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e du voyageur. On passe la frontière d’une de ces
nations
neuves : on s’imagine que tout, êtres et choses, va nous montrer des
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pas mort en héros, mais en paria, aux yeux de sa
nation
. Comme je sortais, vivement impressionné par le courage sérieux (sans
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lle illusion de la classe, corps étranger dans la
nation
. Et les partis bourgeois, sans qu’il nous en ait coûté beaucoup d’eff
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ermes que ses confrères ; 6° ne dénigre jamais sa
nation
et ses chefs ; 7° demande des articles à des écrivains et à des savan
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st à peine si les Italiens avaient jamais été une
nation
; Hitler une religion de l’État, et les Allemands l’apprennent pénibl
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placez tous les conflits dans le cadre rigide des
nations
. La nation-bloc, telle que vous la concevez, est un danger dès qu’ell
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’âme des masses, le sombre et puissant râle d’une
nation
possédée par l’Homme au sourire extasié, — lui le pur et le simple, l
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obsession de l’unité-bloc ; même exaltation de la
nation
considérée comme missionnaire d’une idée ; même sens des fêtes symbol
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, on les a contraints à distinguer l’Église de la
Nation
. Malgré eux, à leur cœur défendant, contre leurs traditions les plus
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t-ce aujourd’hui seulement que la vérité de cette
nation
paraît, et alors, c’est nous qui rêvions lorsque nous lui trouvions d
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ns un camp sous le prétexte de « protection de la
Nation
». Les organisations antifascistes de l’étranger, intervenant publiqu
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ession unique (plus encore que le synonyme) de la
nation
, de l’économie, de la culture, de la race, et de la société. Formule
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manque de main-d’œuvre en 1938. La dignité de la
nation
est rétablie. L’autorité est restaurée. « Et nous voici sauvés du com
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r rapport au mouvement total, à la religion de la
nation
, et au contenu de cette religion, la volonté collective de puissance
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chrétienne ; c’est-à-dire qu’à la religion de la
nation
et de la Race ne s’oppose plus que la foi proprement dite : contre-ép
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’a aucune importance. Car ce qui compte, c’est la
Nation
, et non pas les individus. Or la Nation, pratiquement c’est l’État. E
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c’est la Nation, et non pas les individus. Or la
Nation
, pratiquement c’est l’État. Et cet État est né de la guerre ; il y pr
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uerre perdue, quelle que soit son issue, pour les
nations
démocratiques. D’une guerre totale, telle que nous l’imposerait l’All
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ne soit pas cette volonté anxieuse de croire à la
Nation
… Le seul problème pratique, sérieux, urgent et réellement fondamental
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ns, mais au contraire d’obtenir l’unanimité de la
nation
sur une question vitale. La « lutte électorale » revenait ainsi à la
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cient pas forcément de la véritable volonté de la
nation
… Pour moi, ajoutait-il, je viens faire appel à vous tous pour la troi
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and fondamental est aujourd’hui de constituer une
nation
unitaire, centralisée, une solide base mystique et étatique pour les
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leur parti ou de leurs personnes avant ceux de la
nation
et de son « honneur ». Cette situation dicte à Hitler les grandes lig
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Une seule réalité fonde à ses yeux l’unité de la
nation
allemande : celle de la race. Mais pour la rendre populaire, il faut
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es 200 familles du racisme21, les « ennemis de la
nation
». 2° Lutte contre l’étranger. — Là encore, Hitler va trouver une bas
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haines communes sur laquelle puisse s’unifier la
nation
. Le Diktat de Versailles, signé par des diplomates lâches ou traîtres
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nt l’action paraissait néfaste aux intérêts de la
nation
. Pour le reste, la tactique d’Hitler rappelle plutôt celle des lénini
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s’abat sans scrupule humain sur les ennemis de la
nation
: toujours, il faut « faire vite », déjouer un complot à la dernière
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dépassement ne sera pas amorcé par la France, les
nations
jeunes, faute d’un autre modèle, se laisseront engager dans des imita
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nisme, l’esprit centralisateur, le principe de la
nation
armée, disciplinée dans un cadre rigide, tout cela ne cesse d’être st