1 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le mensonge allemand (16 août 1945)
1 une diatribe que chacun sait par cœur : « Some of my best friends are Jews… ». La phrase est devenue proverbiale en Amériq
2 1946, Articles divers (1941-1946). Deux lettres sur le gouvernement mondial (4 juin 1946)
2 ù chacun s’écria dans sa langue « right or wrong, my country ! » Mais le gouvernement mondial, où trouvera-t-il cet Autre
3 1946, Lettres sur la bombe atomique. XIV. Problème curieux que pose le gouvernement mondial
3 ù chacun s’écrie dans sa langue « right or wrong, my country ! » Mais le gouvernement mondial, où trouvera-t-il cet Autre
4 1946, Lettres sur la bombe atomique. XIV . Problème curieux que pose le gouvernement mondial
4 ù chacun s’écrie dans sa langue « right or wrong, my country ! » Mais le gouvernement mondial, où trouvera-t-il cet Autre
5 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
5 ne diatribe que chacun sait par cœur. « Some of my best friends are Jews… », cette phrase classique d’introduction est e
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
6 d’une diatribe que chacun sait par cœur. Some of my best friends are Jews…, cette phrase classique d’introduction est en
7 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — Conversation avec un Américain (29 mai 1950)
7 ir. J’aurais pu dire à mon sympathique visiteur : my dear sir, quand une maison brûle, est-ce bien le moment de faire une
8 1963, Preuves, articles (1951–1968). Une journée des dupes et un nouveau départ (mars 1963)
8 ntinentale, Jan Nairn écrit : « These peoples are my peoples. » (Je renonce à traduire.) Et il ajoute : « Quand je travers
9 1985, Tapuscrits divers (1980-1985). Membre d’honneur de la Fondation européenne de la culture (6 juin 1985)
9 e, le Centre a été, dès 1948, « the main focus of my struggle », et les circonstances mêmes de la création de la Fondation