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ambules préfèrent d’aller à pied ; mais moi je me
méfie
; se promener seul la nuit dans une ville étrangère, n’est-ce point l
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ctambules préfèrent aller à pied ; mais moi je me
méfie
; se promener seul la nuit dans une ville étrangère, n’est-ce point l
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e premier, c’étaient les miracles. Aussi bien, se
méfiait
-on de plus en plus de ces miracles, pour s’attacher au seul caractère
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re même où je le repousse, que je suis amené à me
méfier
du communisme. Je ne reprendrai pas ici la critique du capitalisme. M
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. C’est parce que nous sommes objectifs qu’ils se
méfient
; c’est parce qu’ils se méfient qu’ils nous traitent d’utopistes et d
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jectifs qu’ils se méfient ; c’est parce qu’ils se
méfient
qu’ils nous traitent d’utopistes et de gens peu pratiques. Ils répète
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royant. Il n’y a donc pas lieu de s’agiter. Je me
méfie
toujours des théories d’action que proposent les incroyants. Benda es
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re même où je le repousse, que je suis amené à me
méfier
du communisme. Je ne reprendrai pas ici la critique du capitalisme. M
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. C’est parce que nous sommes objectifs qu’ils se
méfient
; c’est parce qu’ils se méfient qu’ils nous traitent d’utopistes et d
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jectifs qu’ils se méfient ; c’est parce qu’ils se
méfient
qu’ils nous traitent d’utopistes et de gens peu pratiques. Ils répète
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royant. Il n’y a donc pas lieu de s’agiter. Je me
méfie
toujours des théories d’action que proposent les incroyants. Benda es
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tte tentation très réelle, que je suis amené à me
méfier
, ou tout au moins à m’approcher avec une prudence critique extrême, d
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de la responsabilité « individuelle ». Mais je me
méfie
de cet « individu », pour des raisons sur lesquelles il est inutile d
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s un allemand populaire et grossier30. Il faut se
méfier
de la gloire qu’on lui a faite. On nous rapporte par exemple que « dé
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ention de métaphores. Mais Paracelse justement se
méfie
de ce mode — de cette mode — d’expression, qui lui paraît peu scienti
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eptent les buts de leur travail, et que nous nous
méfions
généralement des buts obscurs, peut-être criminels, du nôtre. 2) Mais
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aut s’arrêter, confronter, se reprendre, aussi se
méfier
de certaines apparences d’intimité qui cachent sans doute encore une
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t là la poussée, le coup de pouce simplificateur.
Méfions
-nous des critiques « impartiales », des « je vous parle en toute sinc
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ceptent les buts de leur travail et que nous nous
méfions
généralement des buts obscurs, peut-être criminels, du nôtre. 2° Mais
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e l’avenir, que l’on décore du nom d’idéal. Je me
méfie
profondément de toute espèce d’idéal. Je me méfie en particulier de c
21
méfie profondément de toute espèce d’idéal. Je me
méfie
en particulier de cet idéal « dynamique » que l’on baptise l’Homme no
22
Ce serait oublier ceux qui nous ont appris à nous
méfier
des maîtres. Je viens de nommer Nietzsche, — Nietzsche qui, le premie
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t là la poussée, le coup de pouce simplificateur.
Méfions
-nous des critiques « impartiales », des « je vous parle en toute sinc
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ceptent les buts de leur travail et que nous nous
méfions
généralement des buts obscurs, peut-être criminels, du nôtre. 2° Mais
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m d’idéal et auquel on accorde blanc-seing. Je me
méfie
profondément de toute espèce d’idéal. Je me méfie en particulier de c
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méfie profondément de toute espèce d’idéal. Je me
méfie
en particulier de cet idéal « dynamique » que l’on baptise l’Homme no
27
Ce serait oublier ceux qui nous ont appris à nous
méfier
des maîtres. Je viens de nommer Nietzsche, — Nietzsche qui, le premie
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électeur veut qu’on soit pour ou contre, et il se
méfie
par principe de celui qui distingue et nuance. On ne tiendra jamais a
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ve est en principe inférieure à l’agressivité. Se
méfier
de la violence, avoir peur des risques féconds qu’elle institue, c’es
30
la volonté et la mission du peuple. On a beau se
méfier
des phrases, il faut se trouver placé soudain devant les êtres en cha
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subitement sans intérêt. Je ne sens pas qu’ils se
méfient
de moi. Simplement, ils n’ont jamais formé de phrases, dans leur tête
32
choses-là. Non seulement je ne sens pas qu’ils se
méfient
de moi en tant qu’intellectuel ou « spécialiste », mais encore je dev
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subitement sans intérêt. Je ne sens pas qu’ils se
méfient
de moi. Simplement, ils n’ont jamais formé de phrases, dans leur tête
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choses-là. Non seulement je ne sens pas qu’ils se
méfient
de moi en tant qu’intellectuel ou « spécialiste », mais encore je dev
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la volonté et la mission du peuple. On a beau se
méfier
des phrases, il faut se trouver placé soudain devant les êtres en cha
36
s quinze jours… Reprenons cela. « Moins d’idées !
Méfions
-nous de l’intellectualisme ! » Est-ce qu’il y a vraiment lieu de se p
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dès qu’un autre me fait réagir.) Me suis-je assez
méfié
du genre journal intime ? Depuis six semaines que nous sommes à A…, m
38
électeur veut qu’on soit pour ou contre, et il se
méfie
par principe de celui qui distingue et nuance. On ne tiendra jamais a
39
et soient fidèles… La grande affaire, c’est de se
méfier
d’un romantisme communautaire qui se répand dans la jeunesse. Fonder
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les trusts qui ont absorbé les petites sociétés.
Méfions
-nous d’un certain abus du terme de « socialisme », trop fréquent chez
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moine, parfois même suspecté par l’Église qui se
méfie
de cet « irrégulier ». Ne dit-on pas que, durant les vingt ans de sa
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aux sentiments vulgaires ? Il le prend de haut :
méfions
-nous. C’est qu’il se dispose à mentir. Il ne faut point servir d’obj
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est ici de nos vertus mêmes qu’il importe de nous
méfier
. Méfions-nous d’une certaine manière trop humaine de prôner ou de lai
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de nos vertus mêmes qu’il importe de nous méfier.
Méfions
-nous d’une certaine manière trop humaine de prôner ou de laisser prôn
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aux sentiments vulgaires ? Il le prend de haut :
méfions
-nous. C’est qu’il se dispose à mentir. Il ne faut point servir d’obj
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aux sentiments vulgaires ? Il le prend de haut :
méfions
-nous. C’est qu’il se dispose à mentir. Il ne faut point servir d’obj
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quoi ? Parce que nous sommes un petit pays qui se
méfie
des grandes entreprises, ou simplement des enthousiasmes. Parce que c
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jusqu’ici de la tentation dictatoriale. Nous nous
méfions
beaucoup plus que nos voisins des esprits « trop » entreprenants. Nou
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des esprits « trop » entreprenants. Nous nous en
méfions
en vertu d’un instinct démocratique tout à fait sain à l’origine, je
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l’a peut-être trop dit. Autrefois, les Suisses se
méfiaient
des personnalités trop affichées, parce qu’ils craignaient qu’elles n
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est ici de nos vertus mêmes qu’il importe de nous
méfier
. Méfions-nous d’une certaine manière trop humaine de prôner ou de lai
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de nos vertus mêmes qu’il importe de nous méfier.
Méfions
-nous d’une certaine manière trop humaine de prôner ou de laisser prôn
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l’a peut-être trop dit. Autrefois les Suisses se
méfiaient
des personnalités trop affichées, parce qu’ils craignaient qu’elles n
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est ici de nos vertus mêmes qu’il importe de nous
méfier
. Méfions-nous d’une certaine manière trop humaine de prôner ou de lai
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de nos vertus mêmes qu’il importe de nous méfier.
Méfions
-nous d’une certaine manière trop humaine de prôner ou de laisser prôn
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e, c’est Ramuz. Parce qu’il aime les choses et se
méfie
des mécaniques interposées entre l’homme et les choses. Aussi bien n’
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vie », je la connais autant que cet auteur. Je me
méfie
, et bientôt discute. Et plus l’auteur paraît désireux de me convaincr
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plus de raisons de nous en réjouir que de nous en
méfier
. b. « Le rêve américain », Carrefour, Paris, n° 64, 9 novembre 1945
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s. Je voudrais insister sur ce point. Ceux qui se
méfient
de l’Amérique, en Europe, l’accusent à la fois d’être là et, pour com
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subitement sans intérêt. Je ne sens pas qu’ils se
méfient
de moi. Simplement, ils n’ont jamais formé de phrases, dans leur tête
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choses-là. Non seulement je ne sens pas qu’ils se
méfient
de moi en tant qu’intellectuel ou « spécialiste », mais encore je dev
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la volonté et la mission du peuple. On a beau se
méfier
des phrases, il faut se trouver placé soudain devant les êtres en cha
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s quinze jours… Reprenons cela. « Moins d’idées !
Méfions
-nous de l’intellectualisme ! » Est-ce qu’il y a vraiment lieu de se p
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s qu’un autre me fait réagir.) Me suis-je assez
méfié
du genre journal intime ? Depuis six semaines que nous sommes à A…, m
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électeur veut qu’on soit pour ou contre, et il se
méfie
par principe de celui qui distingue et nuance. On ne tiendra jamais a
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et soient fidèles… La grande affaire, c’est de se
méfier
d’un romantisme communautaire qui se répand dans la jeunesse. Fonder
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eur conclut en engageant les antifascistes « à se
méfier
(de moi) ». Mais à peu près à la même date, La Dépêche de Toulouse éc
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ense majorité nous refusons le premier, nous nous
méfions
du second. Notre idée de l’homme n’est pas celle du Kremlin ni celle
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motifs de plus de nous en réjouir que de nous en
méfier
. J’essaierai de suggérer ces motifs au cours des chapitres suivants.
70
s. Je voudrais insister sur ce point. Ceux qui se
méfient
de l’Amérique, en Europe, l’accusent à la fois d’être là et de n’être
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ferait prendre au sérieux. De plus, les hommes se
méfieront
de vous, s’ils sont mariés, à cause de la réputation que leurs femmes
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nse majorité, nous refusons le premier, nous nous
méfions
du second. Notre idée de l’homme n’est pas celle du Kremlin, ni celle
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nymes. J’espère bien que vous êtes de ceux qui se
méfient
des grands mots du genre de paix et de liberté et qui demandent à voi
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usait les dimensions profondes. J’ai dit qu’il se
méfiait
d’une certaine « profondeur » qui mesure parfois la distance entre l’
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à ceux qui refusent l’engagement partisan, qui se
méfient
des plans et demandent à voir, à ceux enfin qui dans leur solitude, d
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lièrement plus de raisons de se redouter et de se
méfier
… que de s’aimer et de se fondre en une seule patrie commune, constate
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nt le « bailli de tous les Confédérés ». Berne se
méfiait
de ses ambitions. Finalement, une armée catholique s’approcha de Zuri
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e latine, est restée étrangère à un peuple qui se
méfie
des positions tranchées, des antithèses irréductibles. Son esprit jur
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e stalinisme, vous n’avez plus de raisons de vous
méfier
de l’URSS. Réponse : Tout n’est pas condamné, loin de là, et ce n’es
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montre assez bien pourquoi le Français cultivé se
méfie
du fédéralisme. Voici comment Littré présente ce mot : Fédéralisme.
81
ucoup ; absolue négation, pour dire qu’il faut se
méfier
, et immortalité pour dire longévité. Notre hygiène, augmentant de cin
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fraternel qui régnait dans les « agapes ». Ils se
méfiaient
du mot Éros, et on les comprend. » (R. Flacelière, l’Amour en Grèce,
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en dehors de la théologie, qui n’a cessé de s’en
méfier
: je pense aux ultimes conclusions de Maître Eckhart, de Ruysbroek l’
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usait les dimensions profondes. J’ai dit qu’il se
méfiait
d’une certaine « profondeur », qui mesure parfois la distance entre l
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aucoup ; absolue négation pour dire qu’il faut se
méfier
, et immortalité pour dire longévité. Notre hygiène, augmentant de cin
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anque son but, puisque aussitôt que le lecteur se
méfie
de l’impartialité de l’historien, il doute de la vérité de tout ce qu
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membres). Elle ne sera pas permanente, car on se
méfie
d’une caste militaire et l’on ne veut pas donner à l’État fédéral un
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dis qu’à Bâle, le régime aristocratique mitigé se
méfie
de la noblesse mais non des grandes fortunes. C’est qu’à Zoug, à Schw
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e à l’authentique toujours un peu bizarre, qui se
méfie
profondément du beau parleur et soupçonne d’insincérité tout discours
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e latine, est restée étrangère à un peuple qui se
méfie
des positions tranchées, des antithèses irréductibles. Le culte zwing
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s, ne doivent pas nous apprendre seulement à nous
méfier
de toute espèce d’hégémonie, ou impérialisme quand il s’agit d’unir l
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l s’agit d’unir l’Europe, mais plus encore à nous
méfier
de la formule nationale elle-même dont, après tout, l’impérialisme ne
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rodine, aussitôt, avertit le docteur d’avoir à se
méfier
, ce dont — visiblement impressionné — il fait part aux lecteurs de so
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u, d’où la nécessité de garder le secret et de se
méfier
des délateurs ou lauzengiers (merkaere) ; — les ruses de la Dame pour
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et demeure à peine imaginable. Commentaire Je me
méfie
des « bons prophètes », de ceux auxquels l’histoire donne entièrement
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courtois », une rudesse utilitaire qui semble se
méfier
de la courtoisie comme d’une espèce de fourberie, précisément ; chez
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décision encore plus réduit. Voilà pourquoi je me
méfie
des révolutions… Le « toujours plus » qui conduit à l’absurde J
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c’est sérieux et encourageant. Voyez-vous : je me
méfie
des attaques frontales contre l’État, qui renforcent toujours ce dern
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ence — minorité, écorégion, région ethnique —, se
méfie
par principe de toute autonomie, détruit les équilibres naturels, et
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Ce serait oublier ceux qui nous ont appris à nous
méfier
des maîtres. Je viens de nommer Nietzsche, — Nietzsche qui, le premie
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ques, et pour tout dire d’un mot dont l’auteur se
méfie
: plus « engagées ». Là-dessus, je me propose de revenir. Mais d’abor
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is l’impérialisme sous toutes ses formes et je me
méfie
fondamentalement des messianismes religieux ou laïques par lesquels s
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age sur les voisins). e) Enfin, nous devrons nous
méfier
d’expressions telles que « découpage des régions », ou « taille optim
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conjugués du hasard et de la nécessité. Cependant
méfions
-nous : il y a dans ce scepticisme un merveilleux moyen d’éluder cette
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un terme dont les personnalistes se sont toujours
méfiés
, car il suppose que c’est encore au centre qu’appartient la distribut
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est absolument faux ; la vérité est que Lénine se
méfiait
énormément des soviets, où il voyait, à juste titre, un ferment d’ana