1 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. III. Le Mythe de Japhet
1 ses 23 ou 26 fils et petits-fils, les diverses «  nations  » ou familles qui peuplent l’Europe, avec leurs langues distinctes. R
2 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
2 le pourrait soumettre à son obéissance toutes les nations , si elle était réunie en un seul État. Après cette étape « hégémoniq
3 côté, après avoir incorporé à leur empire maintes nations restées jusque-là sauvages par le fait des pays qu’elles occupaient e
4 Et tout cela ensemble représente cinquante-quatre nations . Sautons de là au xve siècle de notre ère. Sébastian Münster écrit
5 it ornée que de forêts immenses, s’est peuplée de nations puissantes, s’est couverte de cités magnifiques, s’est enrichie du bu
6 ssifs. Quoique divisée, selon Paul Orose, en « 54 nations  » (dans un autre passage, il n’en trouve que 34), quoique indéterminé
3 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VII. De la géographie à l’histoire
7 cident en général, ni de la papauté, ni de leur «  nation  » ou patrie particulière, mais bien comme les membres d’une même fami
4 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VIII. « Europa vel regnum Caroli »
8 hamp de l’ambition « romaine » des empereurs « de nation germanique » ; tandis que l’unité spirituelle deviendra l’autre pôle,