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permanent et de prises d’otages collectives, par
nations
entières. Je ne connais pas une seule forme de terrorisme qui puisse
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dre, la faire entrer plus avant dans l’esprit des
nations
, et j’avoue que je me suis trouvé parmi ces propagandistes […]. Je pe
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éral, sans toucher à la souveraineté d’aucune des
nations
qui pourraient faire partie d’une telle association, peut être bienfa
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té absolue que doit être réalisée l’entente entre
Nations
européennes… » On sait que la proposition Briand devait rester sans s
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de chaque État perde son importance. Les petites
nations
y compteront autant que les grandes et tireront leur honneur de leur
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oient représentées les forces vives de toutes nos
nations
. 5) Et nous prenons de bonne foi l’engagement d’appuyer de tous nos e
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us de réalités de la vie publique et privée d’une
nation
, afin d’en obtenir plus facilement toujours plus d’obéissance passive
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e notre liberté personnelle se confondait avec la
nation
. Le système, hérité de Napoléon et légué au monde entier, meurt comme
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libres et d’influences fécondantes, non pas entre
nations
comme telles, mais entre foyers locaux, écoles régionales, individus
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l’homme universel, soit avec l’homme d’une seule
nation
du grand complexe continental dont il révèle ainsi qu’il fait partie,
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s-nous écrasés ? Parce que nous nous comptons par
nation
et que nos nations sont trop petites. Que ce soit le Luxembourg ou qu
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arce que nous nous comptons par nation et que nos
nations
sont trop petites. Que ce soit le Luxembourg ou que ce soit la France
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correctement aux tâches que le gouvernement d’une
nation
est censé assurer. Nos souverainetés nationales ne peuvent résister n
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ignes si vous voulez… • Un : une guerre entre les
nations
de la nouvelle Europe n’est plus possible. Certes, il est encore des
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une escalade de la violence entre classes, entre
nations
, entre Nord et Sud. Tous croient encore que le bonheur des hommes dép
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une escalade de la violence entre classes, entre
nations
, entre Nord et Sud. Tous croient encore que le bonheur des hommes dép
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en Europe, l’apanage d’une doctrine unique, d’une
nation
ou d’une caste choisie. Elles résultent au contraire d’un dialogue pe
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aussi — présentaient l’Europe comme un puzzle de
nations
, et sa culture comme l’addition d’une vingtaine de « cultures nationa
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hamp limité par les frontières d’une seule de nos
nations
actuelles. Il n’y a pas plus de « peinture française » que de « chimi
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ngeait, encore plus vite. Partout où l’une de nos
nations
se retirait d’une colonie, la civilisation européenne s’y voyait auss
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frir une aide au-dessus des moyens de ses petites
nations
divisées, et qu’au surplus les sagesses d’outre-mer se réservent le d
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mobilisation générale de toutes les forces de la
nation
à partir d’un centre unique, capable de tout uniformiser et mettre en
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pas du troupeau, du clan, de la classe, ou de la
nation
. Elle veut la liberté de chacun dans la recherche d’un soi sans précé
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t tragique de l’affrontement sans merci entre une
nation
qui croit aux lois internationales et un chef religieux qui n’y voit
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re développement non pas des collectivités ou des
nations
, mais des personnes, elle suppose, elle implique la responsabilité de
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ut permettre à l’attaquant de paralyser toute une
nation
dans les dix premières minutes de la guerre, ou dix minutes avant qu’
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dispersion des sources d’énergie solaire rend la
nation
pratiquement invulnérable à toute attaque massive nucléaire évidemmen
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es et la dictature au nom de la « liberté » d’une
nation
, selon les doctrines de la révolution. En publiant cette « brochure »
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e guerre longue. Pour la soutenir, il faut que la
nation
m’appuie, mais en récompense, je le crois, elle exigera la liberté. E
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ssion maîtresse, la puissance ou la liberté. « La
nation
exigera la liberté ? Elle en aura. » Voilà qui est cynique à souhait.
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illier d’années. » En effet : « le but unique des
nations
modernes, c’est le repos, avec le repos l’aisance, et comme source d’
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l’esprit, condition de la mise en uniforme d’une
nation
tout entière par son État, c’est-à-dire par la dictature du Parti qui
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l’État et qui s’arroge le droit de représenter la
nation
— qu’il soit d’ailleurs jacobin ou fasciste, national-socialiste ou c
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s, les conquérants exigeaient que les députés des
nations
conquises parussent à genoux en leur présence. Aujourd’hui, c’est le
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gigantesques, le gouvernement n’oserait dire à la
nation
: Marchons à la conquête du monde. Elle lui répondrait d’une voix una
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r donne l’apparence d’être constitués en corps de
nation
… Mais la jalousie de l’autorité les surveille, s’alarme, et brise le
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en uniforme — morale autant que physique — de la
nation
. C’est le système fédéraliste par excellence, qui consiste à confier
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tout prix conserver dans la fédération, à chaque
nation
, une indépendance absolue tout en refusant à chaque région une autono
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e publique des lois et former ainsi un « État des
nations
(civitas gentium) croissant sans cesse librement, qui s’étendrait à l
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et accroître l’unité, la force et l’honneur de la
nation
suisse, a adopté la constitution fédérale suivante. » La nouvelle for
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s et profonds bouleversements qui ont affecté les
nations
occidentales aux environs de 1970. Ces années charnières ont vu la fi
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rencontré : « Ah, vous savez, la souveraineté des
nations
, moi je ne veux pas y renoncer, je suis fait comme ça, mais vous, vot
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et non pas à une terre, à un milieu natal, à une
nation
. Vers 1715, un adolescent cévenol quitte sa patrie, où ses ancêtres o
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é et prédéterminé les structures politiques d’une
nation
. J’indiquerai trois groupes d’exemples de cette précédence des facteu
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s un fédéralisme plus ou moins accentué selon les
nations
: Confédération helvétique, Provinces-Unies des Pays-Bas, Commonwealt
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partisanes, imposées par l’État et sa police à la
nation
dans tous ses ordres, mythique, politique, quotidien, triomphaient en
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tion en 1931 d’un premier volume, Décadence de la
nation
française, sous la signature de Robert Aron et Arnaud Dandieu, qui se
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civisme, de la coopération entre régions et entre
nations
pour le salut de l’Europe, dernière chance d’échapper, peut-être, à l