1 1953, La Confédération helvétique. Note de l’auteur
1 rs 1949, fait partie d’une série d’études sur les nations modernes, entreprise sous la responsabilité de la Conférence permanen
2 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
2 e l’impérialisme d’un homme, d’un groupe ou d’une nation . La Suisse ne subsiste que par la fidélité de ses cantons à une allia
3 uelfes et les gibelins. Le Saint-Empire romain de nation germanique se voyait au surplus menacé par le mouvement libertaire de
4 e Gothard, eût été une menace permanente pour les nations voisines, alors en formation, et surtout pour la France, que Schiner
5 du Gothard, du Lötschberg et du Simplon, dont les nations voisines devaient tirer plus d’avantages matériels que la Suisse. En
6 re : en décidant de siéger à Genève, la Ligue des Nations rendait un hommage éclatant au rôle supranational qu’avait assumé la
7 e son destin. À Genève, le palais de la Ligue des Nations , qui venait d’être achevé à la veille de la guerre, restait vide, bat
8 e présente bien peu des caractères reconnus d’une nation , et ne se définit pas spontanément comme telle6. La Suisse peut être
9 bien commun. Nous ne sommes pas en présence d’une nation , mais bel et bien d’une fédération, c’est-à-dire à la fois d’une fonc
10 de sentiments et de passions qu’éveille le mot «  nation  » chez un Français. a. Par erreur, il est écrit « Australiens » dans
3 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
11 cutable de l’intégration parfaite de l’armée à la nation est fournie par ce simple fait : chaque soldat suisse entre les pério
4 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
12 t les luttes séculaires ont déchiré tant d’autres nations européennes. Toutefois, en dépit de la quasi-unanimité des plus grand
5 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
13 ablir en toute clarté que la Suisse n’est pas une nation , au sens que le terme a pris pendant le xixe siècle, et qu’en conséq
14 a fait sa grandeur.48 ⁂ Dans la communauté des nations , le rôle de la Suisse est donc de maintenir conjointement les deux pr
15 vétique. Au lendemain de la guerre, le Palais des Nations restant vide, par suite de la dissolution de la SDN, fut racheté par