1 1940, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Erreurs sur l’Allemagne (1er mai 1940)
1 rce que dans tout cela se trouvent impliquées des nations que l’on aime et de chères croyances… Mais quoi, la guerre présente n
2 1953, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). « Ce qu’ils pensent de Noël… » [Réponse] (24 décembre 1953)
2 a peur réciproques qui président aux rapports des nations , et de l’antisémitisme et de l’antisoviétisme, et de l’antiaméricanis
3 1954, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Rejet de la CED : l’avis de Denis de Rougemont (20 septembre 1954)
3 euse, démontrant ainsi, une fois de plus, que les nations de l’Europe sont solidaires en fait, pour le meilleur quand elles le
4 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est d’abord une culture (30 juin 1962)
4 es autres s’oppose aux intérêts économiques de ma nation , que je sois industriel, ouvrier, paysan ou politicien, je me dis que
5 l suffit, pour « faire l’Europe », que toutes les nations du continent s’intègrent dans le Marché commun, c’est-à-dire dans un
6 er : 1. Le Marché commun doit englober toutes les nations qui participent à l’unité de culture nommée Europe. 2. Cette organisa
5 1964, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il nous faut des hommes de synthèses (19-20 septembre 1964)
7 certes, mais aussi les distances, les races, les nations , les cultures, les savoirs différents, c’est-à-dire l’ignorance du sa
8 e annulées par la vitesse des communications. Les nations tendent à se regrouper et à s’organiser en de vastes ensembles, par c
6 1965, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Un écrivain suisse (20-21 mars 1965)
9 réuni dans une de ces super-provinces qu’on nomme nations toutes leurs cités, tous leurs pays. Pourtant je vois cette possibili
7 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Entretien avec Denis de Rougemont (6-7 avril 1968)
10 ubs. Je considère que ma patrie est Neuchâtel, ma nation la Suisse, ma nation culturelle la France, ma communauté spirituelle
11 ma patrie est Neuchâtel, ma nation la Suisse, ma nation culturelle la France, ma communauté spirituelle le protestantisme. Ri
8 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). La cité européenne (18-19 avril 1970)
12 traire s’identifier soit avec l’homme d’une seule nation de cette Europe dont il révèle ainsi qu’il fait partie, par le seul f
9 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe et le sens de la vie (25-26 avril 1970)
13 tituer un État-nation ? C’est soumettre toute une nation aux pouvoirs absolus de l’État. C’est vouloir faire coïncider sur un
14 tion d’une conférence du désarmement étatique des nations . À l’aspect négatif de ses travaux, elle ajouterait l’étude on ne peu
10 1970, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Le testament de Tristan (14-15 novembre 1970)
15 omme un second Charles le Grand. Ce Tristan de la nation déifiée, cet ennemi juré de l’Europe « intégrée », était en réalité u
16 the et l’avenir : ce dernier paladin de l’ère des Nations a choisi délibérément de se faire écarter du pouvoir en liant son sor
11 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Pourquoi j’écris (30-31 janvier 1971)
17 , au public d’une revue littéraire ou à toute une nation par la TV. C’est le pour quoi qui devient alors le vrai pourquoi, la
12 1972, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut dénationaliser l’enseignement [Entretien] (8 décembre 1972)
18 sses), rien de l’histoire de ma propre vallée… La nation est un concept artificiel qui ne repose sur aucune réalité fondamenta