1 ance, un lignage de 819, et la plupart des autres nations , y compris l’URSS, un lignage de 625. Lorsque les capitaux auront été

2 lévision qui puisse être diffusée dans toutes nos nations sera perdu, et cet instrument universel par définition se trouvera na

3 ixés à la fois bien en deçà et bien au-delà de la nation . » La critique de l’État-nation — ou l’étatisation manu militari des

4 plus universel et plus particulier que celui des nations modèle xixe  siècle. À mesure que les frontières dites « historiques 

5 dont la valeur suprême n’est ni l’individu ni la nation , mais la personne librement reliée, l’autonomie des solidaires. e.

6 auche et de droite communiant dans le culte de la nation souveraine. (Communistes et gaullistes contre l’Europe intégrée.) Mai

7 lité », affirme M. Georges Pompidou. « Briser les nations pour leur substituer des régions ? Cette tendance absurde de bâtir l’

8 unification plus ou moins forcée de six ou sept «  nations  » au sens ancien du terme et d’ethnies plus nombreuses encore par une

9 et d’ethnies plus nombreuses encore par une autre nation qui leur impose sa langue). L’unité nationale au-dessus-de-tout, part

10 ont le seul moyen. L’Europe dite des patries, des nations ou des États, bref, l’Europe des États-nations, on ne la fera jamais 

11 affaire des régions ». Le paladin de l’Europe des nations devenait ainsi le précurseur de l’ère nouvelle et gagnait sur tous le

12 me le Rhin, pollué par cinq pays. (« L’Europe des nations piétine, mais celle des virus est faite. ») Le plancton des océans, a

13 cite les jacobins de tous pays à craindre que les nations étatisées de l’Europe actuelle ne soient traitées comme le furent les

14 actuelle ne soient traitées comme le furent les «  nations  » primitives de la France, de la Grande-Bretagne et, dans une moindre

15 anique, du xe au xviie siècle. Aujourd’hui, les nations les plus modernes de tous les continents se réclament du modèle fédér