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’établir en Amérique. Le jeu de comparer les deux
nations
, décidément, devenait sérieux : dans la situation qu’on me peignait,
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qu’il m’arrive, et persuadé que l’amitié des deux
nations
doit se nouer dans l’échange de leurs vérités, après tant de caricatu
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a écrit quelque part que l’Amérique n’est pas une
nation
comme les autres, mais un club. Cette remarque explique bien des chos
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ment Roosevelt a mis de la sorte au service de la
nation
, pour une période et pour une tâche déterminée. Il en est résulté par
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réitère : le seul coupable c’est le format de la
nation
. À cause de lui seul, tout compte fait, la liberté de parole n’est qu
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onté de dominer affirmée par un chef au nom de sa
nation
: les Allemands sous Hitler, les Français sous Louis XIV et sous Napo
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ersuadé qu’il ne comporte rien de redoutable. Une
nation
prend conscience d’elle-même lorsqu’elle atteint ses limites naturell
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raisons de prendre conscience de soi en tant que
nation
, avec tout ce que cela comporte d’orgueil et de volonté de régenter l
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ait de quoi trembler. Mais il ne s’agit pas d’une
nation
comme les autres. Je voudrais, pour le faire mieux sentir, prendre un
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ci donc un nationalisme « ouvert » et pour qui la
nation
est en avant, dans un élan, un rêve, une liberté future. Non pas comm
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les réalisations d’un pays riche et celles d’une
nation
que la guerre a ruinée. Mais je ne juge pas du point de vue de Sirius
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e église de la capitale. Cela s’intitulait : « La
nation
prie avec son président. » Le speaker commentait : « Maintenant, le p
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plus de profit. Comme tous ceux qui décrivent une
nation
étrangère, j’ai péché par stylisation. Ajouter des nuances à mon tabl