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ses 23 ou 26 fils et petits-fils, les diverses «
nations
» ou familles qui peuplent l’Europe, avec leurs langues distinctes. R
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le pourrait soumettre à son obéissance toutes les
nations
, si elle était réunie en un seul État. Après cette étape « hégémoniq
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côté, après avoir incorporé à leur empire maintes
nations
restées jusque-là sauvages par le fait des pays qu’elles occupaient e
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Et tout cela ensemble représente cinquante-quatre
nations
. Sautons de là au xve siècle de notre ère. Sébastian Münster écrit
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it ornée que de forêts immenses, s’est peuplée de
nations
puissantes, s’est couverte de cités magnifiques, s’est enrichie du bu
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ssifs. Quoique divisée, selon Paul Orose, en « 54
nations
» (dans un autre passage, il n’en trouve que 34), quoique indéterminé
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cident en général, ni de la papauté, ni de leur «
nation
» ou patrie particulière, mais bien comme les membres d’une même fami
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hamp de l’ambition « romaine » des empereurs « de
nation
germanique » ; tandis que l’unité spirituelle deviendra l’autre pôle,