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élection des souverains du Saint-Empire romain de
nation
germanique15. J’avais conscience de la précarité de l’époque « tardiv
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religieux. Elle traduira demain l’opposition des
nations
collectivistes et des patries personnalistes. Mais où sont les motifs
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mateurs. Ce n’est pas sauver des entreprises, des
nations
, les intérêts (?) du monde. On nous demande : que signifie « sauver l
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er la subsistance des « petites patries » dans la
nation
abstraitement unifiée ? La ligne d’autocar fait partie du pays. Elle
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es de province où se rencontrent les femmes de la
nation
la plus raisonnable du monde. Le mari est un vieux laïcard, il accuse
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t cas, tout péril fasciste semble écarté pour une
nation
qui sait encore dévouer ses enthousiasmes aux soins que réclame la vi
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e du voyageur. On passe la frontière d’une de ces
nations
neuves : on s’imagine que tout, êtres et choses, va nous montrer des
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pas mort en héros, mais en paria, aux yeux de sa
nation
. Comme je sortais, vivement impressionné par le courage sérieux (sans
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lle illusion de la classe, corps étranger dans la
nation
. Et les partis bourgeois, sans qu’il nous en ait coûté beaucoup d’eff
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ermes que ses confrères ; 6° ne dénigre jamais sa
nation
et ses chefs ; 7° demande des articles à des écrivains et à des savan
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st à peine si les Italiens avaient jamais été une
nation
; Hitler une religion de l’État, et les Allemands l’apprennent pénibl
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placez tous les conflits dans le cadre rigide des
nations
. La nation-bloc, telle que vous la concevez, est un danger dès qu’ell
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’âme des masses, le sombre et puissant râle d’une
nation
possédée par l’Homme au sourire extasié, — lui le pur et le simple, l
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obsession de l’unité-bloc ; même exaltation de la
nation
considérée comme missionnaire d’une idée ; même sens des fêtes symbol
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, on les a contraints à distinguer l’Église de la
Nation
. Malgré eux, à leur cœur défendant, contre leurs traditions les plus
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t-ce aujourd’hui seulement que la vérité de cette
nation
paraît, et alors, c’est nous qui rêvions lorsque nous lui trouvions d
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ns un camp sous le prétexte de « protection de la
Nation
» et déclaré prisonnier personnel du Führer pour dix ans.
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ession unique (plus encore que le synonyme) de la
nation
, de l’économie, de la culture, de la race, et de la société. Formule
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manque de main-d’œuvre en 1938. La dignité de la
nation
est rétablie. L’autorité est restaurée. « Et nous voici sauvés du com
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r rapport au mouvement total, à la religion de la
nation
, et au contenu de cette religion, la volonté collective de puissance
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chrétienne ; c’est-à-dire qu’à la religion de la
nation
et de la Race ne s’oppose plus que la foi proprement dite : contre-ép
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’a aucune importance. Car ce qui compte, c’est la
Nation
, et non pas les individus. Or la Nation, pratiquement c’est l’État. E
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c’est la Nation, et non pas les individus. Or la
Nation
, pratiquement c’est l’État. Et cet État est né de la guerre ; il y pr
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uerre perdue, quelle que soit son issue, pour les
nations
démocratiques. D’une guerre totale, telle que nous l’imposerait l’All
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ne soit pas cette volonté anxieuse de croire à la
Nation
… Le seul problème pratique, sérieux, urgent et réellement fondamental
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ntralisation rigide, confusion de l’État et de la
Nation
) s’opposait dans le fait à toute application honnête des deux princip
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u principe fédératif ne fut pas exploitée par les
nations
qui l’avaient remportée comme malgré elles et en dépit de leurs intér
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ns toutes ces querelles de ménage que se font les
nations
d’Europe, il s’agit moins d’humeurs que de lexiques incompatibles. Ai
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celui de la communauté, de l’interdépendance des
nations
et régions qui s’appelle le fédéralisme. Seul le fédéralisme est prop
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er, sur le plan politique, une commune mesure des
nations
, un droit et des coutumes viables, un langage vrai pour la diplomatie
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res ; création d’entreprises communes à plusieurs
nations
; mise en exploitation commune des colonies ; ententes économiques et
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mais l’autorité spirituelle et le sens même de la
nation
allemande, il devient parfois difficile de le considérer comme « un h
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rtenance première à l’Esprit qui transcende toute
nation
? Il se peut que la tâche urgente ne soit nullement de satisfaire l’
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ndis à Rops que je consentirais ce sacrifice à la
nation
française, et me mis aussitôt à travailler de dix à quatorze heures p
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Argentine —, a pour véritable sujet non plus une
nation
, un régime, mais le désordre de l’époque, vu de près. Pas plus que le
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la Vienne de Schubert — à l’heure où sombrent des
nations
sous l’uniforme barbarie — je les vois s’élever rayonnants dans la lu
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faits patents qui pourraient justifier devant les
nations
civilisées une telle mesure. La seule question qui se pose encore est
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trer publiquement objectif vis-à-vis de sa propre
nation
? Le sort de la démocratie dépend de la solution qui sera donnée en f
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olution, point de scission de l’Histoire et de la
nation
en deux camps longuement irréductibles et appauvris chacun de tout ce
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ment le niveau de l’intelligence moyenne dans une
nation
. Mais je redoute parfois que l’instruction publique, dans nos démocra
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ntimentale sur son propre cas, et sur le sort des
nations
. Il ne reste que la préoccupation des petites choses précises à faire
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que c’est possible : on peut détruire une grande
nation
, tuer ses guides spirituels, supprimer ses moyens d’expression, étein
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rsqu’on a remarqué qu’elle n’oppose plus que deux
nations
: l’une qui ne sait pas vaincre, mais qui gagne, et l’autre qui ne sa
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leurs confrères européens à la vie de leur propre
nation
. Cela tient sans doute à mille raisons matérielles et sociales d’abor
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gnes le vainqueur et ses droits). La « guerre des
nations
» abolit ces lois. Guerre totale : tout élément de jeu réglé a dispar
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plus que la destruction physique et morale de la
nation
adverse entière. Plus de lice ni de champ clos, de déclaration de gue
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rincipe est immanent à la classe, à la race, à la
nation
, à un passé, indûment absolutisés. Il n’y a pas de recours possible.
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t de ses compatriotes aux méthodes d’entraide des
nations
. En dix ans de pouvoir, Hitler a fait de l’Allemagne le pays le plus
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e intéresse surtout nos grands États, nos grandes
Nations
. Ne ferais-je pas mieux de retourner à mon travail ? 93. C’est-à-d
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a peur réciproques qui président aux rapports des
nations
, et de l’antisémitisme, et de l’antisoviétisme, et de l’antiaméricani
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que d’un déménagement. Car l’idée d’une Ligue des
Nations
a survécu au déchaînement nationaliste. En attendant une vraie Ligue