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t la lâcheté civique. Il est, dans l’histoire des
nations
, des heures où l’utopie la plus nocive est justement le petit réalism
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tent aujourd’hui. Le premier groupe est celui des
nations
qui respectent l’Église et la personne. Nous y trouvons des formes de
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s autres, ceux d’un autre parti, ceux d’une autre
nation
… Nous faisons tous comme les petits enfants qui battent la table à la
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de la guerre, brusquement, aux proportions de la
nation
entière. Voici donc, dans tous les domaines, que nos pouvoirs d’agir
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viner et à prévenir les inconscients désirs de la
nation
. Mais on peut avoir du génie et faire de grosses fautes de calcul. Su
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rouvé : le sens de la réalité irremplaçable d’une
nation
. L’autorité qu’une certaine presse suisse s’était acquise à l’étrange
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de la culture : un microcosme des valeurs que les
nations
qui nous entourent ont illustrées l’une après l’autre, mais n’ont pas
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is n’ont pas pu synthétiser et relier. Toutes ces
nations
ont été grandes tour à tour, dans la musique ou la peinture, la poési
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me « personne », des vocations spéciales d’autres
nations
. Et c’est là notre vocation. Neutralité, sur le plan culturel, ce n’
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Autrefois, et naguère encore, il suffisait à une
nation
de déclarer son sol sacré, pour avoir le droit de le défendre jusqu’à
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rritoire, symbole unique, symbole « sacré » de la
nation
. Et qu’est-ce que le « sacré », sinon précisément ce qui ne souffre p
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à fait nouvelle en Europe. Ils prétendent que les
nations
n’ont pas toutes les mêmes droits à l’existence. Autrefois, l’on croy
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tion récente de l’Histoire. Elle proclame que les
nations
« jeunes » et « dynamiques » ont droit à un espace vital, lequel espa
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parce qu’ils le croient utile au bon moral de la
nation
, voire à la discipline des troupes. Ces gens-là, vous les reconnaître
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ge est couleur d’Empire, c’est-à-dire d’union des
nations
, et la croix signe de salut. Gardienne des cols par où s’échangent le