1
it ornée que de forêts immenses, s’est peuplée de
nations
puissantes, s’est couverte de cités magnifiques, s’est enrichie du bu
2
dix millions. Le grand essor démographique de nos
nations
ne date que du xixe siècle. Comment se fait-il alors que l’Inde, aut
3
t le tour du monde et dominait sur la plupart des
nations
de l’époque, Inde comprise ? Comment se fait-il que les Chinois, qui
4
ordre du Christ : Allez et évangélisez toutes les
nations
. Cette injonction envoie ceux qui l’acceptent sur les terres les plus
5
le pourrait soumettre à son obéissance toutes les
nations
, si elle se réunissait en un seul État ». 2. Strabon, Grec du Pont (
6
locale) et la région, puis entre la région et la
nation
, la nation et l’Europe, l’Europe et le monde ; tout se ramenant, en s
7
la région, puis entre la région et la nation, la
nation
et l’Europe, l’Europe et le monde ; tout se ramenant, en somme, à la
8
régions défavorisées du territoire. Même dans les
nations
les plus centralisées, comme la France, le mouvement de restauration
9
gros celle du Marché commun, voudrait unifier les
nations
sur la base d’une totale intégration économique. C’est la position ma
10
e moyen d’une instance d’arbitrage supérieure aux
Nations
et aux Princes, et réprimant toute ambition d’hégémonie. Ce motif dom
11
chie permanente qu’entretiennent les États et les
Nations
, dès lors qu’ils se déclarent absolument souverains, et ne reconnaiss
12
emps est venu de repenser les relations entre les
nations
, c’est-à-dire entre les princes. Quatre plans de grande envergure von
13
nalistes, il se rappelait l’histoire réelle de sa
nation
. Deux ans plus tôt, au congrès de la Paix réuni à Paris, il s’était é
14
ie, vous Angleterre, vous Allemagne, vous toutes,
nations
du continent, sans perdre vos qualités distinctes et votre glorieuse
15
Hugo avait écrit : Au xxe siècle, il y aura une
nation
extraordinaire. Cette nation sera grande, ce qui ne l’empêchera pas d
16
iècle, il y aura une nation extraordinaire. Cette
nation
sera grande, ce qui ne l’empêchera pas d’être libre. Elle sera illust
17
Elle aura la gravité douce d’une aînée. […] Cette
nation
aura pour capitale Paris, et ne s’appellera point la France ; elle s’
18
encore, elle s’appellera l’Humanité. L’Humanité,
nation
définitive, et dès à présent entrevue par les penseurs, ces contempla
19
rmettant la fusion des intérêts essentiels de nos
nations
: production industrielle, législation sociale, tarifs douaniers, lib
20
oblige à rassembler les forces dispersées de nos
nations
, de manière à réaliser, pour la première fois dans l’histoire, la « c
21
vait aggraver la dissolution du corps européen en
nations
rivales. Et de fait, la nécessité alléguée par les États colonialiste
22
États, pour la plupart créés par nous. Quant aux
nations
colonialistes de l’Europe, presque ruinées à deux reprises par le dél
23
efficace que la contrainte. Et partout, dans les
nations
neuves du tiers-monde, il a suffi que nos administrateurs civils et m
24
e vous ne vous sentez pas encore le citoyen d’une
nation
de 335 millions, voire de 430 millions (en comptant les satellites eu
25
t pas le droit de répondre à l’attente des jeunes
nations
et de la jeunesse soviétique plus qu’on ne le croit tournées vers l’O
26
eillera de l’apprendre. Voyons celle de l’une des
nations
récemment libérées de « l’exploitation » européenne : le Dahomey. Les
27
tion et la souveraineté de leurs États. Quant aux
nations
colonialistes de l’Europe — sept sur vingt-six à la fin de la guerre
28
venons aux faits. Les faits nous montrent que les
nations
européennes, à peine libérées de la charge écrasante de leurs colonie
29
en. « Quittons notre province, je veux dire notre
nation
» voudrait-on lui répéter et ce n’est pas ma faute si cette phrase es