1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
1 nne non sans quelque aigreur, et critique avec un mépris tranquille ; le Français riposte sans conviction, et sous sa défense
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
2 pprofondissement du moi, soif de tout et pourtant mépris de tout, procédant d’un goût de l’absolu à la fois mystique et anarch
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
3 candaleux, quelques « goujateries » affectées par mépris de l’honneur, le mot de Cambronne prodigué et des phrases d’un fascin
4 français » qui s’associe à tant d’objets de votre mépris , en prenant le contre-pied de tout ce qu’il inspire ? Alors que cette
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
5 pression nouvelle, et non dénuée d’ironie, de mon mépris pour ce qu’ils appellent, ridiculement, les fondements mêmes de la so
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conseils à la jeunesse (mai 1927)
6 fumer excessivement, leurs amours, l’égoïsme, le mépris de la réalité, l’exaltation maladive de l’imagination et de la sensib
7 simple bon sens, et l’ignorance systématique, le mépris enfin de tous les principes qui sont à la base de la société même. »
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
8 La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)o I Parler littérature Si je
9 ci un bar où je vous suis. Vous y entrez plein de mépris pour Paul Morand par qui découvrîtes le charme de ces lieux. Vous com
10 ns saveur. Mais fraîche. Ainsi, jusque dans votre mépris pour le pittoresque, vous témoignez d’un goût du bizarre qui révèle l
11 pas qu’on lui parle littérature. Mais il y a des mépris qui sont de sournoises déclarations d’amour. Tel qui raille l’Église
12 de la religion. Ainsi, de la littérature : votre mépris pour ses réalisations actuelles donne la mesure de ce que vous attend
13 elle. Pour dire le fond de ma pensée, je crois ce mépris et cette attente également exagérés. Vous savez bien que nous chercho
14 ’esprit. Et vous savez ce qu’elle nous vaut : les mépris , les haines douloureuses ou grossières de tous ceux qui ne peuvent ou
15 quelques êtres par le monde… Il ne s’agit plus de mépris ni d’adoration. J’ai défini une « maladie » dont je parviens à tirer
16 es écrire ». o. « La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genè
7 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
17 ma lâcheté. Et je t’apostrophe, soudain plein de mépris et de désespoir, ô vie sans faute, vie sans joie… Ah ! plus amère, pl
8 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
18 un exemple individuel ? Nous savons assez en quel mépris l’homme d’affaires à l’américaine tient les choses de l’Esprit. Dans
9 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Rolland de Renéville, Rimbaud le voyant (août 1929)
19 ignore, il n’est pas plus admissible d’inférer du mépris de Rimbaud pour le catholicisme à son mépris pour la révélation évang
20 r du mépris de Rimbaud pour le catholicisme à son mépris pour la révélation évangélique. Je ne vois là que l’indice d’une conf
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
21 retour à la barbarie ? » Si ce réflexe indique un mépris vraiment exagéré pour la jugeote de l’adversaire ou s’il traduit simp
11 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
22 t humaine, et une honte secrète qui exaspérait ce mépris et le rendait agressif. Mais moi, j’avais trop souffert de cette comp
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
23 son incompréhension méthodique des hommes et son mépris pour les paysans. Qu’il soit officier ou troupier, on le reconnaît à
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
24 re que ce soit, voudraient « se distinguer ». (Le mépris que notre peuple met dans cette expression !) Pour moi ce que je reti
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
25 nnaître et qui s’élabore déjà secrètement, que ce mépris et ce scepticisme sont d’un ridicule écrasant, sous lequel vous ne ta
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
26 ier plus un seul article de fond où ne perce leur mépris pour l’instruction publique. Ils peuvent dire ce qu’ils veulent à pro
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
27 retour à la barbarie ? » Si ce réflexe indique un mépris vraiment exagéré pour la jugeotte de l’adversaire ou s’il traduit sim
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
28 t humaine, et une honte secrète qui exaspérait ce mépris et le rendait agressif. Mais moi, j’avais trop souffert de cette comp
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
29 son incompréhension méthodique des hommes et son mépris pour les paysans. Qu’il soit officier ou troupier, on le reconnaît à
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
30 re que ce soit, voudraient se « distinguer ». (Le mépris que notre peuple met dans cette expression !) Pour moi, ce que je ret
20 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
31 nnaître et qui s’élabore déjà secrètement, que ce mépris et ce scepticisme sont d’un ridicule écrasant, sous lequel vous ne ta
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
32 ier plus un seul article de fond où ne perce leur mépris pour l’instruction publique. Ils peuvent dire ce qu’ils veulent à pro
22 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
33 ons ?) 2. En vérité, ce temps est peu propice au mépris et à l’adoration : où que se portent nos regards, ils rencontrent des
34 t… Cela demanderait certains sacrifices, certains mépris qui passent tellement la « mesure » parisienne — physiologique et mor
23 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
35 tuels : orgueil de la Vie, haine de cette vie-ci, mépris de la religion et ferveur pour des « valeurs nouvelles » encore plus
24 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
36 e description inégalable du mal du siècle. Ici le mépris ne porte aucune atteinte à la perspicacité parce qu’il est vraiment s
25 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
37 Drôles de révolutionnaires que l’on séduit par le mépris . Certes, ils sont conformistes pis qu’à la gauche, mais pas plus loin
38 d’attaquer ce qui est ; ils témoignent de plus de mépris que d’amour vrai des hommes, ils abusent de l’empire et de la condamn
26 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
39 t concret. Au contraire, il en émane une sorte de mépris satisfait qui révèle un intellectuel déchaîné plus qu’un partisan con
27 1932, Esprit, articles (1932–1962). À l’index (Première liste) : Candide (octobre 1932)
40 ans son public soit à coup sûr d’écœurement et de mépris , devant cette déjection, grassement payée mais qui peut coûter cher à
28 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
41 a le plus méprisé ? N’est-ce point à cause de ce mépris qu’elle a perdu le secret de l’humain ? Car voici bien le monde qu’on
29 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
42 a le plus méprisé ? N’est-ce point à cause de ce mépris qu’elle a perdu le secret de l’humain ? Car voici bien le monde qu’on
30 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
43 cher à obéir aux ordres de sa foi, fût-ce même au mépris de sa vie : tel est le fondement de l’attitude de service et de sacri
44 onge que ce « paradis » doit être payé ici-bas du mépris des garanties humaines les plus élémentaires, — et toute l’histoire d
31 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
45 rre. (C’est par cela surtout qu’il est Suisse, au mépris de tous les racismes.) On avait, dans ce groupe, une espèce de mystiq
32 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
46 tablement qualifié. La mode est au marxisme et au mépris de la Nature ? Mode bourgeoise, tyrannie décadente, tout occupée à ca
33 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
47 es yeux beaucoup plus graves et significatifs. Le mépris dans lequel on tient aujourd’hui le théoricien est peut-être la juste
48 ire : tel qu’on le laisse aller. Craignons que ce mépris , toutefois, ne tourne en habitude, ne se fige en une convention fauss
49 force de précision et de vigueur spirituelle, au mépris de toute rhétorique. 13. « La Révolution est-elle nécessaire ? », NR
34 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
50 u romantisme, je proposerais d’ériger en vertu le mépris d’une certaine originalité de forme. Le raffinement des moyens artist
35 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
51 e l’unité à tout prix et dans tous les ordres, au mépris de toutes les diversités organiques et fécondes. C’est cette idéologi
36 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
52 uivie. On n’aboutit pas à l’humain en agissant au mépris des humains. On n’agit pas humainement si l’on ignore notre vraie con
37 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
53 rche à obéir aux ordres de sa foi, fût-ce même au mépris de sa vie : tel est le fondement de l’attitude de service et de sacri
54 onge que ce « paradis » doit être payé ici-bas du mépris des garanties humaines les plus élémentaires, — et toute l’histoire d
38 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
55 es yeux beaucoup plus graves et significatifs. Le mépris dans lequel on tient aujourd’hui le théoricien est peut-être la juste
56 ire : tel qu’on le laisse aller. Craignons que ce mépris toutefois, ne tourne en habitude, ne se fige en une convention fausse
39 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
57 uivie. On n’aboutit pas à l’humain en agissant au mépris des humains. On n’agit pas humainement si l’on ignore notre vraie con
40 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
58 rche à obéir aux ordres de sa foi, fût-ce même au mépris de sa vie : tel est le fondement de l’attitude de service et de sacri
59 onge que ce « paradis » doit être payé ici-bas du mépris des garanties humaines les plus élémentaires, — et toute l’histoire d
41 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
60 obligeront même à corriger les déviations que son mépris de l’homme concret devait imprimer à la tactique de Lénine. C’est ain
42 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
61 d’un christianisme vrai. Mais Nietzsche ? Est-ce mépris tout simplement ? Ou bien plutôt, dernier défi, secrète angoisse de n
43 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
62 rix. On ne saurait proclamer plus cyniquement son mépris pour les réalités que défendent, chacun à sa manière, catholiques et
63 ’espèce de « paix » que l’État prétend assurer au mépris des réalités spirituelles, et sous prétexte d’apaiser leur conflit. S
44 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
64  bolchévisme de salon », d’un abandon, voire d’un mépris de la culture et de l’esprit qui marque à son insu l’élite bourgeoise
65 vouer au culte d’une élite inféconde, et au juste mépris des masses. V. Situation faite aux intellectuels a) le culte d
66 jamais récupérées sur la très maigre vente et le mépris du directeur commercial. Je suppose mon clerc peu fortuné. Deux espèc
67 à souffrir de la carence de l’esprit. 29. De ce mépris de la pensée pure et des discours vient l’engouement pour ceux qu’on
68 ïques, inoffensifs. Les clercs savent bien que ce mépris cordial et ces honneurs rendus au mythe du Progrès, plus qu’à eux-mêm
45 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
69 , — et cette louange est la meilleure excuse à ce mépris . Pourquoi voudrait-on que les foules aient plus de respect pour le sp
46 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
70 épithète de « matérialiste ». Il n’a pas assez de mépris pour le « fatalisme » et le mécanisme « grossier » des La Mettrie, de
47 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
71 Même, il se jette d’abord vers cette grandeur, au mépris de la faim ou de la liberté ; il a suffi qu’on lui propose, souvent s
48 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
72 Albin Michel. 25. Les injures et les marques de mépris hautain dont se gratinent les poètes, les essayistes et les politicie
49 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
73 sans classes ? « Comment n’être pas choqué par le mépris , ou tout au moins l’indifférence, que ceux qui sont et qui se sentent
50 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
74 de l’esprit ? 34. Les injures et les marques de mépris hautain dont se gratifient les poètes, les essayistes et les politici
51 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
75 . On se servit du « spirituel » pour justifier le mépris où l’on était forcé de tenir la culture. On fit appel à la doctrine m
76 , outre les procédés juridiques qu’on imagine, le mépris le plus efficace pour tous les non-conformistes intellectuels, isolés
52 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
77 Même, il se jette d’abord vers cette grandeur, au mépris de la faim ou de la liberté ; il a suffi qu’on lui propose, souvent s
53 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
78 ou Stinnes — son affectation de vie simple et son mépris des fins humaines du crédit, et de la jouissance actuelle des biens t
79 n détruise les machines et je n’ai pas le moindre mépris pour les balances, surtout si elles sont justes. Mais je demande qu’o
54 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
80 s deux chez Diderot et Rousseau), toujours par le mépris où l’on tient les conditions de possibilité de la pensée. Dans ce com
81 ie des qualificatifs moins indulgents qui vont du mépris à la haine, de ridicule à révolutionnaire. Encore a-t-on passablement
55 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
82 de l’esprit ? 35. Les injures et les marques de mépris hautain dont se gratifient les poètes, les essayistes et les politici
56 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
83 . On se servit du « spirituel » pour justifier le mépris où l’on était forcé de tenir la culture. On fit appel à la doctrine m
84 , outre les procédés juridiques qu’on imagine, le mépris le plus efficace pour tous les non-conformistes intellectuels, isolés
57 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
85 Même, il se jette d’abord vers cette grandeur, au mépris de la faim ou de la liberté ; il a suffi qu’on lui propose, souvent s
58 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
86 ou Stinnes — son affectation de vie simple et son mépris des fins humaines du crédit, et de la jouissance actuelle des biens t
87 n détruise les machines et je n’ai pas le moindre mépris pour les balances, surtout si elles sont justes. Mais je demande qu’o
59 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
88 es deux chez Diderot et Rousseau) toujours par le mépris où l’on tient les conditions de possibilité de la pensée. Dans ce com
89 ie des qualificatifs moins indulgents qui vont du mépris à la haine, de ridicule à révolutionnaire. Encore a-t-on passablement
60 1937, Esprit, articles (1932–1962). Retour de Nietzsche (mai 1937)
90 rseur du national-socialisme, ou « à quoi mène le mépris des valeurs de père de famille ». (On dit aussi, pour la rime sans do
61 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
91 s les académies de son siècle eussent rejeté avec mépris et pitié. Mais la gloire posthume est un « titre » ; « l’intérêt » s’
62 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
92 exemple, une grande idée embrassée avec force au mépris de soi-même et de l’utilité. Car elle peut devenir le fait dominateur
63 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
93 Mais où diable a-t-il ramassé cette platitude du mépris de l’intellectualisme ? (terme propre à vous dégoûter de toute espèce
94 l me semble au contraire, plus je le lis, que son mépris de la pensée n’est pour lui qu’une naïve et désarmante excuse à pense
64 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
95 spécialité, se forgeant une langue singulière au mépris de tout « sens » commun, et convoquant enfin, à grands frais d’invent
65 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
96 exemple, une grande idée embrassée avec force au mépris de soi-même et de l’utilité. Car elle peut devenir le fait dominateur
66 1938, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Le Poète et le Vilain (novembre 1938)
97 e, dit la loi ; et ce respect vulgarisé touche au mépris . De là vient que le meurtrier tantôt est acquitté, tantôt décapité. V
67 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
98 n’importe quelle ridicule tête vide toisait avec mépris ceux qui n’appartenaient pas à la « société ». Le national-socialisme
99 s sans opposition de la France. Honneur veut dire mépris des traités. Et ce qu’on souhaite au peuple — et qu’on lui donne — c’
68 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
100 e. Glorification de l’esprit d’amour, chasteté et mépris de la chair, goût de la mort que l’on préfère aux biens de ce monde,
69 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Directeurs d’inconscience (11 avril 1939)
101 ciences anarchiques pour lesquelles ils n’ont que mépris . Ce qu’ils veulent diriger, ce sont nos lourds instincts, nos peurs,
70 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
102 r n’oublie jamais son rang. Son naturel, c’est le mépris  ; rien n’est plus loin de la nature. Voyez comme il se sert des femme
71 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
103 iens intimes : la suppression du droit romain, le mépris des frontières et des obligations, le culte des morts rétabli, le rêv
72 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
104 iie siècle, c’est le mariage qui est en butte au mépris , tandis que la passion est glorifiée dans la mesure même où elle est
105 a morale ésotérique : mortifications corporelles, mépris de la création, dissolution de tous les « liens mondains ». Saint Ber
73 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
106 similer à la « littérature » en général, terme de mépris vouant à une exécration globale les « tendances dissolvantes », l’« a
74 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
107 réforme. On l’avait fait monter sur le bûcher au mépris de la parole donnée. Il semblait que la chrétienté se regroupait, non
75 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
108 ls sont assez forts pour lever le masque, et leur mépris de la personne. Voici, à mon avis, les causes de ces deux phénomènes.
109 ce sans frein, phénomène de piraterie sociale, de mépris du bien commun, phénomène typiquement individualiste. Un dernier exem
76 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
110 rt. Car j’ai vu dans mon peuple la violence et le mépris des lois divines. (La lumière qui environne Nicolas faiblit. Il repr
77 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
111 iie siècle, c’est le mariage qui est en butte au mépris , tandis que la passion est glorifiée dans la mesure même où elle est
112 a morale ésotérique : mortifications corporelles, mépris de la création, dissolution de tous les liens mondains. Saint Bernard
78 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
113 similer à la « littérature » en général, terme de mépris vouant à une exécration globale les « tendances dissolvantes », l’« a
79 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
114 iie siècle, c’est le mariage qui est en butte au mépris , tandis que la passion est glorifiée dans la mesure même où elle est
115 a morale ésotérique : mortifications corporelles, mépris de la création, dissolution de tous les liens mondains. Saint Bernard
80 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
116 similer à la « littérature » en général, terme de mépris vouant à une exécration globale les « tendances dissolvantes », l’« a
81 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
117 tions, les plus fréquentes, du christianisme : le mépris de la nature, et d’autre part, le recours à l’orthodoxie comme à une
82 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
118 aard, un Vinet ou un Nietzsche ? Rien, sinon leur mépris pour les idoles bourgeoises, et leur vision précise du châtiment qui
83 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
119 aard, un Vinet ou un Nietzsche ? Rien, sinon leur mépris pour les idoles bourgeoises, et leur vision précise du châtiment qui
84 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
120 ls sont assez forts pour lever le masque, et leur mépris de la personne. Voici, à mon avis, les causes de ces deux phénomènes.
121 ce sans frein, phénomène de piraterie sociale, de mépris du bien commun, phénomène typiquement individualiste10. Un dernier e
85 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
122 ls sont assez forts pour lever le masque, et leur mépris de la personne. Voici, à mon avis, les causes de ces deux phénomènes.
123 ce sans frein, phénomène de piraterie sociale, de mépris du bien commun, phénomène typiquement individualiste69. Un dernier ex
86 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
124 oncentration, c’est-à-dire de fidélité ; enfin le mépris des biens terrestres et du bonheur. Ce composé ne saurait être aussi
87 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
125 oncentration, c’est-à-dire de fidélité ; enfin le mépris des biens terrestres et du bonheur. Ce composé ne saurait être aussi
88 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
126 oncentration, c’est-à-dire de fidélité ; enfin le mépris des biens terrestres et du bonheur. Ce composé ne saurait être aussi
89 1943, Articles divers (1941-1946). La gloire (mars 1943)
127 gloire, ce n’est pas l’amour mais au contraire le mépris du prochain. Le Prince André n’a pas trouvé de prochains, car il n’a
90 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
128 puisse affirmer que Dieu damne qui il veut, — au mépris de tant de grands hommes de tous les temps. Et qui ne se scandalisera
91 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
129 tions, les plus fréquentes, du christianisme : le mépris de la nature, et d’autre part, le recours à l’orthodoxie comme à une
92 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
130 iens intimes : la suppression du droit romain, le mépris des frontières et des obligations, le culte des morts rétabli, le rêv
93 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
131 cette brutalité vis-à-vis de leurs sujets, de ce mépris de la vie humaine en gros et en détail, de ce refus d’ouvrir leurs fr
94 1946, Lettres sur la bombe atomique. La tâche politique du siècle
132 vec la méfiance d’autrui, voire l’hostilité et le mépris . Car c’est de toutes ces confusions que se nourrit le virus nationali
95 1946, Lettres sur la bombe atomique. La tâche politique du siècle
133 vec la méfiance d’autrui, voire l’hostilité et le mépris . Car c’est de toutes ces confusions que se nourrit le virus nationali
96 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
134 a le plus méprisé ? N’est-ce point à cause de ce mépris qu’elle a perdu le secret de l’humain ? Car voici bien le monde qu’on
97 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
135 Mais où diable a-t-il ramassé cette platitude du mépris de l’intellectualisme ? (terme propre à vous dégoûter de toute espèce
136 l me semble au contraire, plus je le lis, que son mépris de la pensée n’est pour lui qu’une naïve et désarmante excuse à pense
98 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
137 exemple, une grande idée embrassée avec force au mépris de soi-même et de l’utilité. Car elle peut devenir le fait dominateur
99 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
138 n’importe quelle ridicule tête vide toisait avec mépris ceux qui n’appartenaient pas à la « société ». Le national-socialisme
139 s sans opposition de la France. Honneur veut dire mépris des traités. Et ce qu’on souhaite au peuple — et qu’on lui donne — c’
100 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
140 eux des little mags, comme le triomphe modeste au mépris tolérant. Heure des définitions profondes et surprenantes, malaisémen