1 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
1 transcendance ; d’intégrer Dieu lui-même dans la Nation . Comprenons bien ce que signifie, dans cette perspective satanique, l
2 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
2 dit « Dieu », moins hypocrites. Mais ils ont dit Nation , ou Race, ou Classe. Dans ces trois entités divinisées, le moi n’est
3 e à l’œuvre dans ces œuvres — les nôtres, à nous, nations démocratiques —, un siècle avant qu’Hitler ne vînt nous réveiller en
4 gination — aux grands événements qui opposent les Nations , ces abstractions personnifiées, et les Révolutions, incarnées par le
5 de la guerre, brusquement, aux proportions de la nation entière. Ainsi, par une mutation brusque, dans l’espace de cinquante
6 ble avec la Vie. J’avais signé ce traité, dit une nation , mais vous voyez qu’il lèse mes intérêts vitaux. Alors plus rien ne t
3 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
7 s Soviets, et s’allie d’autre part avec certaines nations qui s’intitulent très sincèrement démocraties, mais qu’il tient, comm
8 proclamés comme vertus par les totalitaires, les nations libres n’osèrent opposer que des vanités courtes et des prudences lâc