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titre significatif : « Les Mœurs et l’Esprit des
nations
41. » Et l’on pense au titre de cet album de photos paru récemment en
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collectivités, c’est l’histoire des peuples, des
nations
, des classes, des races, des entreprises publiques ou privées. Ce n’e
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s disons destin du siècle, nous disons destin des
nations
, destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du machinisme.
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és, vous les connaissez bien : ce sont l’État, la
nation
, la classe, la race, l’argent et l’opinion publique. Elles ont encore
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. Seul Pillau, le ministre, l’incarnation de leur
nation
, saura leur dire le mot de ce destin. « Nous avons perdu la guerre, B
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tragique de leur patrie, l’idée profonde de leur
nation
, que Pillau définit comme la fidélité, et de tout sacrifier à cette f
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rraient s’appliquer au destin de n’importe quelle
nation
, de n’importe quelle communauté. Le « fait nation », dans les dernièr
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nation, de n’importe quelle communauté. Le « fait
nation
», dans les dernières phrases de Pillau, n’apparaît-il pas lié au seu
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e sort de l’homme que sous l’aspect du sort de la
nation
? Tel est, je crois, le problème central qu’impose ce livre, et l’on
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eut juger sainement la politique étrange de cette
nation
. Mais j’ai dit que cette œuvre pourrait s’intituler tout aussi bien «
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é et prédéterminé les structures politiques d’une
nation
. J’indiquerai trois groupes d’exemples de cette précédence des facteu
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s un fédéralisme plus ou moins accentué selon les
nations
: Confédération helvétique, Provinces-Unies des Pays-Bas, Commonwealt
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nne ne s’en charge en tant que représentant d’une
nation
, d’un parti, de la gauche ou de la droite, ou même de la Jeunesse. Le
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es du Pouvoir. Chacun, pour se sauver en tant que
nation
, vend ou achète les armes de la fin, et se précipite vers l’holocaust