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collectivités, c’est l’histoire des peuples, des
nations
, des classes, des races, des entreprises publiques ou privées. Ce n’e
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s disons destin du siècle, nous disons destin des
nations
, destin du prolétariat, destin du capitalisme, destin du machinisme.
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és, vous les connaissez bien : ce sont l’État, la
nation
, la classe, la race, l’argent et l’opinion publique. Elles ont encore
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un faux dieu (conscience morale, justice humaine,
nation
, peuple, etc.), cet absolu n’est plus le Dieu caché, mais une croyanc
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il nous délivre. On ne peut pas adorer Dieu et la
nation
, Dieu et l’argent, Dieu et Mammon. C’est pourquoi en face des idoles,
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r le jour de l’Éternel est proche pour toutes les
nations
. » (Abdias, 3-4 et 15.) Ils ont prétendu rendre à Dieu ce qu’en réali
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gués par l’industrie lourde au gouvernement d’une
nation
« chrétienne » revendiquer dans leurs discours la défense des « valeu
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tung, toute expérience fasciste signifie pour une
nation
un appauvrissement spirituel dont les conséquences peuvent être sécul
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n par l’État fasciste de l’idéal culturel d’une «
nation
» est clairement symbolisé par la substitution de l’insigne du Parti
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religieux. Elle traduira demain l’opposition des
nations
collectivistes et des patries personnalistes. Mais où sont les motifs
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mateurs. Ce n’est pas sauver des entreprises, des
nations
, les intérêts (?) du monde. On nous demande : que signifie « sauver l
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la personne un numéro. De la patrie on a fait la
nation
, — et des attachements humains, des chaînes sociales. Du travailleur
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n’est plus clairement aperçu, dans l’élite de la
nation
. On sent qu’un homme humain, intelligent, honnête et doué de sens cr
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’État, la paix publique, la grandeur morale de la
nation
et le libre déploiement de ses forces créatrices. Le but est d’abord
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é au parti avant la fidélité au bien commun de la
nation
. Ainsi, quand tout va bien, quand la machine paraît rouler d’elle-mêm
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crise est là, les partis se mettent à déchirer la
nation
avec une absence de scrupules qui rappelle des temps fort décriés : c
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é des partis n’agit pas autrement vis-à-vis de la
nation
et de ses intérêts supérieurs, que la moderne féodalité des trusts et
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leurs », et y ajoutent celles de la race et de la
nation
, qui donnent à l’ensemble un dynamisme physique autrement impressionn
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ure —, d’autre part la science des rapports de la
nation
et des autres nations — politique extérieure. Dans le cas de la Franc
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a science des rapports de la nation et des autres
nations
— politique extérieure. Dans le cas de la France, si un homme se sent
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êts » de l’État, ou au nom des « intérêts » de la
nation
. La politique reste quelque chose d’extérieur à son être véritable. D
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n’est pas une obligation imposée par l’État ou la
nation
, mais, au contraire, l’État et la nation ne sont que les émanations,
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at ou la nation, mais, au contraire, l’État et la
nation
ne sont que les émanations, les représentations extérieures de la ten
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création de l’État — secteur organisé — et de la
nation
, idéal commun. Elle implique une hiérarchie : l’organisation devant ê
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tat à la liberté créatrice de ceux qui forment la
nation
. C’est en vertu de notre conception de la personne que nous voulons a
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nde la pluralité des vocations, des idéaux et des
nations
, et leur fédération sur pied d’égalité. Ainsi encore, notre méthode d
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ériels aux œuvres spirituelles, enfin l’État à la
nation
. Dès lors il ne peut plus y avoir d’opposition entre la morale privée
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questions de vie ou de mort pour l’ensemble de la
nation
. Ceux qui leur donneront une réponse efficace, donneront du même coup
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e. 80. Les lecteurs de cette revue savent que la
nation
n’est une expression de l’universel qu’en raison de l’impuissance hum
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ux-mêmes de donner à ce que nous disons ici de la
nation
un sens absolu de nationalisme autarchique qui est à l’opposé de notr
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tent aujourd’hui. Le premier groupe est celui des
nations
qui respectent l’Église et la personne. Nous y trouvons des formes de