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sions internationales porte aujourd’hui certaines
nations
à se grouper et à mettre au moins en partie en commun, à l’intérieur
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e en dehors et au-dessus du cadre des différentes
nations
participantes. Résultat de la coopération d’un grand nombre d’États e
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l, avec la collaboration des savants des diverses
nations
. […] L’état actuel du monde ne permet pas encore de réaliser à l’éch
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le savons que trop, est ruinée. […] Ce que chaque
nation
européenne est incapable de faire, l’Europe unie peut le faire et je
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lles entraînent des frais prohibitifs pour chaque
nation
prise isolément. […] Fonds européen pour les recherches scientifique
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de la culture considérant que la coopération des
nations
de l’Europe pour la recherche dans les sciences de la nature et les s
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e des savants dans des domaines où l’effort d’une
nation
seule ne saurait suffire ». La Commission, en approuvant cette résolu
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se sont réunis les recteurs et professeurs de 53
nations
. On le voit, l’idée avancée en décembre 1949 a gagné en profondeur, a
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’outillages suffisants — d’être possible pour les
nations
d’Europe prises isolément, il faut donc nous hâter d’« européaniser »
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al moyen par habitant) entraîneraient pour chaque
nation
des charges annuelles très supportables. À titre d’exemple, et sans e
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ur la science en dehors et au-dessus du cadre des
nations
participantes. Il faut remarquer ici que seule cette idée initiale ét
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« Le travail créateur en commun des chercheurs de
nations
différentes contribuera grandement à faire naître un esprit internati