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la personne un numéro. De la patrie on a fait la
nation
, — et des attachements humains, des chaînes sociales. Du travailleur
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stin » souverain de la masse, de la classe, de la
nation
, du capital ou de l’État — car c’est de tout cela que se compose le d
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tendez nous courber ? » La classe, le capital, la
nation
, les fameux « déterminismes historiques » ne sont rien que des créati
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abord ce « fait-nation », et si on ne confond pas
nation
et état, nation et patrie14, nationalisme et autarchie, nation cultur
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nation », et si on ne confond pas nation et état,
nation
et patrie14, nationalisme et autarchie, nation culturelle et région é
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t, nation et patrie14, nationalisme et autarchie,
nation
culturelle et région économique. On n’est pas sûr, à lire Déat, qu’il
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incipe spirituel, affectif et communautaire de la
nation
. Qu’est-ce qu’un plan de gouvernement qui paraît ignorer ce principe
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d’idées qui forme ce qu’on appelle l’esprit d’une
nation
, c’est-à-dire la nation elle-même. Or c’est bien le principe d’une co
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on appelle l’esprit d’une nation, c’est-à-dire la
nation
elle-même. Or c’est bien le principe d’une communauté nouvelle, ce fe
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u corporatisme fasciste. 14. Cf. Décadence de la
nation
française, par Aron et Dandieu, et les dissociations que nous faisons
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tions que nous faisons sans cesse de patrie et de
nation
, de nationalisme et d’impérialisme. 15. Cf. Nous voulons, n° 9 de L’
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utant, fermente et empoisonne la vie morale de la
nation
. Il devient un foyer de fièvre et un facteur d’énervement. Les deux f
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placez tous les conflits dans le cadre rigide des
nations
. La nation-bloc, telle que vous la concevez, est un danger dès qu’ell
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ns, mais au contraire d’obtenir l’unanimité de la
nation
sur une question vitale. La « lutte électorale » revenait ainsi à la
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cient pas forcément de la véritable volonté de la
nation
… Pour moi, ajoutait-il, je viens faire appel à vous tous pour la troi
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and fondamental est aujourd’hui de constituer une
nation
unitaire, centralisée, une solide base mystique et étatique pour les
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ustrer en remplaçant « esprit ou « autorité » par
nation
française, et « pouvoirs institués » par Conseil des ministres et Par
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n’est plus clairement aperçu, dans l’élite de la
nation
. On sent qu’un homme humain, intelligent, honnête et doué de sens cri
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’État, la paix publique, la grandeur morale de la
nation
et le libre déploiement de ses forces créatrices. Le but est d’abord
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é au parti avant la fidélité au bien commun de la
nation
. Ainsi, quand tout va bien, quand la machine paraît rouler d’elle-mêm
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crise est là, les partis se mettent à déchirer la
nation
avec une absence de scrupules qui rappelle des temps fort décriés : c
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é des partis n’agit pas autrement vis-à-vis de la
nation
et de ses intérêts supérieurs, que la moderne féodalité des trusts et
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leurs », et y ajoutent celles de la race et de la
nation
, qui donnent à l’ensemble un dynamisme physique autrement impressionn
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ure —, d’autre part la science des rapports de la
nation
et des autres nations — politique extérieure. Dans le cas de la Franc
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a science des rapports de la nation et des autres
nations
— politique extérieure. Dans le cas de la France, si un homme se sent
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êts » de l’État, ou au nom des « intérêts » de la
nation
. La politique reste quelque chose d’extérieur à son être véritable. D
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n’est pas une obligation imposée par l’État ou la
nation
, mais au contraire, l’État et la nation ne sont que les émanations, l
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tat ou la nation, mais au contraire, l’État et la
nation
ne sont que les émanations, les représentations extérieures de la ten
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création de l’État — secteur organisé — et de la
nation
, idéal commun. Elle implique une hiérarchie : l’organisation devant ê
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nde la pluralité des vocations, des idéaux et des
nations
, et leur fédération sur pied d’égalité. Ainsi encore, notre méthode d
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ériels aux œuvres spirituelles, enfin l’État à la
nation
. Dès lors il ne peut plus y avoir d’opposition entre la morale privée
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questions de vie ou de mort pour l’ensemble de la
nation
. Ceux qui leur donneront une réponse efficace, donneront du même coup
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e… 45. Les lecteurs de cette revue savent que la
nation
n’est une expression de l’universel qu’en raison de l’impuissance hum
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ux-mêmes de donner à ce que nous disons ici de la
nation
un sens absolu de nationalisme autarchique qui est à l’opposé de notr
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leur parti ou de leurs personnes avant ceux de la
nation
et de son « honneur ». Cette situation dicte à Hitler les grandes lig
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Une seule réalité fonde à ses yeux l’unité de la
nation
allemande : celle de la race. Mais pour la rendre populaire, il faut
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es 200 familles du racisme57, les « ennemis de la
nation
». 2° Lutte contre l’étranger. — Là encore, Hitler va trouver une bas
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haines communes sur laquelle puisse s’unifier la
nation
. Le Diktat de Versailles, signé par des diplomates lâches ou traîtres
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nt l’action paraissait néfaste aux intérêts de la
nation
. Pour le reste, la tactique d’Hitler rappelle plutôt celle des lénini
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s’abat sans scrupule humain sur les ennemis de la
nation
: toujours, il faut « faire vite », déjouer un complot à la dernière
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dépassement ne sera pas amorcé par la France, les
nations
jeunes, faute d’un autre modèle, se laisseront engager dans des imita
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nisme, l’esprit centralisateur, le principe de la
nation
armée, disciplinée dans un cadre rigide, tout cela ne cesse d’être st
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et de lettres de noblesse, et grands prêteurs. La
Nation
, c’est alors la noblesse, le clergé et la bourgeoisie. Le peuple n’es
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rolétariat, prospérité, abondance, grandeur de la
nation
… mythes qu’il faut ensuite imposer de force à la conscience de tout u