1 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
1 n Kierkegaard, qui n’ont vécu que dans leur seule nation , et d’elle seule ont nourri leur carrière) mais par leur biographie,
2 s été faite par des foyers locaux, et non par des nations  ; par des écoles fermées puis internationales ; par des styles qui ne
3 Mais s’il reste vrai que la Suisse n’est pas une nation comme les autres, n’ayant été pendant des siècles qu’un agglomérat de
2 1963, Articles divers (1963-1969). Orientations vers une Europe fédérale (10 mai 1963)
4 uverains, — mais dotée d’un pouvoir supérieur aux nations , fortement établi au bénéfice des autonomies régionales, elles-mêmes
5 poser dans l’actualité immédiate, à l’échelle des nations européennes. Premier principe. Une fédération ne peut naître qu’au p
6 d’hégémonie organisatrice, exercée par l’une des nations composantes. La croyance populaire — et d’ailleurs partagée par certa
7 u sujet de l’impérialisme ou de l’hégémonie d’une nation vaut également pour l’impérialisme d’une idéologie. On pourrait défin
8 s réalités concrètes et hétéroclites que sont les nations , les régions économiques, les unités culturelles, religieuses, lingui
9 d’effacer les diversités et de fondre toutes les nations en un seul bloc, mais, au contraire, de sauvegarder leurs qualités pr
10 nt, de tout y mélanger, et d’obtenir une sorte de nation européenne où Latins et Germains, Slaves et Anglo-Saxons, Scandinaves
11 sens du mot. Prenons une autre image. Chacune des nations qui composent l’Europe y représente une fonction propre, irremplaçabl
12 pend de son harmonie avec tous les autres. Si les nations de l’Europe arrivaient à se concevoir dans un rôle analogue, elles co
13 positive et qui naît d’une juste ambition. Chaque nation serait mise au défi de donner le meilleur d’elle-même à sa manière et
14 ts ne sont pas qualifiés pour arbitrer le jeu des nations . Chacun sait qu’il serait déraisonnable de choisir comme arbitres d’u
15 vernants chargés de défendre les intérêts de leur nation contre le reste du monde, mais peut être l’œuvre de groupes et de per
16 er leurs libertés locales et agir comme une seule nation au niveau des réalités de leur époque. Ni les paniques générales, ni
17 nces de la dernière guerre mondiale ont placé les nations européennes dans une situation comparable à bien des égards à celle d
18 és avant tout de sauvegarder les droits de chaque nation ou région contre les empiètements du pouvoir central. Une nouvelle ga
19 est plus borné par les frontières rigides de leur nation , moyenne ou petite, mais s’ouvre aux dimensions continentales, et don
20 ndépendance de décision qui échappe en fait à ses nations . b) Libération des dynamismes régionaux Un second problème fon
3 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme et notre temps (mars 1963)
21 ner que la volonté de centralisation totale d’une nation et la volonté de la fragmenter en petites cellules locales jalousemen
22 aucune diversité politique ou culturelle dans la nation , manifestent le même état d’esprit que ceux qui n’admettent rien d’au
23 nie apprenne à respecter la diversité des petites nations qui la composent, sinon elle trahira sa mission dans le monde ; et qu
24 nsé et créé depuis 28 siècles, indépendamment des nations qui divisent aujourd’hui l’Europe, et dont la plupart n’ont même pas
25 s foyers de création, des maîtres, et non pas des nations . Ce que l’on nomme parfois, pendant la Renaissance, la « nation » d’u
26 l’on nomme parfois, pendant la Renaissance, la «  nation  » d’un musicien ou d’un peintre, c’est simplement l’école locale dans
27 aise. Mais celle-ci n’est pas une propriété de la nation française actuelle, à l’ensemble de laquelle elle ne fut imposée que
28 abe. Et l’on parle le français dans quatre autres nations . De même, l’allemand ne saurait définir une « culture nationale » éta
29 nelle de populations qui vivent dans sept ou huit nations différentes. Il faut donc commencer par faire violence aux réalités l
30 pproximativement avec les frontières d’une de nos nations modernes. Mais il y a plus. La langue ne saurait à elle seule définir
31 la culture européenne à chacune des vingt-quatre nations qui ont découpé leur État dans le corps de ce continent. III Or
4 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
32 ner que la volonté de centralisation totale d’une nation , et la volonté de la fragmenter en petites cellules locales jalouseme
33 aucune diversité politique ou culturelle dans une nation manifestent le même état d’esprit que ceux qui n’admettent rien d’aut
34 nie apprenne à respecter la diversité des petites nations qui la composent, sinon elle trahira sa mission dans le monde ; et qu
35 nsé et créé depuis 28 siècles, indépendamment des nations qui divisent aujourd’hui l’Europe, et dont la plupart n’ont même pas
36 s foyers de création, des maîtres, et non pas des nations . Ce que l’on nomme parfois, pendant la Renaissance, la « nation » d’u
37 l’on nomme parfois, pendant la Renaissance, la «  nation  » d’un musicien ou d’un peintre, c’est simplement l’école locale dans
38 aise. Mais celle-ci n’est pas une propriété de la nation française actuelle, à l’ensemble de laquelle elle ne fut imposée que
39 abe. Et l’on parle le français dans quatre autres nations . De même, l’allemand ne saurait définir une « culture nationale » éta
40 nelle de populations qui vivent dans sept ou huit nations différentes. Il faut donc commencer par faire violence aux réalités l
41 pproximativement avec les frontières d’une de nos nations modernes. Mais il y a plus. La langue ne saurait à elle seule définir
42 habitants, prise au hasard dans l’une des grandes nations voisines. Qu’on m’entende bien : ce n’est pas un éloge de la petitess
5 1963, Articles divers (1963-1969). Aspects fédéralistes dans les plans et projets d’union européenne du Moyen Âge à nos jours (1963)
43 de et l’Insulinde, tandis que d’autres groupes de nations récentes et plus instables, sont à la recherche de quelque union enco
44 miques de la question européenne, l’empire et les nations . Dante écrit son traité au moment où le Saint-Empire, principe d’unit
45 propose son plan d’union au moment où la première nation se constitue, menaçant la double unité de l’empire et de la papauté.
46 , tels que : unité, union, unification, ou encore nation , souveraineté nationale (au xviie siècle) et, plus tard, au xixe si
6 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
47 viendra l’idée fédéraliste. Lorsque plus tard les nations s’absolutisent et que leurs guerres font rage sur tout le continent,
48 Coppet, où les meilleurs esprits de nos diverses nations se lient d’amitié, soit par des livres comme De l’Allemagne, qui réta
49 ndis que se forment dans le reste de l’Europe des nations unitaires sur le modèle français, promises aux guerres nationalistes
50 serve d’invoquer plus souvent encore que d’autres nations , au nom de son action philanthropique par exemple (Croix-Rouge) ou di
51 s subordonner son économie à celle d’un groupe de nations européennes. Elle tient à garder libres ses échanges avec le monde au
7 1964, Articles divers (1963-1969). De la marche / De l’échec (1964)
52 ue recherche apprend qu’un collègue a trouvé. Une nation qui a tendu ses forces vives vers la victoire, et qui l’atteint, voit
8 1965, Articles divers (1963-1969). La technique, facteur de paix (6 mars 1965)
53 araissent les guerres de peuple à peuple, puis de nation à nation. Ce type d’armement s’accroît quantitativement avec la premi
54 les guerres de peuple à peuple, puis de nation à nation . Ce type d’armement s’accroît quantitativement avec la première révol
55 es dimensions de la guerre débordent largement la nation et deviennent continentales, voire mondiales. Dans cette évolution, o
56 assions — la peur, commencement de la sagesse des nations . Encore faut-il s’entendre sur ce terme de peur. Je pense bien moins
57 ndustrielle, qu’un conflit armé entre deux de nos nations paraît devenu impraticable. Le charbon et l’acier, l’énergie électriq
58 bombes atomiques ne seraient guère utilisables de nation à nation, en Europe : nous sommes trop près les uns des autres, et ce
59 omiques ne seraient guère utilisables de nation à nation , en Europe : nous sommes trop près les uns des autres, et celui qui e
60 bles et démunis, mais après-demain, si une grande nation ayant la bombe les regroupe et se met à leur tête. Que peut faire l’O
9 1967, Articles divers (1963-1969). Le civisme européen : notes pour un « Petit Livre rouge » (été 1967)
61 e communauté sociale effective : commune, région, nation , Europe…) Les problèmes vivants et réels de l’Europe, telle qu’elle e
62 relèvent de la patrie locale, de la région, de la nation , de l’Europe unie, ou de communautés électives (non natives) universe
63 ’une à l’autre : car l’Europe se fera au-delà des nations mais pas contre elles, ni sans elles. (La Suisse s’est faite au-delà
64 utonomie s’évanouissait dans l’une ou l’autre des nations voisines.) Sensibiliser l’esprit des jeunes Le but de la Campag
10 1967, Articles divers (1963-1969). Au-delà des nations (1967)
65 Au-delà des nations (1967)o La fin du douanier est aussi la fin de la fraude. Quelle
66 s vont apprendre au monde ce que veut dire le mot nation , au sens total et absolu. C’est dans la Résistance que se constituero
67 ays) au xxe siècle ; ils ont voulu partir de ces nations comme des « seules réalités politiques existantes » (ainsi que le rép
68 t être clair — qu’en tant qu’États souverains les nations ne seront jamais prêtes à s’unir ! Il appartient à leur être même d’É
69 leur être même d’État, à leur définition même de nations souveraines de refuser l’union, de se vouloir chacune unique, absolue
70 n meilleur milieu de participation civique que la nation telle que nous l’a léguée le siècle dernier : la région. Il n’est rie
71 vous vous préoccupiez d’abord de créer dans votre nation une région plus ou moins autonome. L’effort général en vue de l’union
72 sur les cadres en bonne partie vidés des vieilles nations . Ces paroles éveillèrent un écho pour moi, des plus inattendus : c’e
73 par la seule force militaire et policière de leur nation ou de leur parti. Leurs échecs désastreux, catastrophiques, ne doiven
74 me de la sacro-sainteté et de l’immortalité de ma nation , et de la forme nationale en général. Croyance réfutée, il est vrai,
75 l’Histoire, lequel fait voir premièrement que les nations sont de formation récente, deuxièmement qu’elles ont dépassé le somme
76 dans un discours célèbre, à la Sorbonne20 : Les nations ne sont pas quelque chose d’éternel. Elles ont commencé, elles finiro
77 On n’en continue pas moins à nous répéter que les nations sont « encore » les seules réalités. Et c’est vrai, elles existent « 
78 les, qui nouent leurs liens concrets en dépit des nations . Presque tout ce qui coopère, se fédère ou s’unit en Europe, qu’il s’
79 opérationnelle que le département et même que la nation . Qu’une telle déclaration ait pu être faite en France, et cela préci
80 , Paris, Gallimard, 1967. 20. « Qu’est-ce qu’une nation  ? », Paris, 1882. o. « Au-delà des nations », L’Europe et les europé
81 qu’une nation ? », Paris, 1882. o. « Au-delà des nations  », L’Europe et les européens, numéro thématique de Janus, n° 15, 1967
11 1968, Articles divers (1963-1969). Vingt ans après La Haye : où en est l’Europe ? (mai 1968)
82 aut redouter que les Communautés, bridées par les nations qui les composent, loin d’amorcer un processus quelconque d’union pol
12 1968, Articles divers (1963-1969). L’Exode des cerveaux [débat] (1968)
83 re sans analyse d’ailleurs : je veux tout pour ma nation , qu’elle soit grande ou petite, et que tout soit fait dans ses limite
13 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
84 alraux le mois dernier à un journal suisse : Les nations sont redevenues le phénomène fondamental du siècle. L’évolution a jou
85 joué et joue incontestablement dans le sens de la nation .25 Il est vrai que le même André Malraux quelques jours plus tard,
86 « réalité fondamentale du siècle » que serait la nation , est précisément celle qui fait obstacle à cette « seule chose vérita
87 on Churchill n’est pas faite, c’est parce que les nations qu’exalte le ministre d’État du général de Gaulle s’y opposent encore
88 ent encore irréductiblement, de tout leur être de nations « souveraines » ? Quand on nous affirme que le xxe siècle ne sera pa
89 e Proudhon l’avait prévu, mais bien le siècle des nations , est-ce qu’on s’en félicite, ou bien est-ce qu’on dit cela comme on d
90 la réalité politique de notre temps est encore la nation , autre chose est de s’en féliciter, d’affirmer qu’on ne peut rien y c
91 en sorte qu’elles cessent d’être réelles. Que les nations soient encore bien réelles et très fortes à quelques égards, l’imposs
92 ntre avec une évidence presque écrasante. Que les nations soient en même temps mal adaptées (pour dire le moins) à l’évolution
93 totalitaire, — par le besoin d’union au-delà des nations , partout ressenti et déclaré, et qui a donné naissance au Marché comm
94 nfirmer que « l’évolution joue dans le sens de la nation  », mais bien plutôt que nous atteignons le stade de crise finale d’un
95 maginent qu’il y a toujours eu des États, que les nations sont immortelles (en tout cas la leur !), que rien d’autre n’est donc
96 st donc possible, et que d’ailleurs l’État, ou la nation , c’est l’aboutissement final, logique, normal et inévitable du Progrè
97 politiques, assez pour rappeler d’où viennent la nation , l’État, et l’État-nation qui est né de leur collusion moderne. Il fa
98 genre humain. Et que la naissance de la première nation , la France, peut être datée de cette déclaration des légistes du Phil
99 . Ce spectacle, qui est celui de la naissance des nations , remplit d’effroi les sages de l’époque. « Ô genre humain, tu es deve
100 nalisation de l’État royal et l’étatisation de la nation révolutionnaire, c’est cela qui va créer dans la première décennie du
101 . Voilà la vérité fondamentale du xxe siècle des nations . Et il faut souligner à ce propos une constatation des plus paradoxal
102 onstituer les États-Unis d’Europe sur les grandes nations étatistes. Le problème de l’union de l’Europe à partir des États-nati
103 n meilleur milieu de participation civique que la nation telle que nous l’a léguée le siècle dernier : — la région.31 Il n’e
104 ler curieux, Messieurs, qu’à l’âge de l’union des nations et des intégrations continentales, vous vous préoccupiez d’abord de c
105 vous vous préoccupiez d’abord de créer dans votre nation une région plus ou moins autonome. L’effort d’union et votre effort,
106 sur les cadres en bonne partie vidés des vieilles nations . Ces paroles éveillèrent un écho pour moi des plus inattendus : c’es
107 en plus accentué de vastes régions de France. La nation doit réparation du tort ainsi causé. On n’est pas loin de l’agitatio
108 opérationnelle que le département et même que la nation . Qu’une telle déclaration ait pu être faite en France, et cela préci
109 ue, le dogme de l’immortalité non seulement de ma nation , mais de la forme nationale en général. Bien sûr, un coup d’œil sur l
110 rié dans un discours célèbre à la Sorbonne : Les nations ne sont pas quelque chose d’éternel. Elles ont commencé, elles finiro
111 es, économiques, civiques) qu’avaient effacés nos nations écrasant toute diversité, et les avantages des grandes dimensions pro
112 Schreiber, Paris, 1967. 29. « Quand il s’agit de nations comme celles de la vieille Europe […] qui pourrait admettre de bonne
113 l’autoroute Paris-Lille. 34. « Qu’est-ce qu’une nation  ? », Paris, 1882. 35. Commission de la CEE, Documents de la Conféren
14 1969, Articles divers (1963-1969). Les résistances mentales à l’Europe des régions (avril 1969)
114 ontre le mouvement de l’Histoire, selon lequel la nation est le Progrès. La région est une nostalgie réactionnaire. Le progrès
115 re utopie ! On ne peut passer sans transition des nations souveraines aux régions fédérées. Cela prendra des décennies. Ce qui
116 onnées par l’éducation stato-nationaliste Les nations sont immortelles (François Mauriac), tandis que les régions sont enco
117 breux et plus mesquins que les conflits entre nos nations . Voulez-vous donc balkaniser l’Europe ? (Ces étourderies et boutades
118 t souverainement toute l’existence publique de la nation , c’est-à-dire de l’ensemble des hommes vivant à l’intérieur d’un terr
119 té » (comme on fait sa puberté), il devient une «  nation immortelle » et l’État qui agit en son nom dispose de la vie et de la
120 faut apprendre à penser par problèmes et non par nations . Devant un problème donné (urbanisme, participation civique, Universi
121 s dues aux moyens techniques de mise au pas d’une nation . Et de Napoléon à tout État-nation contemporain, la continuité est in
122 extrémités pour le centre, et le marasme gagne la nation devenue hydrocéphale. « Ne rien laisser dans l’indivision » : grande
123 er à se rattacher politiquement à l’une des trois nations dont la Regio est le carrefour ou l’intersection51. La résistance qu’
124 . 107, note 1. 49. Mais quand Malraux dit que la nation est le phénomène dominant du xxe siècle, on doute qu’il pense à autr
15 1969, Articles divers (1963-1969). Le personnalisme, la contestation, les hippies et… le fédéralisme (27 septembre 1969)
125 bre et responsable, il en est de même pour chaque nation dans l’Europe fédérée que je préconise et qui n’est que la transposit
16 1969, Articles divers (1963-1969). De l’Aar à l’Europe (1969)
126 nthétique, ni une substance philosophique, ni une nation , et encore moins une race. C’est l’accord des tons purs de nos divers
17 1969, Articles divers (1963-1969). Pour une définition nouvelle du fédéralisme (1969)
127 on voit partout en plein essor, qu’il s’agisse de nations en instance de divorce avec l’OTAN ou avec le Pacte de Varsovie, ou d
128 e avec l’OTAN ou avec le Pacte de Varsovie, ou de nations au sens ancien du mot, régions ou ethnies en révolte plus ou moins ou
129 e, produit de la confiscation d’une mystique — la nation — par un appareil administratif et policier — l’État. Un État plus ou
130 l’État. Un État plus ou moins nationalisé ou une nation étatisée, modèle : la France, bientôt imitée par presque toute l’Euro
131 l’Europe — et au xxe siècle, par une centaine de nations nouvelles. Centralisé, atomisé et trituré par les dynamismes contrair
132 . Peut-on dire plus ? Sur les quelque cent-trente nations souveraines qui divisent notre humanité, je ne compte guère que deux
133 rois États officiellement fédératifs que dans les nations unitaires : en URSS, ce sont les autonomies régionales et les diversi
18 1969, Articles divers (1963-1969). Un souvenir de Solférino de Henry Dunant [préface] (1969)
134 dement péremptoire : — Tu ne tueras point ! Nos nations se proclament chrétiennes ? Non, « titre dérisoire autant que blasphé
135 ureux les pacifiques, aimez vos ennemis, mais les nations prétendues chrétiennes « organisent l’homicide, froidement, sciemment
136 e Nationalisme et le colonialisme : il pousse les nations de l’Europe à envahir des pays inoffensifs (Afrique, Asie) pour les a
137 u prudents qui croyaient diriger le « concert des nations  » et contrôler le système si vis pacem tout en exaltant le Progrès, c