1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
1 ue ce fut celle de l’Italie. La lumière, mon pays natal  ! — Je vécus d’articles sur la mode et la politique, que j’envoyais à
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
2 nd on m’a proposé d’écrire ces pages sur mon pays natal . On insistait amicalement : je venais de rentrer, c’était le moment p
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
3 te, ce n’est pas infidélité à ma race, à mon clos natal . C’est aimer plus loin dans le même sens. Ainsi, pour me sentir Europ
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
4 qui est « avancé » par tradition. Dans ma vallée natale , où se réfugia Jean-Jacques, Bakounine présida, me dit-on, les réunio
5 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
5 n, mystique raciale, peuple et coutumes, ou terre natale , clocher, etc. D’où l’embrouillamini de la politique et des partis, e
6 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
6 n, mystique raciale, peuple et coutumes, ou terre natale , clocher, etc. D’où l’embrouillamini de la politique et des partis, e
7 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
7 n, mystique raciale, peuple et coutumes, ou terre natale , esprit de clocher, etc. D’où l’embrouillamini de la politique et des
8 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
8 e le navire. Frais, le vent souffle vers la terre natale . Ô fille d’Irlande, où t’attardes-tu ? Ce qui gonfle ma voile, sont-c
9 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
9 i fait prendre part, il se retire dans son canton natal pour y exercer les fonctions patriarcales de juge de paix, tout en cu
10 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
10 e le navire. Frais, le vent souffle vers la terre natale . Ô fille d’Irlande, où t’attardes-tu ? Ce qui gonfle ma voile, sont-c
11 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
11 e le navire. Frais, le vent souffle vers la terre natale . Ô fille d’Irlande, où t’attardes-tu ? Ce qui gonfle ma voile, sont-c
12 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
12 es dimensions, au-delà des limites de leur canton natal , et sans nul détriment pour ce dernier, bien au contraire. Tandis que
13 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
13 jeunesse aventureuse et d’un retour vers le pays natal , un mélange étonnant de romantisme, de bon sens bourgeois et d’humour
14 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
14 prit le Philosophe. Elle se passe dans votre pays natal . L’un des premiers apôtres irlandais qui évangélisèrent la Suisse exp
15 1942, La Part du diable (1944). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
15 prit le Philosophe. Elle se passe dans votre pays natal . L’un des premiers apôtres irlandais qui évangélisèrent la Suisse exp
16 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
16 prit le Philosophe. Elle se passe dans votre pays natal . L’un des premiers apôtres irlandais qui évangélisèrent la Suisse exp
17 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
17 ur l’Allemagne d’aujourd’hui. De Suisse, son pays natal , plateforme d’observation excellente, il nous envoie l’article que no
18 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
18 ru poli de m’arrêter pour une heure dans la ville natale de Robert, à quelques kilomètres d’Albany. Vingt-cinq-mille habitants
19 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
19 ru poli de m’arrêter pour une heure dans la ville natale de Robert, à quelques kilomètres d’Albany. Vingt-cinq-mille habitants
20 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
20 le réel étant goethéen non seulement par le signe natal de la Vierge mais par l’influence du Lion. Pourtant, de mes études as
21 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
21 ’ai cru poli de m’arrêter une heure dans la ville natale de Robert, à quelques kilomètres d’Albany. Vingt-cinq-mille habitants
22 1948, Suite neuchâteloise. II
22 nd on m’a proposé d’écrire ces pages sur mon pays natal . On insistait amicalement : je venais de rentrer, c’était le moment p
23 1948, Suite neuchâteloise. V
23 te, ce n’est pas infidélité à ma race, à mon clos natal . C’est aimer plus loin dans le même sens.   Ainsi, pour me sentir Eur
24 1948, Suite neuchâteloise. VIII
24 qui est « avancé » par tradition. Dans ma vallée natale , où se réfugia Jean-Jacques, Bakounine présida, me dit-on, les réunio
25 1949, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les écrivains romands et Paris (10 septembre 1949)
25 ublic, des appuis », etc., dans sa chère Bretagne natale  ? Peut-être avez-vous raison de considérer la situation des écrivains
26 et de créer loin de son milieu et de sa province natale . Même et surtout si l’on doit tirer de ce milieu, de cette province,
26 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
27 onquilles, rapportées toutes fraîches de son pays natal . Il est entré sans bruit, d’un pas rapide. Un peu voûté, l’air sérieu
27 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
28 i responsable et distinct. Lutte contre le destin natal , pour se forger une destinée ; contre les astres et les dieux écrasan
28 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
29 même Gottfried Keller, narrant le retour au pays natal de son héros Henri le Vert : Je traversai le Rhin et mis le pied sur
29 1956, Articles divers (1951-1956). Petits trajets sur les axes du monde (août 1956)
30 t, solidement raciné dans son étroit compartiment natal , cherchera dans les jeux survolants de la synthèse les grandes dimens
30 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
31 re au moment où l’individu s’écarte de son groupe natal , ou le voit attaqué et spolié. Comme la conscience, il naît d’une per
31 1958, Articles divers (1957-1962). Pourquoi la guerre ? Un échange de lettres prophétique entre Einstein et Freud (avril 1958)
32 ous l’œil des barbares. Freud répond de sa Vienne natale en sursis — elle n’en aura plus pour longtemps — et le pacifisme d’Ei
32 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
33 la jeune fille. Déjà elle était loin de la terre natale  ; il n’y avait en vue ni rivage battu par les flots ni montagne escar
33 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
34 tait « le genre humain », non point sa seule cité natale . Quoi de plus Européen que cet universalisme ? Mais venons-en aux tex
34 1961, Articles divers (1957-1962). Nos meilleurs esprits (1961)
35 meilleurs esprits, hors de l’étroit compartiment natal , iront chercher dans les jeux de la synthèse et dans les larges vues
36 t leur pays. Paracelse quitta très tôt son canton natal de Schwyz, Léonard Euler vécut en Allemagne et à la cour de Russie, J
35 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
37 la jeune fille. Déjà elle était loin de la terre natale  ; il n’y avait en vue ni rivage battu par les flots ni montagne escar
38 tait « le genre humain », non point sa seule cité natale . Quoi de plus Européen que cet universalisme ? Mais venons-en aux tex
36 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
39 exclusivement l’intérêt et la gloire de son pays natal  ; mais il est permis à un philosophe d’étendre ses vues, et de consid
40 u’aux plus récens de l’Europe, ce nom d’une terre natale réveilla en moi le sentiment de la patrie ; et tournant vers elle mes
37 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
41 é Zum ewigen Friede. Il n’était sorti de sa ville natale de Königsberg qu’une seule fois en sa vie, mais suivait de près les g
38 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — L’Europe des adversaires de l’empereur
42 moins circonscrites dans le cercle des habitudes natales , des travaux dont l’utilité n’est point bornée aux usages nationaux,
39 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
43 1) avait été l’auteur du code civil de son canton natal , Zurich, avant de devenir à Heidelberg l’un des plus célèbres profess
40 1962, Arts, articles (1952-1965). Le miracle européen a créé le monde civilisé (6 juin 1962)
44 la sagesse originelle et éternelle, vers le pays natal , Ithaque, ce passionnant vagabondage, cette longue errance, qui est a
41 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
45 la sagesse originelle et éternelle, vers le pays natal , Ithaque, ce passionnant vagabondage, cette longue errance, qui est a
42 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
46 ps ou propageant un style doté du nom de sa terre natale . Il n’y eut jamais de peinture suisse, au sens où l’on a pu parler d’
43 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
47 opéens (1879). Auteur du Code civil de son canton natal , Zurich, Bluntschli connaît les mécanismes de notre vie civique : il
44 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
48 opéens (1879). Auteur du Code civil de son canton natal , Zurich, Bluntschli connaît les mécanismes de notre vie confédérale :
45 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
49 stoire de Berlin, il se fit accepter dans sa cité natale selon son rang social et en tant que professeur. Un peu plus tard, Fe
50 meilleurs esprits, hors de l’étroit compartiment natal , iront chercher dans les vertiges de la synthèse et dans les larges v
51  européenne. Paracelse quitta très tôt son canton natal de Schwyz, Euler vécut dans les Allemagnes et à la cour de Russie, Je
46 1965, Fédéralisme culturel (1965). II. « Devenons nous-mêmes ! »
52 out individu serait censé plonger dans un terroir natal , sous peine de devenir un affreux intellectuel incolore ou subversif,
53 s nos valeurs culturelles de la terre, du terroir natal , mais plutôt de la circulation d’idées, voire de modes nées dans des
47 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les institutions et la vie politique
54 même Gottfried Keller, narrant le retour au pays natal de son héros Henri le Vert : Je traversai le Rhin et mis le pied sur
48 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
55 stoire de Berlin, il se fit accepter dans sa cité natale selon son rang social et en tant que professeur. Un peu plus tard, Fe
56 meilleurs esprits, hors de l’étroit compartiment natal , iront chercher dans les vertiges de la synthèse et dans les larges v
57  européenne. Paracelse quitta très tôt son canton natal de Schwyz, Euler vécut dans les Allemagnes et à la cour de Russie, Je
58 sychisme des malades, à l’écologie de leur région natale mais aussi à leur thème astrologique. Ce précurseur des méthodes psyc
49 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
59 opéens (1879). Auteur du Code civil de son canton natal , Bluntschli connaît les mécanismes de notre vie civique : il n’hésite
50 1968, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Hölderlin dans le souvenir des noms splendides (1968)
60 plus »27 — le poète se retournera vers sa vallée natale et sa rivière « avec ses prés charmants et les saules des rives ». Ne
51 1970, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Préface 1970
61 ouciaient pas de ma nation plus que de mon canton natal , dans les yeux des Américains j’ai vu l’Europe comme unité réelle, et
52 1970, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Denis de Rougemont : l’amour et l’Europe en expert (24 décembre 1970)
62 n premier article. J’étais au gymnase de ma ville natale , Neuchâtel. Le trait caractéristique de cet endroit où je suis né est
53 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — L’Europe contestée par elle-même
63 que de l’attachement instinctif au sol, au milieu natal , à l’indépendance concrète du groupe. Cependant, malgré les efforts d
54 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
64 eant de la voie tracée d’avance pour sa catégorie natale . Quant au citoyen d’un pays totalitaire, le parti sait pour lui quel
65 i responsable et distinct. Lutte contre le destin natal , pour se forger une destinée ; contre les astres et les dieux écrasan
66 rien devoir à la France, souhaite que son Ardenne natale soit occupée par les Prussiens, et la fuit, l’injure à la bouche, pou
55 1972, Articles divers (1970-1973). Je rentrais de l’espace… (27-28 mai 1972)
67 es airs, tandis que nous descendons vers mon pays natal . Un certain éclat, des couleurs, du vert d’abord. Souvenirs de réveil
56 1972, Articles divers (1970-1973). Forteresse au centre de l’Europe : la Suisse (1972)
68 es airs, tandis que nous descendons vers mon pays natal . Un certain éclat, des couleurs, du vert d’abord. Souvenirs de réveil
57 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience régionale
69 turelles. La liberté de s’exprimer dans sa langue natale est l’une des revendications fondamentales de tout régionalisme authe
58 1978, Articles divers (1978-1981). Un autre avenir pour la planète (février 1978)
70 années de la contestation. Je venais de ma Suisse natale , après des années d’études passées à Genève, en Autriche, en Allemagn
59 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. La défense de l’Europe
71 ’on a de l’aimer, c’est défendre d’abord son lieu natal — non des frontières invisibles ni un pouvoir qu’on ne connaît que pa
60 1981, Articles divers (1978-1981). Guy de Pourtalès l’Européen [préface] (1981)
72 ité à une foi et non pas à une terre, à un milieu natal , à une nation. Vers 1715, un adolescent cévenol quitte sa patrie, où
61 1981, Articles divers (1978-1981). Robert Aron, Fragments d’une vie [préface] (1981)
73 ni de classe, ni de race, ni de sang, ni de terre natale (la « terre et les morts » de Barrès, le Blut und Boden des nazis), d
62 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : remarques sur la note de Stanley Maron (1984)
74 un temps pour vivre de ses racines dans le milieu natal , et un temps pour vivre son aventure personnelle et pérégrine, celle
63 1984, Articles divers (1982-1985). Les Rougemont de Saint-Aubin [préface] (1984)
75 ns ce tableau des origines : toutes les provinces natales des ancêtres d’Henri sont nordiques, de la Bretagne à la Pologne en p
64 1984, Articles divers (1982-1985). L’Europe et les intellectuels (1984)
76 te, ce n’est pas infidélité à ma race, à mon clos natal . C’est aimer plus loin, dans le même sens. Mais la famille, c’est gé
65 1985, Articles divers (1982-1985). Vocation culturelle de la Suisse en Europe (septembre 1985)
77 i que nos meilleurs esprits, hors du compartiment natal , iront chercher dans les vertiges de la synthèse et dans les larges v
78 européenne. Paracelse quitta très tôt son canton natal de Schwyz, Euler vécut dans les Allemagnes et à la cour de Russie, Je