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nne non sans quelque aigreur, et critique avec un
mépris
tranquille ; le Français riposte sans conviction, et sous sa défense
2
pprofondissement du moi, soif de tout et pourtant
mépris
de tout, procédant d’un goût de l’absolu à la fois mystique et anarch
3
candaleux, quelques « goujateries » affectées par
mépris
de l’honneur, le mot de Cambronne prodigué et des phrases d’un fascin
4
français » qui s’associe à tant d’objets de votre
mépris
, en prenant le contre-pied de tout ce qu’il inspire ? Alors que cette
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pression nouvelle, et non dénuée d’ironie, de mon
mépris
pour ce qu’ils appellent, ridiculement, les fondements mêmes de la so
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fumer excessivement, leurs amours, l’égoïsme, le
mépris
de la réalité, l’exaltation maladive de l’imagination et de la sensib
7
simple bon sens, et l’ignorance systématique, le
mépris
enfin de tous les principes qui sont à la base de la société même. »
8
La part du feu. Lettres sur le
mépris
de la littérature (juillet 1927)o I Parler littérature Si je
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ci un bar où je vous suis. Vous y entrez plein de
mépris
pour Paul Morand par qui découvrîtes le charme de ces lieux. Vous com
10
ns saveur. Mais fraîche. Ainsi, jusque dans votre
mépris
pour le pittoresque, vous témoignez d’un goût du bizarre qui révèle l
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pas qu’on lui parle littérature. Mais il y a des
mépris
qui sont de sournoises déclarations d’amour. Tel qui raille l’Église
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de la religion. Ainsi, de la littérature : votre
mépris
pour ses réalisations actuelles donne la mesure de ce que vous attend
13
elle. Pour dire le fond de ma pensée, je crois ce
mépris
et cette attente également exagérés. Vous savez bien que nous chercho
14
’esprit. Et vous savez ce qu’elle nous vaut : les
mépris
, les haines douloureuses ou grossières de tous ceux qui ne peuvent ou
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quelques êtres par le monde… Il ne s’agit plus de
mépris
ni d’adoration. J’ai défini une « maladie » dont je parviens à tirer
16
es écrire ». o. « La part du feu. Lettres sur le
mépris
de la littérature », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genè
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ma lâcheté. Et je t’apostrophe, soudain plein de
mépris
et de désespoir, ô vie sans faute, vie sans joie… Ah ! plus amère, pl
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un exemple individuel ? Nous savons assez en quel
mépris
l’homme d’affaires à l’américaine tient les choses de l’Esprit. Dans
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ignore, il n’est pas plus admissible d’inférer du
mépris
de Rimbaud pour le catholicisme à son mépris pour la révélation évang
20
r du mépris de Rimbaud pour le catholicisme à son
mépris
pour la révélation évangélique. Je ne vois là que l’indice d’une conf
21
retour à la barbarie ? » Si ce réflexe indique un
mépris
vraiment exagéré pour la jugeote de l’adversaire ou s’il traduit simp
22
t humaine, et une honte secrète qui exaspérait ce
mépris
et le rendait agressif. Mais moi, j’avais trop souffert de cette comp
23
son incompréhension méthodique des hommes et son
mépris
pour les paysans. Qu’il soit officier ou troupier, on le reconnaît à
24
re que ce soit, voudraient « se distinguer ». (Le
mépris
que notre peuple met dans cette expression !) Pour moi ce que je reti
25
nnaître et qui s’élabore déjà secrètement, que ce
mépris
et ce scepticisme sont d’un ridicule écrasant, sous lequel vous ne ta
26
ier plus un seul article de fond où ne perce leur
mépris
pour l’instruction publique. Ils peuvent dire ce qu’ils veulent à pro
27
retour à la barbarie ? » Si ce réflexe indique un
mépris
vraiment exagéré pour la jugeotte de l’adversaire ou s’il traduit sim
28
t humaine, et une honte secrète qui exaspérait ce
mépris
et le rendait agressif. Mais moi, j’avais trop souffert de cette comp
29
son incompréhension méthodique des hommes et son
mépris
pour les paysans. Qu’il soit officier ou troupier, on le reconnaît à
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re que ce soit, voudraient se « distinguer ». (Le
mépris
que notre peuple met dans cette expression !) Pour moi, ce que je ret
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nnaître et qui s’élabore déjà secrètement, que ce
mépris
et ce scepticisme sont d’un ridicule écrasant, sous lequel vous ne ta
32
ier plus un seul article de fond où ne perce leur
mépris
pour l’instruction publique. Ils peuvent dire ce qu’ils veulent à pro
33
ons ?) 2. En vérité, ce temps est peu propice au
mépris
et à l’adoration : où que se portent nos regards, ils rencontrent des
34
t… Cela demanderait certains sacrifices, certains
mépris
qui passent tellement la « mesure » parisienne — physiologique et mor
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tuels : orgueil de la Vie, haine de cette vie-ci,
mépris
de la religion et ferveur pour des « valeurs nouvelles » encore plus
36
e description inégalable du mal du siècle. Ici le
mépris
ne porte aucune atteinte à la perspicacité parce qu’il est vraiment s
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Drôles de révolutionnaires que l’on séduit par le
mépris
. Certes, ils sont conformistes pis qu’à la gauche, mais pas plus loin
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d’attaquer ce qui est ; ils témoignent de plus de
mépris
que d’amour vrai des hommes, ils abusent de l’empire et de la condamn
39
t concret. Au contraire, il en émane une sorte de
mépris
satisfait qui révèle un intellectuel déchaîné plus qu’un partisan con
40
ans son public soit à coup sûr d’écœurement et de
mépris
, devant cette déjection, grassement payée mais qui peut coûter cher à
41
a le plus méprisé ? N’est-ce point à cause de ce
mépris
qu’elle a perdu le secret de l’humain ? Car voici bien le monde qu’on
42
a le plus méprisé ? N’est-ce point à cause de ce
mépris
qu’elle a perdu le secret de l’humain ? Car voici bien le monde qu’on
43
cher à obéir aux ordres de sa foi, fût-ce même au
mépris
de sa vie : tel est le fondement de l’attitude de service et de sacri
44
onge que ce « paradis » doit être payé ici-bas du
mépris
des garanties humaines les plus élémentaires, — et toute l’histoire d
45
rre. (C’est par cela surtout qu’il est Suisse, au
mépris
de tous les racismes.) On avait, dans ce groupe, une espèce de mystiq
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tablement qualifié. La mode est au marxisme et au
mépris
de la Nature ? Mode bourgeoise, tyrannie décadente, tout occupée à ca
47
es yeux beaucoup plus graves et significatifs. Le
mépris
dans lequel on tient aujourd’hui le théoricien est peut-être la juste
48
ire : tel qu’on le laisse aller. Craignons que ce
mépris
, toutefois, ne tourne en habitude, ne se fige en une convention fauss
49
force de précision et de vigueur spirituelle, au
mépris
de toute rhétorique. 13. « La Révolution est-elle nécessaire ? », NR
50
u romantisme, je proposerais d’ériger en vertu le
mépris
d’une certaine originalité de forme. Le raffinement des moyens artist
51
e l’unité à tout prix et dans tous les ordres, au
mépris
de toutes les diversités organiques et fécondes. C’est cette idéologi
52
uivie. On n’aboutit pas à l’humain en agissant au
mépris
des humains. On n’agit pas humainement si l’on ignore notre vraie con
53
rche à obéir aux ordres de sa foi, fût-ce même au
mépris
de sa vie : tel est le fondement de l’attitude de service et de sacri
54
onge que ce « paradis » doit être payé ici-bas du
mépris
des garanties humaines les plus élémentaires, — et toute l’histoire d
55
es yeux beaucoup plus graves et significatifs. Le
mépris
dans lequel on tient aujourd’hui le théoricien est peut-être la juste
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ire : tel qu’on le laisse aller. Craignons que ce
mépris
toutefois, ne tourne en habitude, ne se fige en une convention fausse
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uivie. On n’aboutit pas à l’humain en agissant au
mépris
des humains. On n’agit pas humainement si l’on ignore notre vraie con
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rche à obéir aux ordres de sa foi, fût-ce même au
mépris
de sa vie : tel est le fondement de l’attitude de service et de sacri
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onge que ce « paradis » doit être payé ici-bas du
mépris
des garanties humaines les plus élémentaires, — et toute l’histoire d
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obligeront même à corriger les déviations que son
mépris
de l’homme concret devait imprimer à la tactique de Lénine. C’est ain
61
d’un christianisme vrai. Mais Nietzsche ? Est-ce
mépris
tout simplement ? Ou bien plutôt, dernier défi, secrète angoisse de n
62
rix. On ne saurait proclamer plus cyniquement son
mépris
pour les réalités que défendent, chacun à sa manière, catholiques et
63
’espèce de « paix » que l’État prétend assurer au
mépris
des réalités spirituelles, et sous prétexte d’apaiser leur conflit. S
64
bolchévisme de salon », d’un abandon, voire d’un
mépris
de la culture et de l’esprit qui marque à son insu l’élite bourgeoise
65
vouer au culte d’une élite inféconde, et au juste
mépris
des masses. V. Situation faite aux intellectuels a) le culte d
66
jamais récupérées sur la très maigre vente et le
mépris
du directeur commercial. Je suppose mon clerc peu fortuné. Deux espèc
67
à souffrir de la carence de l’esprit. 29. De ce
mépris
de la pensée pure et des discours vient l’engouement pour ceux qu’on
68
ïques, inoffensifs. Les clercs savent bien que ce
mépris
cordial et ces honneurs rendus au mythe du Progrès, plus qu’à eux-mêm
69
, — et cette louange est la meilleure excuse à ce
mépris
. Pourquoi voudrait-on que les foules aient plus de respect pour le sp
70
épithète de « matérialiste ». Il n’a pas assez de
mépris
pour le « fatalisme » et le mécanisme « grossier » des La Mettrie, de
71
Même, il se jette d’abord vers cette grandeur, au
mépris
de la faim ou de la liberté ; il a suffi qu’on lui propose, souvent s
72
Albin Michel. 25. Les injures et les marques de
mépris
hautain dont se gratinent les poètes, les essayistes et les politicie
73
sans classes ? « Comment n’être pas choqué par le
mépris
, ou tout au moins l’indifférence, que ceux qui sont et qui se sentent
74
de l’esprit ? 34. Les injures et les marques de
mépris
hautain dont se gratifient les poètes, les essayistes et les politici
75
. On se servit du « spirituel » pour justifier le
mépris
où l’on était forcé de tenir la culture. On fit appel à la doctrine m
76
, outre les procédés juridiques qu’on imagine, le
mépris
le plus efficace pour tous les non-conformistes intellectuels, isolés
77
Même, il se jette d’abord vers cette grandeur, au
mépris
de la faim ou de la liberté ; il a suffi qu’on lui propose, souvent s
78
ou Stinnes — son affectation de vie simple et son
mépris
des fins humaines du crédit, et de la jouissance actuelle des biens t
79
n détruise les machines et je n’ai pas le moindre
mépris
pour les balances, surtout si elles sont justes. Mais je demande qu’o
80
s deux chez Diderot et Rousseau), toujours par le
mépris
où l’on tient les conditions de possibilité de la pensée. Dans ce com
81
ie des qualificatifs moins indulgents qui vont du
mépris
à la haine, de ridicule à révolutionnaire. Encore a-t-on passablement
82
de l’esprit ? 35. Les injures et les marques de
mépris
hautain dont se gratifient les poètes, les essayistes et les politici
83
. On se servit du « spirituel » pour justifier le
mépris
où l’on était forcé de tenir la culture. On fit appel à la doctrine m
84
, outre les procédés juridiques qu’on imagine, le
mépris
le plus efficace pour tous les non-conformistes intellectuels, isolés
85
Même, il se jette d’abord vers cette grandeur, au
mépris
de la faim ou de la liberté ; il a suffi qu’on lui propose, souvent s
86
ou Stinnes — son affectation de vie simple et son
mépris
des fins humaines du crédit, et de la jouissance actuelle des biens t
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n détruise les machines et je n’ai pas le moindre
mépris
pour les balances, surtout si elles sont justes. Mais je demande qu’o
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es deux chez Diderot et Rousseau) toujours par le
mépris
où l’on tient les conditions de possibilité de la pensée. Dans ce com
89
ie des qualificatifs moins indulgents qui vont du
mépris
à la haine, de ridicule à révolutionnaire. Encore a-t-on passablement
90
rseur du national-socialisme, ou « à quoi mène le
mépris
des valeurs de père de famille ». (On dit aussi, pour la rime sans do
91
s les académies de son siècle eussent rejeté avec
mépris
et pitié. Mais la gloire posthume est un « titre » ; « l’intérêt » s’
92
exemple, une grande idée embrassée avec force au
mépris
de soi-même et de l’utilité. Car elle peut devenir le fait dominateur
93
Mais où diable a-t-il ramassé cette platitude du
mépris
de l’intellectualisme ? (terme propre à vous dégoûter de toute espèce
94
l me semble au contraire, plus je le lis, que son
mépris
de la pensée n’est pour lui qu’une naïve et désarmante excuse à pense
95
spécialité, se forgeant une langue singulière au
mépris
de tout « sens » commun, et convoquant enfin, à grands frais d’invent
96
exemple, une grande idée embrassée avec force au
mépris
de soi-même et de l’utilité. Car elle peut devenir le fait dominateur
97
e, dit la loi ; et ce respect vulgarisé touche au
mépris
. De là vient que le meurtrier tantôt est acquitté, tantôt décapité. V
98
n’importe quelle ridicule tête vide toisait avec
mépris
ceux qui n’appartenaient pas à la « société ». Le national-socialisme
99
s sans opposition de la France. Honneur veut dire
mépris
des traités. Et ce qu’on souhaite au peuple — et qu’on lui donne — c’
100
e. Glorification de l’esprit d’amour, chasteté et
mépris
de la chair, goût de la mort que l’on préfère aux biens de ce monde,
101
ciences anarchiques pour lesquelles ils n’ont que
mépris
. Ce qu’ils veulent diriger, ce sont nos lourds instincts, nos peurs,
102
r n’oublie jamais son rang. Son naturel, c’est le
mépris
; rien n’est plus loin de la nature. Voyez comme il se sert des femme
103
iens intimes : la suppression du droit romain, le
mépris
des frontières et des obligations, le culte des morts rétabli, le rêv
104
iie siècle, c’est le mariage qui est en butte au
mépris
, tandis que la passion est glorifiée dans la mesure même où elle est
105
a morale ésotérique : mortifications corporelles,
mépris
de la création, dissolution de tous les « liens mondains ». Saint Ber
106
similer à la « littérature » en général, terme de
mépris
vouant à une exécration globale les « tendances dissolvantes », l’« a
107
réforme. On l’avait fait monter sur le bûcher au
mépris
de la parole donnée. Il semblait que la chrétienté se regroupait, non
108
ls sont assez forts pour lever le masque, et leur
mépris
de la personne. Voici, à mon avis, les causes de ces deux phénomènes.
109
ce sans frein, phénomène de piraterie sociale, de
mépris
du bien commun, phénomène typiquement individualiste. Un dernier exem
110
rt. Car j’ai vu dans mon peuple la violence et le
mépris
des lois divines. (La lumière qui environne Nicolas faiblit. Il repr
111
iie siècle, c’est le mariage qui est en butte au
mépris
, tandis que la passion est glorifiée dans la mesure même où elle est
112
a morale ésotérique : mortifications corporelles,
mépris
de la création, dissolution de tous les liens mondains. Saint Bernard
113
similer à la « littérature » en général, terme de
mépris
vouant à une exécration globale les « tendances dissolvantes », l’« a
114
iie siècle, c’est le mariage qui est en butte au
mépris
, tandis que la passion est glorifiée dans la mesure même où elle est
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a morale ésotérique : mortifications corporelles,
mépris
de la création, dissolution de tous les liens mondains. Saint Bernard
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similer à la « littérature » en général, terme de
mépris
vouant à une exécration globale les « tendances dissolvantes », l’« a
117
tions, les plus fréquentes, du christianisme : le
mépris
de la nature, et d’autre part, le recours à l’orthodoxie comme à une
118
aard, un Vinet ou un Nietzsche ? Rien, sinon leur
mépris
pour les idoles bourgeoises, et leur vision précise du châtiment qui
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aard, un Vinet ou un Nietzsche ? Rien, sinon leur
mépris
pour les idoles bourgeoises, et leur vision précise du châtiment qui
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ls sont assez forts pour lever le masque, et leur
mépris
de la personne. Voici, à mon avis, les causes de ces deux phénomènes.
121
ce sans frein, phénomène de piraterie sociale, de
mépris
du bien commun, phénomène typiquement individualiste10. Un dernier e
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ls sont assez forts pour lever le masque, et leur
mépris
de la personne. Voici, à mon avis, les causes de ces deux phénomènes.
123
ce sans frein, phénomène de piraterie sociale, de
mépris
du bien commun, phénomène typiquement individualiste69. Un dernier ex
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oncentration, c’est-à-dire de fidélité ; enfin le
mépris
des biens terrestres et du bonheur. Ce composé ne saurait être aussi
125
oncentration, c’est-à-dire de fidélité ; enfin le
mépris
des biens terrestres et du bonheur. Ce composé ne saurait être aussi
126
oncentration, c’est-à-dire de fidélité ; enfin le
mépris
des biens terrestres et du bonheur. Ce composé ne saurait être aussi
127
gloire, ce n’est pas l’amour mais au contraire le
mépris
du prochain. Le Prince André n’a pas trouvé de prochains, car il n’a
128
puisse affirmer que Dieu damne qui il veut, — au
mépris
de tant de grands hommes de tous les temps. Et qui ne se scandalisera
129
tions, les plus fréquentes, du christianisme : le
mépris
de la nature, et d’autre part, le recours à l’orthodoxie comme à une
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iens intimes : la suppression du droit romain, le
mépris
des frontières et des obligations, le culte des morts rétabli, le rêv
131
cette brutalité vis-à-vis de leurs sujets, de ce
mépris
de la vie humaine en gros et en détail, de ce refus d’ouvrir leurs fr
132
vec la méfiance d’autrui, voire l’hostilité et le
mépris
. Car c’est de toutes ces confusions que se nourrit le virus nationali
133
vec la méfiance d’autrui, voire l’hostilité et le
mépris
. Car c’est de toutes ces confusions que se nourrit le virus nationali
134
a le plus méprisé ? N’est-ce point à cause de ce
mépris
qu’elle a perdu le secret de l’humain ? Car voici bien le monde qu’on
135
Mais où diable a-t-il ramassé cette platitude du
mépris
de l’intellectualisme ? (terme propre à vous dégoûter de toute espèce
136
l me semble au contraire, plus je le lis, que son
mépris
de la pensée n’est pour lui qu’une naïve et désarmante excuse à pense
137
exemple, une grande idée embrassée avec force au
mépris
de soi-même et de l’utilité. Car elle peut devenir le fait dominateur
138
n’importe quelle ridicule tête vide toisait avec
mépris
ceux qui n’appartenaient pas à la « société ». Le national-socialisme
139
s sans opposition de la France. Honneur veut dire
mépris
des traités. Et ce qu’on souhaite au peuple — et qu’on lui donne — c’
140
eux des little mags, comme le triomphe modeste au
mépris
tolérant. Heure des définitions profondes et surprenantes, malaisémen