1 1946, Journal des deux mondes. Avertissement
1 ’autres pays, a pour véritable sujet non plus une nation , un régime, mais le désordre de l’époque, vu de près. Pas plus que le
2 e trouvera plus ou moins engagé dans la vie d’une nation , plus ou moins compromis ou façonné par une condition sociale ou un m
2 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
3 la Vienne de Schubert — à l’heure où sombrent des nations sous l’uniforme barbarie — je les vois s’élever rayonnants dans la lu
3 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
4 trer publiquement objectif vis-à-vis de sa propre nation  ? Le sort de la démocratie dépend de la solution qui sera donnée en f
4 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
5 olution, point de scission de l’Histoire et de la nation en deux camps longuement irréductibles et appauvris chacun de tout ce
5 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
6 ment le niveau de l’intelligence moyenne dans une nation . Mais je redoute parfois que l’instruction publique, dans nos démocra
7 ntimentale sur son propre cas, et sur le sort des nations . Il ne reste que la préoccupation des petites choses précises à faire
6 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
8 que c’est possible : on peut détruire une grande nation , tuer ses guides spirituels, supprimer ses moyens d’expression, étein
9 rsqu’on a remarqué qu’elle n’oppose plus que deux nations  : l’une qui ne sait pas vaincre, mais qui gagne, et l’autre qui ne sa
7 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
10 leurs confrères européens à la vie de leur propre nation . Cela tient sans doute à mille raisons matérielles et sociales d’abor
8 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
11 a peur réciproques qui président aux rapports des nations , et de l’antisémitisme, et de l’antisoviétisme, et de l’antiaméricani
9 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
12 que d’un déménagement. Car l’idée d’une Ligue des Nations a survécu au déchaînement nationaliste. En attendant une vraie Ligue