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une diatribe que chacun sait par cœur : « Some of
my
best friends are Jews… ». La phrase est devenue proverbiale en Amériq
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ù chacun s’écria dans sa langue « right or wrong,
my
country ! » Mais le gouvernement mondial, où trouvera-t-il cet Autre
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ù chacun s’écrie dans sa langue « right or wrong,
my
country ! » Mais le gouvernement mondial, où trouvera-t-il cet Autre
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ù chacun s’écrie dans sa langue « right or wrong,
my
country ! » Mais le gouvernement mondial, où trouvera-t-il cet Autre
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ne diatribe que chacun sait par cœur. « Some of
my
best friends are Jews… », cette phrase classique d’introduction est e
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d’une diatribe que chacun sait par cœur. Some of
my
best friends are Jews…, cette phrase classique d’introduction est en
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ir. J’aurais pu dire à mon sympathique visiteur :
my
dear sir, quand une maison brûle, est-ce bien le moment de faire une
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ntinentale, Jan Nairn écrit : « These peoples are
my
peoples. » (Je renonce à traduire.) Et il ajoute : « Quand je travers
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e, le Centre a été, dès 1948, « the main focus of
my
struggle », et les circonstances mêmes de la création de la Fondation