1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
1 On sort lentement d’une chambre bleue qui est le mystère même, pour suivre la naissance et l’embrasement de la passion de Paul
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cocteau, Rappel à l’ordre (mai 1926)
2 les plus étonnants sont ceux de la lumière. « Le mystère se passe en plein jour et à toute vitesse. » Telle est bien la nouvea
3 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
3 ent dans une buée sans couleurs, nous quittons un mystère à jamais impénétrable pour l’homme, nous fuyons ces bords où conspire
4 u’à vous plaire. Chaque ruelle croisée propose un mystère qu’on oublie pour celui des regards étrangers. Et voici la place régu
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
5 maigre, d’une familiarité dramatique qui cerne le mystère d’un trait pur. Il semble que Cocteau ait réalisé là exactement ce qu
6 onduira où il veut, sans surprises. « Puisque ces mystères me dépassent, feignons d’en être l’organisateur », disait le photogra
7 disait le photographe des Mariés. Dans Orphée, le mystère ne peut plus dépasser l’auteur : il l’a trop bien organisé. En somme,
5 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
8 définis par quelques plans ne tue pas un certain mystère . Cette cour sans issue, cette tulipe bizarre, cette tête prisonnière
9 mais inusité, l’objet le plus banal se charge de mystère . Que va-t-il se passer là-dedans ? Et ces roses sont le signe de quel
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
10 out le reste.   Et maintenant voici Genève et son mystère . Car chaque année, renaissant des décombres où s’anéantirent l’honneu
7 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
11 usse et entretient autour de sa vie le plus grand mystère . Cependant il aime à raconter certaines scènes terrifiantes de la rév
8 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
12 e cette apparence, qu’il doute de sa réalité. Le mystère de voir ses yeux l’épouvante. Il y cherche une révélation et n’y trou
9 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
13 l’image d’une femme par le nom qu’elle portait au mystère de l’amour… Trois petites fenêtres ornées de cactus miséreux, une pip
10 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
14 l.) Le goût de se perdre est un des plus profonds mystères de notre condition, et je ne crois pas trop absurde d’y chercher l’or
11 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
15 ageur qui n’a pas renoncé à convaincre le réel de mystère . Montant au Rozsadomb par ce matin brûlant, je savais bien que j’obéi
12 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
16 uissance dont l’objet demeure assez incertain. Ce mystère qui entoure Perken durant tout le récit, au travers des aventures des
13 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
17 la plus fringante et bariolée. Il y a là quelque mystère  ; demandons-en l’explication à la Préface d’un si brillant catalogue.
14 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
18 e, leur a semblé incompréhensible ». C’est que le mystère des choses les attire moins que le jeu des passions et des intérêts s
15 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
19 qu’elle fut pour d’autres : un moyen de créer du mystère en brouillant les plans ; mais un moyen de rendre plus totale la visi
16 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
20 été moins loin que Goethe dans la domination des mystères . Ainsi se réclament-ils de Rimbaud. Peut-être la confrontation du Sag
21 a délectation ascétique, l’obscurité glaciale des Mystères . Un peu plus d’humilité, c’est-à-dire le réel désir d’être « utile »,
22 t l’élément pur, mais aussi l’être sombre dans le mystère de la fureur ». Cette complexe dialectique de la magie, Goethe lui-mê
23 lui la tentation la plus aiguë de jouer avec les mystères , et par là même l’occasion de réaliser sans cesse à nouveau l’exigenc
17 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
24 tait qu’humilité de la raison devant l’insondable mystère de Dieu devient, vu de l’extérieur, orgueil de la raison qui juge ce
18 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
25 ageur qui n’a pas renoncé à convaincre le réel de mystère . Montant au Rozsadomb par ce matin brûlant, je savais bien que j’obéi
19 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
26 l’image d’une femme par le nom qu’elle portait au mystère de l’amour. Trois petites fenêtres ornées de cactus miséreux, une pip
20 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
27 chasseur au cœur battant, que poursuis-tu dans le mystère des orées d’ombre ? » Et l’on me répondait : « Ici, la jeune fille Au
28 ent les correspondances que ce médecin parle avec mystère des objets que nous touchons, — ce mystique avec naturel de ce qui no
29 e… Où se perdre ? Où porter un regard amoureux du mystère , dans la puissante circonspection de l’attente ? Ô journées souabes,
21 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
30 té. Le goût de se perdre est un des plus profonds mystères de notre condition, et je ne crois pas trop absurde d’y chercher l’or
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
31 ageur qui n’a pas renoncé à convaincre le réel de mystère . Montant au Rozsadomb par ce matin brûlant, je savais bien que j’obéi
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
32 l’image d’une femme par le nom qu’elle portait au mystère de l’amour. Trois petites fenêtres ornées de cactus miséreux, une pip
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
33 chasseur au cœur battant, que poursuis-tu dans le mystère des orées d’ombre ? » Et l’on me répondait : « Ici, la jeune fille Au
34 ent les correspondances que ce médecin parle avec mystère des objets que nous touchons, — ce mystique avec naturel de ce qui no
35 e… Où se perdre ? Où porter un regard amoureux du mystère , dans la puissante circonspection de l’attente ? Ô journées souabes,
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
36 ents dits naturels entrent en composition dans le mystère qui pèse sur ce massif, qui en émane… Je me disais en redescendant :
26 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
37 crets de son pays. Il songe : c’est là-bas que le mystère m’attend, et que ne vais-je pas y découvrir, à mon retour, que jamais
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
38 rands accidents de la vie raniment de tout autres mystères . Ils nous font découvrir plus que nous-mêmes. Je l’ignorais encore q
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
39 oujours saisi dans ces provinces ne doit rien aux mystères du sang, une idée chimérique ne cessera de me plaire : sur ces lieux
29 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
40 tel est l’Acte — le seul ! — et tel est aussi le mystère  ; car cette seule Rupture effective surpasse absolument nos forces, e
30 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
41 s cette nuit ? Est-ce qu’ils ont, eux, la clef du mystère ou du scandale ? Non, je ne le crois pas. Je dirai qu’ils ont mieux q
31 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
42 une rencontre, un événement, un acte. Et voilà le mystère devant lequel je vous laisse maintenant. Nous ne rencontrons personne
32 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
43 au terme d’une pieuse « élévation ». Et c’est le mystère du Dieu-homme (du Christ-Jésus) hors duquel toute communion est impos
44 ésus) hors duquel toute communion est impossible. Mystère dont l’Évangile répète plusieurs fois : « Heureux celui qui ne s’en s
33 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
45 que rien n’est plus visible chez un homme que son mystère , et ceci définit un visage. d. « L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu
34 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
46 que tous ; surtout et jusque dans les choses, un mystère inquiétant se révèle aux yeux de celui qui sait voir parce que, mieux
35 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
47 Max Scheler44, Position et approches concrètes du mystère ontologique 45, de Gabriel Marcel. L’un et l’autre, ils répondent au
48 7, M. Marcel est catholique. Sa méditation sur le Mystère ontologique est la première œuvre philosophique qu’il ait publiée dep
49 ditation qui se propose pour objet d’approcher le mystère indéfinissable de l’être. « Il faut qu’il y ait, dit M. Marcel, ou il
50 evient alors tout autre chose qu’un problème : un mystère . Et toute démarche pour s’en approcher figure déjà par elle-même une
36 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
51 s’ignorent. Partout et jusque dans les choses, un mystère inquiétant se révèle aux yeux de celui qui sait voir, parce que, mieu
37 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
52 ser le concret, et de manifester à l’évidence son mystère . Or l’événement ne naît jamais, comme feignent certains philosophes,
53 e. C’est une nouvelle qualité du concret. Mais ce mystère de la présence, si l’on peut en décrire les effets, demeure mystère e
54 ence, si l’on peut en décrire les effets, demeure mystère en tant que pure initiation : c’est le mystère de l’éternité, de cela
55 re mystère en tant que pure initiation : c’est le mystère de l’éternité, de cela qui échappe au temps, marque sa fin, et le rec
56 appe au temps, marque sa fin, et le recrée. De ce mystère , je puis seul témoigner dans l’instant où il me saisit, et seulement
57 l’instant qu’il cesse de l’être. Ainsi la voie du mystère est visible : l’éternel ne touche le temps que par l’individu en acte
38 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
58 une rencontre, un événement, un acte. Et voilà le mystère devant lequel je vous laisse maintenant. Nous ne rencontrons personne
39 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
59 tel est l’Acte — le seul ! — et tel est aussi le mystère  ; car cette seule Rupture effective surpasse absolument nos forces, e
40 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
60 un sens énergique — le croyant le moins fait aux mystères dialectiques. Le livre de Koch est la démonstration de l’emprise que
41 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
61 une rencontre, un événement, un acte. Et voilà le mystère devant lequel je vous laisse maintenant. Nous ne rencontrons personne
42 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
62 tel est l’Acte — le seul ! — et tel est aussi le mystère  ; car cette seule Rupture effective surpasse absolument nos forces, e
43 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
63 Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du mon
64 ues-unes des perspectives qui rayonnent autour du mystère dont je voudrais maintenant m’approcher : la vision est un acte. Vi
65 tout temps, depuis l’Incarnation, connu ce grand mystère de la vision. C’est parfois une connaissance égarée qui traverse un d
66 ers ces domaines que l’on pourrait nommer ceux du mystère manifeste. Et d’abord, comme au seuil d’une expédition militaire, j’i
67 Weltbild (Delphin Verlag, Leipzig, p. 217). n. «  Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du mon
44 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
68 « Mais voyez-vous, nous sommes ici au nœud de ce mystère étourdissant. Nicodème a reconnu un prophète, il l’a formellement rec
45 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
69 résultats du raisonnement à notre action. Sur le mystère de cette opération magique, peu de lumières dans la psychologie moder
46 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
70 ge de vérité qu’il n’en incarne.3 Voici donc le mystère  : s’il n’y a pas de chemin, nous ne pouvons marcher, mais si nous ne
71  ! » À la lumière jaillie de l’acte de la foi, le mystère du temps se dévoile ; mais un temps nouveau prend son cours, et sa me
72 ur la loi individuelle. C’est ici qu’on touche au mystère , sans lequel tout serait absurde : acte détruit le temps, puisqu’il e
47 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
73 pouvoir à son Église dans la dispensation de ses mystères  !… Il a permis à son Église de séparer ce qu’il avait mis ensemble… E
74 n 1923, seulement !). Voilà qui est clair et sans mystère  : la tradition, ce sont des textes. On peut les lire, si l’on sait le
48 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
75 entièrement par des choses (s’agît-il du profond mystère de la liberté des humains en présence de « l’absurdité » du Tout-Puis
76 mple n’est jamais pour Ramuz un moyen de créer du mystère en brouillant les plans du réel, mais un moyen de rendre plus totale
49 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
77 us expliquer cela clairement, mais : « Tel est le mystère qu’il s’agit présentement de reporter sur le papier de l’encre la plu
50 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
78 tout en souffrant vaguement de se sentir exclu de mystères dont il croit encore qu’ils détiennent les secrets du pouvoir. Cepend
51 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
79 e par son hostilité à tout ce qui se fonde sur le mystère (créateur, humain ou cosmique), cette raison du rationalisme, qui n’e
80 a personne10. La lutte des hommes contre certains mystères despotiques peut être un moment héroïque de notre lutte contre la mor
52 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
81 ois qu’au fond de toute l’affaire, il s’agit d’un mystère religieux, d’une décision proprement religieuse. Mais il n’est pas en
53 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
82 les aspects, en éclaircir autant que possible le mystère , en illustrer les conséquences morales. Si la culture refuse d’agir,
83 avec les mains. Or cet acte en définitive est un mystère , le mystère même de la Communion. On peut le désigner par ses effets,
84 ins. Or cet acte en définitive est un mystère, le mystère même de la Communion. On peut le désigner par ses effets, mais cela n
85 on mauvaise, mais dans un acte créateur, règne le mystère de l’amour, le mystère de la communion. Mais ce mystère ne souffre po
86 un acte créateur, règne le mystère de l’amour, le mystère de la communion. Mais ce mystère ne souffre point définition. On ne p
87 e de l’amour, le mystère de la communion. Mais ce mystère ne souffre point définition. On ne peut l’approcher que par la voie d
54 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
88 contact entre l’éternité et le temps, qui est le mystère même. Cela n’entraîne pas qu’on ne puisse rien dire des réactions psy
55 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
89 tout en souffrant vaguement de se sentir exclu de mystères dont il croit encore qu’ils détiennent les secrets du pouvoir. Cepend
56 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
90 e par son hostilité à tout ce qui se fonde sur le mystère (créateur, humain ou cosmique), cette raison du rationalisme, qui n’e
91 a personne11. La lutte des hommes contre certains mystères despotiques peut être un moment héroïque de notre lutte contre la mor
57 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
92 ois qu’au fond de toute l’affaire, il s’agit d’un mystère religieux, d’une décision proprement religieuse. Mais il n’est pas en
58 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
93 les aspects, en éclaircir autant que possible le mystère , en illustrer les conséquences morales. Si la culture refuse d’agir,
94 avec les mains. Or cet acte en définitive est un mystère , le mystère même de la Communion. On peut le désigner par ses effets,
95 ins. Or cet acte en définitive est un mystère, le mystère même de la Communion. On peut le désigner par ses effets, mais cela n
96 on mauvaise, mais dans un acte créateur, règne le mystère de l’amour, le mystère de la communion. Mais ce mystère ne souffre po
97 un acte créateur, règne le mystère de l’amour, le mystère de la communion. Mais ce mystère ne souffre point définition. On ne p
98 e de l’amour, le mystère de la communion. Mais ce mystère ne souffre point définition. On ne peut l’approcher que par la voie d
59 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
99 elles du savant viennois. Elles englobent tout le mystère de la création poétique, elles font une part notable aux facteurs spi
60 1937, Articles divers (1936-1938). C’est jeune (10 avril 1937)
100 isse m’étreint. Je suis comme un enfant devant le mystère de « la vie… ». Profitant de mon innocence, que j’espère d’ailleurs p
61 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
101 scandale d’une éternité seule actuelle ? C’est un mystère plus profond que notre vie, et la raison n’est qu’un faible élément d
102 n’est qu’un faible élément de notre vie. C’est un mystère que le croyant pressent et vit au seul moment de la prière. « Demande
103 cise et instante, ne vit-il pas ce paradoxe et ce mystère  : croire que « l’Éternel est vivant », croire que sa volonté — qui a
62 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
104 une assez opaque science, sans détriment pour le mystère , qui reste entier. Cependant, à voir tant d’auteurs s’exercer l’imagi
105 son image40, et d’évasif devant sa vocation : le mystère de l’incarnation. Chamisso a donné à son Peter tous les traits physiq
63 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
106 e langage, la difficulté de s’exprimer ? Tout est mystère en eux, et pour eux-mêmes sans doute. Et on dit « le peuple », la vol
107 a peut-être capable de grandes choses — c’est son mystère — mais ne dites pas que vous le faites pour son bonheur, car il est p
64 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
108 à raconter sur ce pays. Je l’ai laissée en plein mystère . Elle a dû en parler longuement avec les clients qui attendaient en s
65 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
109 secrète, il en reçoit des dimensions nouvelles : mystère , fatalité, présence d’une tradition. À vrai dire, on ne croit guère à
66 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
110 à raconter sur ce pays… Je l’ai laissée en plein mystère . Elle a dû en parler longuement avec les clients qui attendaient en s
67 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
111 iétaires… Ce sont des êtres mystérieux. Mais leur mystère n’apparaît que de tout près. Il est au cœur même de leur vie et ils l
68 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
112 à raconter sur ce pays… Je l’ai laissée en plein mystère . Elle a dû en parler longuement avec les clients qui attendaient en s
113 e langage, la difficulté de s’exprimer ? Tout est mystère en eux, et pour eux-mêmes sans doute. Et on dit le Peuple, la volonté
114 a peut-être capable de grandes choses — c’est son mystère  — mais ne dites pas que vous le faites pour son bonheur, car il est p
69 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
115 pparence de but aux nostalgies élémentaires. Tout mystère dissipé, nié, raillé, il reste des routines et ces querelles d’argent
70 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
116 et sans doute l’ignorent-ils à peu près tous ; ce mystère que représente pour chaque homme sa propre vie, dès que la question d
71 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
117 qui distingua l’église chrétienne des religions à mystères et des autres cultes orientaux de cette époque, et qui fit d’elle dès
118 illumine aussi profondément qu’il est possible le mystère dernier d’Israël. « Je demande maintenant : Dieu a-t-il rejeté son pe
119 fet, je ne veux pas, frères, que vous ignoriez ce mystère , de peur que vous ne présumiez trop de votre sagesse : c’est qu’une p
72 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
120 scandale d’une éternité seule actuelle ? C’est un mystère plus profond que notre vie, et la raison n’est qu’un faible élément d
121 n’est qu’un faible élément de notre vie. C’est un mystère que le croyant pressent et vit au seul moment de la prière. « Demande
122 cise et instante, ne vit-il pas ce paradoxe et ce mystère  : croire que « l’Éternel est vivant », croire que sa volonté — qui a
73 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
123 luia ! Alléluia !82 Deux documents éclairent le mystère de ce triomphe, le sens dernier de cette vie et de cette mort. Le pre
74 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
124 e ceux-ci ne paraissent plus révélateurs que d’un mystère vague et flatteur. Comment expliquer autrement qu’à partir du xiie s
125 usqu’en plein xviie siècle : on avait oublié les mystères originels, mais les rites gardaient pour effet de socialiser l’acte d
126 oix d’un type de femme échappe de plus en plus au mystère personnel, et se trouve déterminé par Hollywood — et bientôt par l’Ét
75 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
127 au sens moderne et revendicateur. Elle procède du mystère de l’amour, elle n’est que le signe et la démonstration du triomphe d
128 n fascinante, mais il pressent, à peine tenté, le mystère difficile et grave d’une existence autonome, étrangère, d’une vie tot
129 ui ne change pas comme nous, révèle peu à peu son mystère  : c’est qu’au-delà de la tragédie, il y a de nouveau le bonheur. Un b
76 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
130 r la Providence : — « Ah ! vous ne croyez plus au mystère  ? Eh bien, je pose ce fait dans votre histoire, expliquez-le si vous
131 t de nos bassesses. Arrêtons-nous sur le seuil du mystère , car dès ici le diable en sait plus que nous.   J’aurais pu dire tout
77 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
132 olémiques. Beaucoup plus vaste est la portée d’un mystère intitulé Le Miroir du Monde, qui fut joué à Bâle en 1550. Ce premier
133 ir à sa rencontre. Les satires zwingliennes et le mystère de Valentin Boltz devaient être à l’origine d’une riche tradition dra
78 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
134 être un acte, nous laisse tous en suspens sur le mystère de notre époque : un mystère de nature religieuse. Vous l’éprouverez
135 us en suspens sur le mystère de notre époque : un mystère de nature religieuse. Vous l’éprouverez sans doute comme moi dans les
79 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
136 ne peut plus tricher). Voici peut-être la clé du mystère  : c’est qu’en respectant toutes les règles, nous ne pourrons jamais q
80 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
137 conquête spirituelle des hommes angoissés par le mystère d’une nature hostile et mouvante. La parole de raison, qui distingue
138 n libératrice, au terme des époques appauvries de mystère l’homme sceptique se rejette avec passion vers les « aspects nocturne
139 eva tout entier… » Peut-être touchons-nous ici le mystère même, la source inépuisable, le point originel et fascinant de tout j
81 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
140 és intimes répondait cet appel du dehors. Mais le mystère qui subsiste, c’est celui du hasard apparent qui présida au recoupeme
82 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
141 d’or (dernier en date), et il en parle comme d’un mystère sacré, en un siècle où pourtant la chevalerie n’était plus guère qu’u
142 sa forme d’expression4. Elle tient d’une part au mystère de son origine, et d’autre part à l’importance vitale des faits que l
143 vie même du romantisme en nous ; il est le grand mystère de cette religion dont les poètes du siècle passé se firent les prêtr
144 pour brouiller le seul texte qui pût éclaircir le mystère  ? 9. Gottfried de Strasbourg insiste avec cynisme : « Ce fut ainsi
145 ristan répond à ses questions douloureuses : « Ce mystère , je ne puis te le révéler. Jamais tu ne pourras connaître ce que tu d
83 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
146 primé, dans les formes les plus diverses, ce même mystère du Jour et de la Nuit, et de leur lutte mortelle dans l’homme. Il est
147 otérique. Il en alla de même, plus tard, pour les mystères manichéens, et en partie pour ceux des Celtes. Sur quoi le christiani
148 âche les indiscrets qui voudraient s’enquérir des mystères sans y participer de toute leur foi. À l’interrogation d’un impatient
149 . Ces légendes « exotiques », c’étaient les vieux mystères sacrés des Celtes, plus qu’à demi oubliés d’ailleurs par un Béroul ou
150 du la foi des druides, et oublié le sens de leurs mystères . Dans le cycle des légendes irlandaises, nous trouvons un grand nombr
84 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
151 Et là encore, la clé de l’opposition est dans le mystère de l’Incarnation. Le Roman est baigné par l’atmosphère celtique de l’
152 it donc que par la suite, le lecteur ignorant des mystères fut presque fatalement amené à transposer dans notre vie profane tout
153 ement Luther.) Ils pressentent que la Nuit est un mystère du Jour, dont le Jour seul détient le secret dernier116. Mais ils ign
85 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
154 ieux qu’ailleurs chez les poètes italiens le vrai mystère des troubadours, de même que c’est au crépuscule que se révèlent les
155 ne devons-nous pas, sous le voile du plus profond mystère , nous venger amplement de cette ineptie ? » (C’est moi qui ai soulign
156 pouvait dire l’indicible, elle a forcé le dernier mystère de Tristan. Mon propos n’est point de recenser les innombrables manif
157 la mort est une nuit de noces, un secret de doux mystères . L’ivresse des sens appartient peut-être à l’amour comme le sommeil à
158 re tolérable, c’est-à-dire au nom du bon sens. Du mystère bouleversant de la Nuit et de la destruction des corps, l’on a fait l
159 nce sacrée qui mène au Paradis et en explique les mystères . 121. C.-A. Cingria, Pétrarque. 122. Sainte Thérèse : « Ces grâces
86 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
160 t d’attirant tout à la fois. C’est le culte et le mystère sanglant autour duquel se crée une communauté nouvelle : la Nation.
87 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
161 e ceux-ci ne paraissent plus révélateurs que d’un mystère vague et flatteur. Comment expliquer autrement qu’à partir du xiie s
162 usqu’en plein xviie siècle : on avait oublié les mystères originels, mais les rites gardaient pour effet de socialiser l’acte d
163 oix d’un type de femme échappe de plus en plus au mystère personnel, et se trouve déterminé par Hollywood — et bientôt par l’Ét
88 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
164 au sens moderne et revendicateur. Elle procède du mystère de l’amour. Elle n’est que le signe et la démonstration du triomphe d
165 n fascinante, mais il pressent, à peine tenté, le mystère difficile et grave d’une existence autonome, étrangère, d’une vie tot
166 ui ne change pas comme nous, révèle peu à peu son mystère  : c’est qu’au-delà de la tragédie, il y a de nouveau le bonheur. Un b
89 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
167 aurait été un demi-dieu, le héraut symbolique des mystères , le « gardien des marcassins sacrés », c’est-à-dire des élèves des dr
90 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
168 charnelle, d’une communion avec la masse dans le mystère des origines : souvenirs, mythologies, rites magiques, races, contrai
91 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
169 urs m’arrachait à tout ce que j’aimais ? C’est le mystère de ma vie, Dorothée. Et voici mon passé devant moi, comme un livre d’
92 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
170  ! Dieu te parle par nos voix. De ta vie le grand mystère Au matin s’éclaircira. Pour ton peuple, ta patrie, Sacrifie ton sal
171 œur céleste. Terre et cieux prêtez l’oreille Au mystère de la paix. Cœur angoissé, cœur qui veille Ne cesse pas d’espérer !
93 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
172 d’or (dernier en date), et il en parle comme d’un mystère sacré, en un siècle où pourtant la chevalerie n’était plus guère qu’u
173 sa forme d’expression5. Elle tient d’une part au mystère de son origine, et d’autre part à l’importance vitale des faits que l
174 vie même du romantisme en nous ; il est le grand mystère de cette religion dont les poètes du siècle passé se firent les prêtr
175 pour brouiller le seul texte qui pût éclaircir le mystère  ? 11. Gottfried de Strasbourg insiste avec cynisme : « Ce fut ainsi
176 ristan répond à ses questions douloureuses : « Ce mystère , je ne puis te le révéler. Jamais tu ne pourras connaître ce que tu d
94 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
177 primé, dans les formes les plus diverses, ce même mystère du Jour et de la Nuit, et de leur lutte mortelle dans l’homme. Il est
178 otérique. Il en alla de même, plus tard, pour les mystères manichéens, et en partie pour ceux des Celtes. Sur quoi le christiani
179 ussent été les agents, nous passons maintenant au mystère d’une passion proprement religieuse, d’une conception mystique de l’h
180 âche les indiscrets qui voudraient s’enquérir des mystères sans y participer de toute leur foi. À l’interrogation d’un impatient
181 Jaspers, « la question ne s’arrête plus devant le mystère et perd stupidement son existence dans la réponse. » Je voudrais au c
182 à découvrir et adopter le christianisme, dont les mystères lui sont communiqués par le « bonhomme » Barlaam. La version qui nous
183 . Ces légendes « exotiques », c’étaient les vieux mystères sacrés des Celtes, plus qu’à demi oubliés d’ailleurs par un Béroul ou
184 du la foi des druides, et oublié le sens de leurs mystères . Dans le cycle des légendes irlandaises, nous trouvons un grand nombr
95 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
185 Et là encore, la clé de l’opposition est dans le mystère de l’Incarnation. Le Roman est baigné par l’atmosphère celtique de l’
186 it donc que par la suite, le lecteur ignorant des mystères fut presque fatalement amené à transposer dans notre vie profane tout
187 ement Luther.) Ils pressentent que la Nuit est un mystère du Jour, dont le Jour seul détient le secret dernier134. Mais ils ign
96 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
188 ieux qu’ailleurs chez les poètes italiens le vrai mystère des troubadours, de même que c’est au crépuscule que se révèlent les
189 ne devons-nous pas, sous le voile du plus profond mystère , nous venger amplement de cette ineptie ? » (C’est moi qui ai soulign
190 pouvait dire l’indicible, elle a forcé le dernier mystère de Tristan. Mon propos n’est point de recenser les innombrables manif
191 la mort est une nuit de noces, un secret de doux mystères . L’ivresse des sens appartient peut-être à l’amour comme le sommeil à
192 re tolérable, c’est-à-dire au nom du bon sens. Du mystère bouleversant de la Nuit et de la destruction des corps, l’on a fait l
193 nce sacrée qui mène au Paradis et en explique les mystères . 139. C. A. Cingria, Pétrarque. 140. Sainte Thérèse : « Ces grâces
97 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
194 ant et d’attirant à la fois. C’est le culte et le mystère sanglant autour duquel se crée une communauté nouvelle : la Nation.
98 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
195 e ceux-ci ne paraissent plus révélateurs que d’un mystère vague et flatteur. Comment expliquer autrement qu’à partir du xiie s
196 usqu’en plein xviie siècle : on avait oublié les mystères originels, mais les rites gardaient pour effet de socialiser l’acte d
197 oix d’un type de femme échappe de plus en plus au mystère personnel, et se trouve déterminé par Hollywood — ou par l’État. Doub
99 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
198 au sens moderne et revendicateur. Elle procède du mystère de l’amour. Elle n’est que le signe et la démonstration du triomphe d
199 n fascinante, mais il pressent, à peine tenté, le mystère difficile et grave d’une existence autonome, étrangère, d’une vie tot
200 ui ne change pas comme nous, révèle peu a peu son mystère  : c’est qu’au-delà de la tragédie, il y a de nouveau le bonheur. Un b
100 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
201 d’or (dernier en date), et il en parle comme d’un mystère sacré, en un siècle où pourtant la chevalerie n’était plus guère qu’u
202 l est des plus simples.) Elle tient d’une part au mystère de son origine, et d’autre part à l’importance vitale des faits que l
203 vie même du romantisme en nous ; il est le grand mystère de cette religion dont les poètes du siècle passé se firent les prêtr
204 pour brouiller le seul texte qui pût éclaircir le mystère  ? 6. Gottfried de Strasbourg insiste avec cynisme : « Ce fut ainsi
205 ristan répond à ses questions douloureuses : « Ce mystère , je ne puis te le révéler. Jamais tu ne pourras connaître ce que tu d