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oment où son objet (Dieu, la culture, l’amour, la
nation
, le travail, etc.) s’éloigne ou s’affaiblit, ou même cesse d’être pré
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discours et les articles de journaux, avec état,
nation
, mystique raciale, peuple et coutumes, ou terre natale, clocher, etc.
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les et leurs élites, entre les classes, entre les
nations
de l’Europe, entre les hommes d’une même nation, entre les actes de c
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nations de l’Europe, entre les hommes d’une même
nation
, entre les actes de chaque homme et l’idéal qu’il concevait. La misèr
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uand il est question de l’Allemagne. C’est que la
nation
française existe depuis 1789 ; et qu’elle existe même si réellement q
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en général, à côté d’elle, la volonté d’être une
nation
. Un Français qui proclame aujourd’hui, à grand éclat, qu’il veut être
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l » cela ne rend plus du tout le son du « Vive la
Nation
! » de Valmy… C’est pourquoi le Français moyen traduit national-socia
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s combattants, je suis enfin l’annonciateur de la
nation
allemande à venir. C’était l’incarnation de la commune mesure, la fin
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a mesure, et son incarnation visible à tous. « La
nation
est le contenu et la substance de l’empire. Elle est le but de tout o
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onner le pain, d’abord rendre sa « liberté » à la
nation
. La culture viendrait après : on la taxait pour le moment de superstr
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aboration judicieuse de tous les organismes de la
nation
», dit Rosenberg. Et il ajoute que « la révolution (nationale-sociali
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parole du Führer est « la volonté organisée de la
nation
». Dans les deux régimes, on s’efforcera de démontrer que d’autant pl
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fois plébiscité par une formidable majorité de la
nation
. « Führer » signifie d’ailleurs, littéralement, guide et non chef. (D
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e but soit ici la société prolétarienne, et là la
nation
allemande, qui sont censées configurer la culture. 2° Or cette mesure
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rre ; le Führer s’il n’y a pas une religion de la
Nation
. Le signe irréfutable de la présence d’un grand dessein, c’est l’inca
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d’aujourd’hui. Dans cette Europe, deux espèces de
nations
: celles qu’on dit vieilles et celles qui se disent rajeunies. Les vi
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s et celles qui se disent rajeunies. Les vieilles
nations
mènent encore une vie à bien des égards plus facile et plus libre que
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gardé un certain nombre de possibilités dont les
nations
plus jeunes se sont volontairement privées. Elles s’honorent d’avoir
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it : ces deux traits définissent l’atmosphère des
nations
libérales d’aujourd’hui. Elles ne savent trop que faire de cette libe
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re. Et l’on s’occupe en attendant à critiquer les
nations
« rajeunies ». C’est le dernier lieu commun vivant. Les nations dites
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unies ». C’est le dernier lieu commun vivant. Les
nations
dites rajeunies sont celles qui ont fait ou subi depuis la guerre une
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osé, ces deux traits définissent l’atmosphère des
nations
rajeunies de l’Europe. Elles n’ont plus de liberté, mais du travail.
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uvent sans preuve, un grand mythe de communauté :
nation
unie, ou société sans classe… Si l’on veut comprendre ce temps, et l’
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sorte de révélateur chimique de la vocation d’une
nation
. C’est à la faveur d’une famine que les plus grandes nations de l’Eur
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est à la faveur d’une famine que les plus grandes
nations
de l’Europe moderne ont découvert le sens de leur histoire et l’aveni
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-guerre. Si l’Europe d’aujourd’hui est divisée en
nations
« rajeunies » et nations vieilles, cela s’explique d’abord par l’hist
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jourd’hui est divisée en nations « rajeunies » et
nations
vieilles, cela s’explique d’abord par l’histoire : les nations « raje
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les, cela s’explique d’abord par l’histoire : les
nations
« rajeunies » sont tout simplement celles qui n’avaient pas encore d’
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s cela s’explique ensuite par la misère : car ces
nations
ne se sont découvertes qu’à la faveur d’une crise totale. Ainsi l’opp
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ins totalitaire. Là où depuis cent ans ou plus la
nation
existait déjà, la crise est bien moins virulente, et la réponse a plu
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s réponses qu’ils ont tenté de donner — classe ou
nation
— reste superficiel et arbitraire tant qu’il ne tient pas compte des
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nstituent pas un danger interne pour les vieilles
nations
libérales, elles constituent cependant une menace extérieure matériel
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es ou parlementaires professionnels, coupés de la
nation
vivante et prisonniers d’une tradition qui survit sans grandeur à ses
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cines. Notre seule chance de salut, à nous autres
nations
libérales, est dans la création d’une communauté libre. Notre chance
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er : ici commence un monde étrange, ici règne une
nation
dont nous ne sommes pas, et qui nous est hostile, non point par volon
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culture et aux activités les plus diverses de la
nation
; je m’appuie sur ce qui est, mais c’est pour prendre élan vers ce qu
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ur à justifier les passions d’une classe ou d’une
nation
. Mais l’esprit n’a pas de pouvoir, s’il refuse d’être initiateur. L’e
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faisceau, la troupe d’assaut, puis le Parti ou la
nation
organisée. On l’oppose à la masse anonyme, tout autant qu’à l’individ
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phique, il correspond à la réalité profonde de la
Nation
, à la réalité précise du Parti. Nous n’avons pas à « corriger » de te
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ntradictions qui empêtrent nos vies et la vie des
nations
depuis cent ans restent stériles, c’est que l’humanité a perdu la vis