1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
1 fait des signes solennels ? » Une voix lente aux méandres songeurs, une simplicité qui n’est pas familière. C’est bien la poési
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)
2 cations intérieures, — et dans l’abandon de leurs méandres , peu à peu, se précisent les circonstances d’une aventure ancienne.
3 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
3 sophisme à la mode, qui vient trébucher dans les méandres de notre chemin : « Il faut se perdre pour se retrouver », nous ensei
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
4 is certes, un peu gêné par la lenteur de certains méandres , aimerait-on les sentir moins insistants, moins concertés. Mais n’est
5 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
5 sophisme à la mode, qui vient trébucher dans les méandres de notre chemin : « Il faut se perdre pour se retrouver », nous ensei
6 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
6 t qu’il suit Saint-Évremond de trop près dans les méandres de son éthique. Certes, il en fait valoir ainsi toutes les nuances, a
7 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
7 eurtriers. Comment un Gide ne voit-il pas que les méandres surveillés du « style exquis » entraînent l’esprit, l’imagination et
8 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
8 eurtriers. Comment un Gide ne voit-il pas que les méandres surveillés du « style exquis » entraînent l’esprit, l’imagination et
9 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
9 rfois, d’un large trait de joie ou de colère, les méandres méticuleux d’une véracité stérile ? ⁂ Les journaux d’écrivains sont t
10 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
10 enture sans fin, dont nous ne connaissons pas les méandres et oublions souvent le But. Dans un livre récent qui résume les réfle
11 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe détient les secrets de l’avenir, mais a-t-elle la volonté de vivre ? (13 juin 1962)
11 éserts. Plaines conquises sur la mer, fleuves aux méandres simplifiés par des canaux, tunnels routiers et ferroviaires, innombra
12 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
12 ’homme. Plaines conquises sur la mer, fleuves aux méandres simplifiés par des canaux, tunnels routiers et ferroviaires, innombra
13 1969, Articles divers (1963-1969). De l’Aar à l’Europe (1969)
13 tion d’un fleuve. Il s’agissait sans nul doute du Méandre , puisque cet ancêtre éponyme de tous les cours d’eau sinueux s’incurv
14 utre (280 kilomètres, c’est la longueur exacte du Méandre  !), mais elle draine tous les lacs entièrement suisses, du lac de Jou
14 1973, Responsabilité de l’écrivain dans la société européenne d’aujourd’hui (1973). « L’écrivain engagé, tel que je l’imagine et l’appelle »
15 s mains (1936) : Comment ne voit-il pas que les méandres surveillés de son style exquis entraînent l’esprit, l’imagination et