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llepoix » au nom de la Race, de la Terre et de la
Nation
. Le procès qui m’était fait n’était donc pas celui « des années 1930
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rmée — sur toutes les composantes de la vie d’une
nation
: centralisation de l’économie et des structures politiques mais auss
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otre colloque était d’examiner pourquoi certaines
nations
durent, grâce à leur culture, et quelles contributions elles peuvent
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se serait constituée en même temps que celle des
nations
et par leur addition. Mais alors dans quelle mesure peut-on encore p
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au triomphe de son idéologie qu’à la santé de la
nation
réelle. À l’inverse, nous avons le cas de l’Espagne. Nous avons vu qu
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e à un État, mais au contraire à une pluralité de
nations
vivant et coopérant librement les unes avec les autres. Ensuite vous
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son unité, selon l’idée alors régnante que toute
nation
« fait son unité » comme un homme « fait sa puberté », a traversé une
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condition de tout dialogue entre les différentes
nations
que j’ai énumérées, avec toutes leurs diversités, c’est la reconnaiss
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ve de Puissance totale n’est qu’un cauchemar. Une
nation
ne peut le rêver, le mimer et l’agir que dans l’hypnose, celle qui na
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en fait que la puissance d’un parti sur sa propre
nation
, systématiquement amputée de tout ce qui pourrait résister à la mise
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tatique, et par là promise à sa perte. Choisir la
nation
autarcique et la Race contre l’humanité en général, l’universel, mais
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de la Suisse ; ou une simple Ligue défensive des
nations
souveraines sur le modèle de l’OTAN ou du pacte de Varsovie. Par aill
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Debré) et sur le modèle de la Ligue défensive des
nations
souveraines, où il n’y aurait de sérieux que les USA d’une part, l’UR
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nymat : trois empereurs du Saint-Empire romain de
nation
germanique dont le grand fondateur, Othon Ier, deux rois de France, u
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. Or, ces étrangers ne sauraient être classés par
nations
— ce serait, ici, anachronique dans 14 cas sur 16, avant 1871 — mais
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r les pieds, par le cœur, et le rassemblement des
nations
invisibles, on nous dit que tout les oppose, qu’il faut choisir l’un
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e, que nous devons dépasser cette idée stupide de
nations
fermées, pour aller vers un marché commun de l’économie européenne et