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rce que dans tout cela se trouvent impliquées des
nations
que l’on aime et de chères croyances… Mais quoi, la guerre présente n
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a peur réciproques qui président aux rapports des
nations
, et de l’antisémitisme et de l’antisoviétisme, et de l’antiaméricanis
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euse, démontrant ainsi, une fois de plus, que les
nations
de l’Europe sont solidaires en fait, pour le meilleur quand elles le
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es autres s’oppose aux intérêts économiques de ma
nation
, que je sois industriel, ouvrier, paysan ou politicien, je me dis que
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l suffit, pour « faire l’Europe », que toutes les
nations
du continent s’intègrent dans le Marché commun, c’est-à-dire dans un
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er : 1. Le Marché commun doit englober toutes les
nations
qui participent à l’unité de culture nommée Europe. 2. Cette organisa
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certes, mais aussi les distances, les races, les
nations
, les cultures, les savoirs différents, c’est-à-dire l’ignorance du sa
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e annulées par la vitesse des communications. Les
nations
tendent à se regrouper et à s’organiser en de vastes ensembles, par c
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réuni dans une de ces super-provinces qu’on nomme
nations
toutes leurs cités, tous leurs pays. Pourtant je vois cette possibili
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ubs. Je considère que ma patrie est Neuchâtel, ma
nation
la Suisse, ma nation culturelle la France, ma communauté spirituelle
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ma patrie est Neuchâtel, ma nation la Suisse, ma
nation
culturelle la France, ma communauté spirituelle le protestantisme. Ri
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traire s’identifier soit avec l’homme d’une seule
nation
de cette Europe dont il révèle ainsi qu’il fait partie, par le seul f
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tituer un État-nation ? C’est soumettre toute une
nation
aux pouvoirs absolus de l’État. C’est vouloir faire coïncider sur un
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tion d’une conférence du désarmement étatique des
nations
. À l’aspect négatif de ses travaux, elle ajouterait l’étude on ne peu
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omme un second Charles le Grand. Ce Tristan de la
nation
déifiée, cet ennemi juré de l’Europe « intégrée », était en réalité u
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the et l’avenir : ce dernier paladin de l’ère des
Nations
a choisi délibérément de se faire écarter du pouvoir en liant son sor
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, au public d’une revue littéraire ou à toute une
nation
par la TV. C’est le pour quoi qui devient alors le vrai pourquoi, la
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sses), rien de l’histoire de ma propre vallée… La
nation
est un concept artificiel qui ne repose sur aucune réalité fondamenta