1 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
1 l’écluse qui la prend de biais sur la droite. Un nageur passe à travers les reflets jaunes, roses, verts, des maisons à façad
2 eau qui se promènent pour montrer leurs robes. Le nageur les intéresse, elles s’accoudent au parapet, tout près d’ici. Vont-el
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
3 l’écluse qui la prend de biais sur la droite. Un nageur passe à travers les reflets jaunes, roses, verts, des maisons à façad
4 eau qui se promènent pour montrer leurs robes. Le nageur les intéresse, elles s’accoudent au parapet, tout près d’ici. Vont-el
3 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
5 a cloche du couvent des frères paulistes — joyeux nageurs , plongeurs bruyants — sonne pour les vêpres. Ce lac clair, qu’un jésu
4 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
6 a cloche du couvent des Frères paulistes — joyeux nageurs , plongeurs bruyants — sonne pour les vêpres. Ce lac clair, qu’un jésu
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
7 l’écluse qui la prend de biais sur la droite. Un nageur passe à travers les reflets jaunes, roses, verts, des maisons à façad
8 eau qui se promènent pour montrer leurs robes. Le nageur les intéresse, elles s’accoudent au parapet, tout près d’ici. Vont-el
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
9 a cloche du couvent des Frères paulistes — joyeux nageurs , plongeurs bruyants — sonne pour les vêpres. Ce lac clair, qu’un jésu
7 1964, Articles divers (1963-1969). Le sentier perdu (1964)
10 bres, avec certains reliefs tactiles rassurant le nageur aventureux, dans l’espace brillant des hautes pentes. Monde vide où p
8 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). I. Alpbach : le trentième anniversaire du Forum européen
11 ale, ministres et diplomates se mêlent aux jolies nageuses , et le barman du Böglerhof vous sert ce qu’on appelle ici un « Geist