1 1938, Articles divers (1938-1940). « Comment libérer l’État de la tyrannie de l’Argent ? » (10 juin 1938)
1 tries locales, et seule expression unitaire de la Nation  ; jouissant d’un pouvoir dictatorial dans l’application de ses pouvoi
2 organisé et de l’organisateur, de l’État et de la Nation , qui conduit au désordre flagrant des démocraties, et à cette fixatio
2 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
3 eurs qui l’ont créée. Gardienne des cols pour les nations , gardienne de la doctrine commune à tous les peuples, elle n’a pas d’
4 ni d’autre vocation. Elle n’est pas elle-même une nation , mais elle est davantage que cela : elle est le lieu et la formule du
5 existence de tout ce qui ne serait pas une grande nation monolithique, fondée sur l’unité — toute théorique d’ailleurs — de la
6 pas dans le nationalisme ! Nous ne sommes pas une nation  ; ni trois nations ; ni même vingt-deux petites nations. Nous sommes
7 alisme ! Nous ne sommes pas une nation ; ni trois nations  ; ni même vingt-deux petites nations. Nous sommes une Confédération d
8 n ; ni trois nations ; ni même vingt-deux petites nations . Nous sommes une Confédération de communautés régionales. C’est dans
9 s ou moins sérieusement de devenir nous aussi une nation , notre compte sera vite réglé. Car : 1° nous perdrons notre raison d’
10 ° nous ne pouvons devenir qu’une des plus petites nations de l’Europe, et une nation divisée contre elle-même en trois races et
11 ’une des plus petites nations de l’Europe, et une nation divisée contre elle-même en trois races et trois langues, si ce n’est
12 ès lors, quelle force opposerons-nous aux grandes nations qui nous entourent ? Nous serons dépecés en trois Anschluss. Ce n’est
3 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
13 it : j’ai entendu son râle d’amour, le râle d’une nation possédée par l’homme au sourire extasié. Mais cet homme lui-même, qu’
4 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
14 létariat, ou de la Race, ou de l’Empire, ou de la Nation , et elles entendent expressément subordonner toutes les activités de
5 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
15 drame personnel, n’en ont pas moins exercé sur la nation entière une influence qui se fait sentir aujourd’hui. Vous voulez par
6 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
16 tent aujourd’hui. Le premier groupe est celui des nations qui respectent l’Église et la personne. Nous y trouvons des formes de
7 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
17 onflits politiques au sein des foules des grandes nations . Or, nous n’avons pas de grandes villes, et nous ne sommes pas une gr
18 grandes villes, et nous ne sommes pas une grande nation . La seule voie qui nous reste ouverte est celle d’un théâtre de group
8 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
19 Autrefois, et naguère encore, il suffisait à une nation de déclarer son sol sacré, pour avoir le droit de le défendre jusqu’à
20 rritoire, symbole unique, symbole « sacré » de la nation . Or voici que depuis quelques années, ce ne sont plus les armées qui
21 à fait nouvelle en Europe. Ils prétendent que les nations « n’ont pas toutes les mêmes droits à l’existence ». Autrefois, l’on
22 tion récente de l’Histoire. Elle proclame que les nations « jeunes » et « dynamiques » ont droit à un espace vital, lequel espa
9 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
23 trer publiquement objectif vis-à-vis de sa propre nation  ? Le sort de la démocratie dépend de la solution qui sera donnée en f
10 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
24 soit notre confort, notre profit, nos égoïsmes de nations , nous voici contraints brutalement à des sacrifices mille fois pires,