle. Un bulletin pé
47
informations destiné à la presse et aux critiques
musicaux
paraîtra prochainement. Enfin, la brochure-programme sera sensiblemen
48
sur les nouveautés intéressantes dans le domaine
musical
sera constitué sans délai. III. Entreprises communes. — L’étude d’un
49
reprises communes. — L’étude d’un projet de revue
musicale
européenne des festivals sera reprise sur des bases nouvelles. Des ar
50
de peinture contemporaine et exécutions d’œuvres
musicales
modernes, projections de films ; expositions de publications (livres,
51
seront pas difficiles à imaginer. Les exécutions
musicales
d’œuvres soviétiques sont quasi quotidiennes en Occident· : Prokofiev
52
uses des chefs, quelques éléments folkloriques et
musicaux
… (Focillon parle à juste titre d’un « orientalisme de pays froid ».)
53
(surtout postérieure à Beethoven) qu’au folklore
musical
dont se réclamait l’idéologie nationaliste de certains de ses représe
54
sses allaient renouveler et même régénérer la vie
musicale
et théâtrale de l’Occident. Mais voici l’été de 1914 : il surprend l
55
écouvertes et inventions ; créations littéraires,
musicales
et artistiques de portée européenne ; résultats obtenus par des œuvre
56
le qu’on me dit voisine de la misère. Les milieux
musicaux
ont loué sa « dignité ». Stravinski vient d’écrire sur commande une œ
57
, le grand public à cause de l’œuvre, les milieux
musicaux
à cause du cachet, et les critiques à cause des deux. La sottise et l
58
it donner aux créateurs et responsables de la vie
musicale
de nos pays l’occasion d’exprimer leurs vues sur « le phénomène festi
59
êt très vif porté aux festivals, dans les milieux
musicaux
: en effet, sur 80 questionnaires envoyés, 43 nous sont revenus rempl
60
nstrument, les chorales populaires, les Jeunesses
musicales
, Bach et Mozart et Tchaïkovski sifflotés dans les rues de toutes nos
61
rouver une base de jugement, permettant au public
musical
de s’orienter. La suggestion de créer un jury international, qui aura
62
mouvement, à « européaniser » les manifestations
musicales
, illustrant ainsi par des propositions concrètes les conclusions géné
63
tionale de compositeurs, critiques et interprètes
musicaux
à Rome (5-16 avril). — Signature des statuts et ouverture de la Fonda
64
aghilev) qui reviennent apporter un nouveau style
musical
à notre Europe de l’Ouest. Le périple de la peinture est à peu près l
65
re autres le Congrès de compositeurs et critiques
musicaux
à Rome, en 1953, le Prix européen de littérature, et l’initiative de
66
nées. Un comité d’experts en éducation et un jury
musical
présidèrent au choix des expériences-pilotes et des compositeurs. En
67
e verset du Coran (24-41) qui pose comme une clef
musicale
: « Chaque être connaît le mode de prière et de glorification qui lui
68
’expression totale de la passion ne peut être que
musicale
. « Par la musique, les passions jouissent d’elles-mêmes. »94 L’un par
69
clut », l’expression de Don Juan ne peut être que
musicale
. Et c’est pourquoi le seul Don Juan conforme au mythe95, c’est le Don
70
l’opéra lui-même (dont la pénétration proprement
musicale
est stupéfiante, Kierkegaard se disant lui-même un « amateur » sans a
71
ractère, mais puissance et vie, donc « absolument
musical
», les autres personnages, qui ne sont que passions déterminées par D
72
rminées par Don Juan, sont dans cette mesure même
musicaux
. « On peut arriver pendant la représentation, on est immédiatement au
73
ertaine manière (que précise l’analyse des thèmes
musicaux
), il est « placé en dehors de la pièce, ou il la circonscrit ». Comme
74
ation n’a pu manquer de réveiller dans la mémoire
musicale
de Nietzsche les motifs tristaniens du Désir, de l’Invocation à la Nu
75
« Les stades de l’érotique spontané ou l’érotique
musical
» (troisième stade). 97. Étapes sur le chemin de la vie, « In Vino
76
énie créateur de Mozart (Essai sur l’instauration
musicale
des personnages dans Les Noces de Figaro, Don Juan, La Flûte enchanté
77
les analyses de Kierkegaard. À coup de citations
musicales
et dans le langage de son art, Breydert illustre abondamment l’intuit
78
on art, Breydert illustre abondamment l’intuition
musicale
de Kierkegaard, que celui-ci voulait attribuer à « la sûreté omniprés
79
u monde charnel, par son sens cosmique du langage
musical
, par sa rondeur, sa pesanteur et sa bonhomie sensuelle, plus encore q
80
iment ou ambition, à son expression littéraire ou
musicale
ou picturale, c’est-à-dire au langage en général, mais sous ses forme
81
’expression totale de la passion ne peut être que
musicale
. « Par la musique, les passions jouissent d’elles-mêmes.23 » L’un par
82
clut », l’expression de Don Juan ne peut être que
musicale
. Et c’est pourquoi le seul Don Juan conforme au mythe24, c’est le Don
83
l’opéra lui-même (dont la pénétration proprement
musicale
est stupéfiante, Kierkegaard se disant lui-même un « amateur » sans a
84
ractère, mais puissance et vie, donc « absolument
musical
», les autres personnages, qui ne sont que passions déterminées par D
85
rminées par Don Juan, sont dans cette mesure même
musicaux
. « On peut arriver pendant la représentation, on est immédiatement au
86
ertaine manière (que précise l’analyse des thèmes
musicaux
), il est « placé en dehors de la pièce, ou il la circonscrit ». Comme
87
« Les stades de l’érotique spontané ou l’érotique
musical
» (troisième stade). 26. Étapes sur le chemin de la vie, « In Vino
88
istence de Gide, n’est donc ni « littéraire », ni
musicale
, comme chez Kierkegaard et chez Nietzsche. Elle n’est même pas consci
89
e verset du Coran (24-41) qui pose comme une clef
musicale
: « Chaque être connaît le mode de prière et de glorification qui lui
90
dans l’entre-deux, cela ne fait pas une tradition
musicale
; et les épopées symboliques démesurées d’un Carl Spitteler ne suffis
91
, définis en termes de structures et de relations
musicales
pour la conscience. Le primat de l’éthique ensuite : « Ne jugeons poi
92
ale équivaut à la mort de Dieu pour la conscience
musicale
». L’atonalité serait-elle la définition du péché, en termes de techn
93
le la définition du péché, en termes de technique
musicale
? Dans ce contexte, une autre thèse me frappe : la musique est d’Euro
94
ve pas de vrais créateurs suisses dans le domaine
musical
. Cette lacune de plus d’un millénaire est presque sans exemple dans l
95
« indicatif » de la cité. Au xixe siècle, la vie
musicale
des villes s’organise sous la direction compétente de chefs allemands
96
ermet à Genève et Paul Sacher à Bâle. À cette vie
musicale
intense durant toute la saison d’hiver, s’ajoutent en été des festiva
97
une occasion populaire) est une forme de théâtre
musical
proprement suisse. Lorsqu’on me demanda d’en écrire un (ou quelque ch
98
z. Avec « La Belle de Moudon », charmante comédie
musicale
et, si l’on veut, la « Danse des Morts » inspirée à Claudel par des f
99
de ces tableaux, monuments, œuvres littéraires ou
musicales
. Ayant acquis une idée de la manière dont tout cela a été fait, il lu
100
ravinsky, qui a créé en Suisse la meilleure œuvre
musicale
« de chez nous », L’Histoire du soldat. On peut citer les prix Nobel
101
rté Karl Barth pendant longtemps ; en composition
musicale
, nous avons exporté Honegger ; en littérature, nous avons exporté Bla
102
rs procédés techniques ou rhétoriques, des formes
musicales
et littéraires inventées ici ou là ; et elles en vivent encore, dans
103
dans l’édition les guildes du livre ; dans la vie
musicale
, la vogue des festivals ; et dans l’enseignement, la notion subversiv
104
de ces tableaux, monuments, œuvres littéraires ou
musicales
. Ayant acquis une idée de la manière dont tout cela a été fait, il lu
105
ommes connaissant toute l’histoire des techniques
musicales
. Mais il y a plus. Le public d’aujourd’hui, immensément élargi par la
106
8. Pierre Boulez, Éventuellement… dans la « Revue
musicale
», avril 1952 — étude par ailleurs importante et fort intelligente.
107
et vallées qui relient les hauts lieux de la vie
musicale
. Le circuit le plus intérieur pourrait partir de Lucerne, par exemple
108
r sa petite note séductrice dans la grande rumeur
musicale
de nos étés européens ? Si je n’en ai nommé qu’une trentaine, c’est p
109
cologues, critiques et « animateurs » d’émissions
musicales
à la radiotélévision, sur le phénomène festival dans la société d’auj
110
ouvent un festival viable. (Le cas des « semaines
musicales
» d’été organisées par une grande ville comme Berlin, Vienne ou Zuric
111
ulement à la radio-télévision et dans la critique
musicale
des magazines hebdomadaires dont ils deviennent une rubrique régulièr
112
re en produisant ses propres œuvres, son dialecte
musical
particulier, mais bien par une certaine manière qui n’est qu’à lui de
113
rence de cultures. Second exemple. Le jazz, style
musical
, style de chant et de danse, et presque style de vie depuis 1920 pour
114
, d’Apollinaire à Picasso, en passant par l’école
musicale
dite groupe des Six. Ces exemples d’interférences culturelles pourrai
115
ue naît avec le chant grégorien — premier langage
musical
européen — au vie siècle en Italie, s’enrichit au couvent de Saint-G
116
monde des corps et de l’intellect. Les structures
musicales
se raccordent au psychisme de l’homme européen qui a conçu les machin
117
le naît avec le chant grégorien — premier langage
musical
européen — au vie siècle en Italie ; s’enrichit aux couvents de Jumi
118
inent, des films, des ballets et des compositions
musicales
manifestaient diverses « lectures » assez libres de mon ouvrage. Voil
119
é du Roman primitif, par l’expérience poétique et
musicale
. C’est une question d’oreille et non de preuves écrites ou de sources
120
au commencement était le Chant, qui est le Verbe
musical
— et cela tient à la nature même de l’amour, de cet amour-passion que
121
sur la mélodie. La forme strophique est d’essence
musicale
… Le seul texte musical que nous possédions de Guillaume de Poitiers u
122
strophique est d’essence musicale… Le seul texte
musical
que nous possédions de Guillaume de Poitiers use des mêmes formules m
123
donnait sa valeur réelle à cette forme plastique,
musicale
, ou magique. Et sans plus de souci de l’intégrer à notre tradition ch
124
niveau microscopique des effets d’une forme (ici
musicale
) que l’on impose à la sensibilité d’un peuple, — lequel n’est pas en
125
monde des corps et de l’intellect. Les structures
musicales
se raccordent au psychisme de l’homme européen qui a conçu les machin
126
ation d’une part ; « concert européen », concours
musical
et bourses pour de jeunes compositeurs d’autre part. Un domaine « pop
127
anente à l’expression, premièrement littéraire et
musicale
(au xiie siècle), puis théâtrale dès la fin du xvie siècle, enfin c
128
’Isolde agonisante au dernier vers du grand poème
musical
de Wagner. L’amour-passion n’est donc pas le mélange, mais la composi
129
et vallées qui relient les hauts lieux de la vie
musicale
. Le circuit le plus intérieur, celui qui pourrait partir de Lucerne,
130
r sa petite note séductrice dans la grande rumeur
musicale
de nos étés européens ? Si je n’en ai nommé qu’une trentaine, c’est p
131
de son article sur la coopération dans le domaine
musical
. Ce jeune chef prestigieux connaissait les problèmes artistiques et p
132
é de les amener à se concerter — terme éminemment
musical
… Il avait son idée là-dessus. Pour ma part, je venais de fonder le Ce
133
musicologues, critiques et animateurs d’émissions
musicales
à la radiotélévision, sur le phénomène festival dans la société d’auj
134
ouvent un festival viable. (Le cas des « semaines
musicales
» d’été organisées par une grande ville comme Berlin, Vienne ou même
135
eulement à la radiotélévision et dans la critique
musicale
des magazines hebdomadaires dont ils deviennent une rubrique régulièr
136
nt en produisant ses propres œuvres, son dialecte
musical
particulier, mais bien par une certaine manière qui n’est qu’à lui de
137
ue par l’idéalisation, le rêve ou la belle phrase
musicale
. Au contraire, elle surgit lentement, difficilement, comme malgré lui
138
ps, impur, hybride, plus méli-mélo dramatique que
musical
ou vraiment théâtral. Par-dessus tout le condamnaient ses caractères
139
ration quotidienne de violence physique, verbale,
musicale
et morale. Mais quand la politique devient spectacle, le citoyen devi
140
e aux indices de lecture, à l’intensité de la vie
musicale
et artistique, à la quantité des inventions techniques, au nombre des
141
la critique, à l’histoire elle-même, le caractère
musical
et la plénitude d’une création indépendante. Belle ambition, soutenu