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fait des signes solennels ? » Une voix lente aux
méandres
songeurs, une simplicité qui n’est pas familière. C’est bien la poési
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cations intérieures, — et dans l’abandon de leurs
méandres
, peu à peu, se précisent les circonstances d’une aventure ancienne.
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sophisme à la mode, qui vient trébucher dans les
méandres
de notre chemin : « Il faut se perdre pour se retrouver », nous ensei
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is certes, un peu gêné par la lenteur de certains
méandres
, aimerait-on les sentir moins insistants, moins concertés. Mais n’est
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sophisme à la mode, qui vient trébucher dans les
méandres
de notre chemin : « Il faut se perdre pour se retrouver », nous ensei
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t qu’il suit Saint-Évremond de trop près dans les
méandres
de son éthique. Certes, il en fait valoir ainsi toutes les nuances, a
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eurtriers. Comment un Gide ne voit-il pas que les
méandres
surveillés du « style exquis » entraînent l’esprit, l’imagination et
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eurtriers. Comment un Gide ne voit-il pas que les
méandres
surveillés du « style exquis » entraînent l’esprit, l’imagination et
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rfois, d’un large trait de joie ou de colère, les
méandres
méticuleux d’une véracité stérile ? ⁂ Les journaux d’écrivains sont t
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enture sans fin, dont nous ne connaissons pas les
méandres
et oublions souvent le But. Dans un livre récent qui résume les réfle
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éserts. Plaines conquises sur la mer, fleuves aux
méandres
simplifiés par des canaux, tunnels routiers et ferroviaires, innombra
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’homme. Plaines conquises sur la mer, fleuves aux
méandres
simplifiés par des canaux, tunnels routiers et ferroviaires, innombra
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tion d’un fleuve. Il s’agissait sans nul doute du
Méandre
, puisque cet ancêtre éponyme de tous les cours d’eau sinueux s’incurv
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utre (280 kilomètres, c’est la longueur exacte du
Méandre
!), mais elle draine tous les lacs entièrement suisses, du lac de Jou
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s mains (1936) : Comment ne voit-il pas que les
méandres
surveillés de son style exquis entraînent l’esprit, l’imagination et