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par la suite pour conquérir l’unité des races, la
nationalité
. C’est la thèse des Italiens et des Prussiens de 1866, 1870. Ce sera
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par la suite pour conquérir l’unité des races, la
nationalité
. C’est la thèse des Italiens et des Prussiens de 1866, 1870. Ce sera
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par la suite pour conquérir l’unité des races, la
nationalité
. C’est la thèse des Italiens et des Prussiens de 1866, 1870. Ce sera
4
es races, qui se limite au nord à un brassage des
nationalités
d’Europe, devient au sud un véritable croisement entre les Blancs et
5
es races, qui se limite au nord à un brassage des
nationalités
d’Europe, devient au sud un véritable croisement entre les Blancs et
6
, que prendrez-vous ? Si vous mélangez toutes nos
nationalités
, au hasard, vous obtiendrez au mieux des Américains manqués. Les méla
7
ondre nos diversités de langues, de religions, de
nationalités
, de partis politiques et d’intérêts, dans une espèce d’espéranto tota
8
papiers » qui font de vous un candidat admis à la
nationalité
américaine, puis rentrer en cette qualité. Cette cérémonie symbolique
9
toutes tailles, de toutes altitudes et de toutes
nationalités
, répondant à des besoins différents. Il y aura une série de grandes s
10
choses qui nous engagerait au sacrifice de notre
nationalité
. » Un autre député qualifiait de « chimère » l’idée d’une Union suiss
11
tisme, en appelant lyriquement la formation des «
nationalités
» comme autant d’étapes nécessaires d’une dialectique de l’Esprit, s’
12
es romantiques allemands : celle d’une Europe des
nationalités
, qu’il considère lui aussi comme une étape inévitable, quoique danger
13
ur que la vie surgisse de la mort et pour qu’à la
nationalité
païenne succède la fraternité chrétienne. Passons sur des exclamatio
14
dans le sens mazzinien d’une « Internationale des
nationalités
», et il loue Herder d’avoir considéré l’humanité « comme une grande
15
icain ! Pauvres petits-fils ! Si pour Heine la «
nationalité
» représente la dernière défense des diversités européennes, pour les
16
métropole d’un monde au sein duquel toutes les «
nationalités
» politiques et spirituelles, sauvegardant leur diversité, entreraien
17
autre origine. La Pologne et la Hongrie sont des
nationalités
opprimées et qui ont perdu l’indépendance ; l’Allemagne et l’Italie s
18
n, « les mouvements légitimes de croissance et de
nationalité
des peuples ». Cependant, elle n’entend pas : incendier le monde, ma
19
frontières, a créé entre les esprits cette grande
nationalité
intellectuelle qui sera l’achèvement de la Révolution française et la
20
’Europe… Lorsque cet idéal sera réalisé, alors la
nationalité
internationale des Suisses pourra se dissoudre dans la plus grande co
21
». Grâce aux divisions morbides que la folie des
nationalités
a mises et met encore entre les peuples de l’Europe, grâce aux politi
22
ment de fierté patriotique » et « le sentiment de
nationalité
qui fait le bon citoyen ». En Italie, il s’agit d’abord « d’effacer t
23
t à Cracovie, en 1888, d’une famille polonaise de
nationalité
autrichienne, assez riche et hautement intellectuelle. Parmi ses plus
24
ngères et rédigé au nom du Dr Joseph Retinger, de
nationalité
polonaise. « C’était, je crois, la première fois depuis plus d’un siè
25
siècle qu’un gouvernement reconnaissait ainsi la
nationalité
polonaise », remarque-t-il non sans fierté. Pour la Pologne : succ
26
t et justifiant doctrinalement la formation des «
nationalités
», comme autant d’étapes nécessaires d’une dialectique de l’Esprit, s
27
épouse l’idéologie herdérienne d’une Europe des «
nationalités
» qu’il considère, un peu à la manière de Fichte, comme une étape ind
28
ur que la vie surgisse de la mort et pour qu’à la
nationalité
païenne succède la fraternité chrétienne.193 Sa conception de l’uni
29
e tantôt comme celle du groupe populaire, de la «
nationalité
» secouant le joug de tous les despotismes, politiques ou spirituels,
30
de la propriété ; il ne sera alors question ni de
nationalité
ni de religion ; il n’y aura qu’une seule patrie, la terre, et qu’une
31
métropole d’un monde au sein duquel toutes les «
nationalités
» politiques et spirituelles, sauvegardant leur diversité, entreraien
32
éciproque.201 La Pologne et la Hongrie sont des
nationalités
opprimées et qui ont perdu leur indépendance politique ; l’Allemagne
33
es peuples, a créé entre les esprits cette grande
nationalité
intellectuelle qui sera l’achèvement de la Révolution française et la
34
La variété, la multiplicité, l’individualité, la
nationalité
, lui paraissent essentielles à l’Europe, qui par là se distingue de l
35
t de variété ; celui-ci constitue le principe des
nationalités
respectives et représente ce que les peuples autochtones ont retenu d
36
te le cours du temps, plus on constate que chaque
nationalité
se divise en ses éléments originels ; et si on enlève tout ce qu’il y
37
Europe unie ; ils ont cru tous les deux que la «
nationalité
» était l’un des termes essentiels de toute union vivante de l’Europe
38
du nationalisme sur la libre « association » des
nationalités
. Il s’interroge sur les causes de cette défaite et les trouve dans la
39
t de nationalisme substitué partout à l’esprit de
nationalité
, dans la folle prétention que chaque peuple a eue de pouvoir résoudre
40
nt hors de doute, c’est qu’il faut à l’Europe une
nationalité
européenne, un gouvernement un, un immense arbitrage fraternel, la dé
41
et par suite, du désarmement général. Alors toute
nationalité
reviendrait à la liberté ; alors se réaliserait l’idée d’un équilibre
42
politique. Ainsi aborde-t-il le problème de la «
nationalité
», dont nous avons vu les ambiguïtés pervertir tout l’élan de 1848. C
43
rtir tout l’élan de 1848. Comment concevoir une «
nationalité
européenne » sur le modèle des Nations souveraines et uniformes qui c
44
rra pas son appartenance européenne menacée ni la
nationalité
suisse arrêtée dans son développement. … S’il est une nationalité sui
45
se arrêtée dans son développement. … S’il est une
nationalité
suisse, elle possède au plus haut degré un caractère international… L
46
ermine leur vie spirituelle. Pour cette raison la
nationalité
politique des Suisses doit conserver un caractère international dans
47
domaine des rapports culturels. Plus la véritable
nationalité
se confond avec la communauté culturelle et plus ce caractère interna
48
lturelle et plus ce caractère international de la
nationalité
suisse aura sa juste valeur. Il est devenu pour la Suisse un principe
49
… Si cet idéal de l’avenir se réalise un jour, la
nationalité
suisse de caractère international devra s’incorporer à la communauté
50
rend justice à l’élan primitif et libertaire des
nationalités
, mais il constate aussi que cet élan a dépassé son but : Ainsi s’exp
51
explique l’actuel retour en force du principe des
nationalités
, comme réaction contre l’absolutisme du siècle précédent, qui ignorai
52
goriquement et souvent même foulait aux pieds les
nationalités
en traitant les peuples comme une masse imposable et recrutable… De m
53
-delà du but assigné, ainsi la valorisation de la
nationalité
devint un but absolu… Au stade des nations fermées correspondent les
54
ous livrer l’Orient ; par une sorte d’instinct de
nationalité
européenne, ils nous refoulent en Orient pour ne plus nous rencontrer
55
rra se faire qu’avec l’aide de l’Europe… … notre
nationalité
a été jusqu’ici une nationalité barbare, grossière, immobile à la chi
56
’Europe… … notre nationalité a été jusqu’ici une
nationalité
barbare, grossière, immobile à la chinoise. La civiliser, l’élever, l
57
s’imposant à elles, et corrigeant le principe des
nationalités
par le principe de fédération… Le principe de la fédération européenn
58
: Grâce aux divisions morbides que la folie des
nationalités
a mises et met encore entre les peuples de l’Europe, grâce aux politi
59
ion de la pleine égalité de droits par toutes les
nationalités
ayant pris forme d’État souverain est aussi contraire à l’Histoire et
60
arbares, qui sont proprement les responsables des
nationalités
, en ce qu’ils opposèrent les « gentes » à ces éléments d’internationa
61
ination d’une nouvelle conscience, d’une nouvelle
nationalité
(parce que, comme nous l’avons vu déjà, les nations ne sont pas des d
62
à l’étroit dans les limites de sa nation, sent sa
nationalité
comme une limitation absolue… Si l’on nous réduisait — expérience pur
63
que « le chemin de l’humanité, en passant par la
nationalité
, mène à la bestialité ». Le fait que les différents peuples se complè
64
9,5 et de 220 millions. 55. Cf. Léo Moulin, « La
nationalité
des prix Nobel de science de 1901 à 1960, essai d’analyse sociologiqu
65
atiques, — celles de la paix. 1. Léo Moulin, La
Nationalité
des prix Nobel de sciences de 1901 à 1960, Cahiers internationaux de
66
au xviie siècle) et, plus tard, au xixe siècle,
nationalité
, nationalisme, puis, avec Nietzsche, supranationalité, enfin fédérati
67
e pour l’édification de l’Europe. Selon lui, « la
nationalité
suisse possède au plus haut degré un caractère très international »,
68
l’avenir se réalise un jour, écrit-il en 1875, la
nationalité
suisse devra s’incorporer à la communauté de la Grande Europe. De cet
69
ou instantanées. Interpénétration croissante des
nationalités
, des races, des groupes sociaux. Information audiovisuelle planétaire
70
ur l’Europe entière. Au moment où le principe des
nationalités
domine toute la scène européenne comme une puissance satanique, au mo
71
ndique l’honneur d’un idéal national dominant les
nationalités
et les unissant dans son sein. Et Robert de Traz, dans le même temps
72
e pour l’édification de l’Europe. Selon lui, la «
nationalité
suisse possède au plus haut degré un caractère très international »,
73
l’avenir se réalise un jour, écrit-il en 1875, la
nationalité
suisse devra s’incorporer à la communauté de la Grande Europe. De cet
74
préconiser la conception révolutionnaire d’une «
nationalité
suisse » englobant toutes les traditions locales, et dans un beau mou
75
est lui qui nous imprime un cachet ineffaçable de
nationalité
commune… Oui, l’idée d’une commune patrie ne nous est point étrangère
76
ne nous est point étrangère ; le sentiment de la
nationalité
existe dans nos cœurs. Et quoi qu’en disent les détracteurs des temps
77
entre l’union et les autonomies et à prôner une «
nationalité
internationale » analogue à la nationalité intercantonale de la Confé
78
une « nationalité internationale » analogue à la
nationalité
intercantonale de la Confédération suisse. Notons bien que Bluntschli
79
gerait au sacrifice plus ou moins étendu de notre
nationalité
. » La nationalité est donc cantonale, non pas suisse, pour un réalist
80
e plus ou moins étendu de notre nationalité. » La
nationalité
est donc cantonale, non pas suisse, pour un réaliste de ce temps. Un
81
piers » qui feront de vous un candidat admis à la
nationalité
américaine, puis rentrer en cette qualité, c’est-à-dire passer la fro
82
in. Et c’est ainsi qu’il garda jusqu’à sa mort la
nationalité
allemande. » Enfin, un Suisse primitif, Hans Erni, Lucernois de vieil
83
riginaire de Zurich. À vingt ans, il opta pour la
nationalité
suisse, parce que sa mère lui avait dit : « En Suisse, tu n’auras que
84
ns d’histoire naturelle. 114. Cf. Léo Moulin, La
nationalité
des Prix Nobel des sciences de 1901 à 1960, dans Cahiers internationa
85
e pour l’édification de l’Europe. Selon lui, la «
nationalité
suisse possède au plus haut degré un caractère très international »,
86
l’avenir se réalise un jour, écrit-il en 1875, la
nationalité
suisse devra s’incorporer à la communauté de la Grande Europe. De cet
87
ou instantanées. Interpénétration croissante des
nationalités
, races, groupes sociaux. Information audiovisuelle planétaire, pouvan
88
ur l’Europe entière. Au moment où le principe des
nationalités
domine toute la scène européenne comme une puissance satanique, au mo
89
ndique l’honneur d’un idéal national dominant les
nationalités
et les unissant dans son sein. Et Robert de Traz, dans le même temps
90
rands, ni les cantons suisses trop petits, ni les
nationalités
de la Double-Monarchie d’antan ou de l’URSS d’aujourd’hui, ni les « S
91
ands, ni les cantons suisses, trop petits, ni les
nationalités
de la Double-Monarchie d’antan ou de l’URSS d’aujourd’hui, ni les « S
92
nneté commune sans que soit perdue pour autant la
nationalité
d’origine ». La controverse entre fédéralistes et unionistes laisse u
93
ands, ni les cantons suisses, trop petits, ni les
nationalités
de la Double-Monarchie d’antan ou de l’URSS d’aujourd’hui, ni les « S
94
u en mesurer toute l’absurdité puisque, de par sa
nationalité
, il était neutre. Nous sommes ici à patauger, pouvons-nous lire dans
95
ieu « voyant que je ne fais aucune distinction de
nationalité
, suivent mon exemple en témoignant la même bienveillance à tous ces h
96
cantonal, disait lui-même au siècle passé que la
nationalité
suisse possède au plus haut degré un caractère très international et
97
eption), un professeur d’université doit avoir la
nationalité
du pays où il enseigne. (Dans les pays de l’Est, la nationalité russe
98
pays où il enseigne. (Dans les pays de l’Est, la
nationalité
russe suffit.) Certaines dérogations à cette règle sont pratiquées co
99
rde aujourd’hui à reconnaître que la question des
nationalités
a joué un rôle décisif. Elle se trouvait posée par le nationalisme né
100
ands, ni les cantons suisses, trop petits, ni les
nationalités
de la double monarchie d’antan ou de l’URSS d’aujourd’hui, ni les « S
101
n Europe… Si cet idéal de l’avenir se réalise, la
nationalité
suisse de caractère international devra s’incorporer à la communauté
102
coupent arbitrairement des régions homogènes, des
nationalités
ou ethnies caractérisées, des ensembles économiques actuels ou potent
103
citoyen du canton de Neuchâtel, je suis Suisse de
nationalité
. En tant qu’écrivain, je relève de la francophonie, qui couvre deux t
104
Genève, de Bruxelles ou de Vienne, jusqu’à vingt
nationalités
différentes.) Mais si les attributs classiques et formels de la commu
105
leur exemplaire générale. 147. Léo Moulin, « La
nationalité
des prix Nobel de sciences de 1901 à 1960 », dans Cahiers internation
106
Bretagne il ne s’agit d’abord de la région : une
nationalité
minoritaire exige son propre État, et ce projet peut apparaître comme
107
ont on devient citoyen suisse. Tout candidat à la
nationalité
helvétique est tenu de résider pendant huit à douze ans, selon les ca
108
; Français d’éducation germanique contraint à la
nationalité
allemande, Robert Schuman s’est à plusieurs reprises, très justement,
109
raisonné, mais peut-on vraiment lui attribuer une
nationalité
lorsqu’on sait que sa famille originaire de Lausanne compte une branc
110
nt la guerre de 1914. Il se trouve être Suisse de
nationalité
, parce que le canton de Vaud est l’une des 22 républiques qui forment
111
de mémoire historique (via l’École) à toutes ses
nationalités
, au mépris déclaré de leurs identités. Les héritiers de cette France
112
és, mais aussi contre les langues différentes des
nationalités
conquises): dans les Allemagnes, la Bible traduite par Luther, en Gra
113
nationale ce que celle-ci fit jadis à ces propres
nationalités
. Mais ils se trompent doublement : sur le sens du fédéralisme et sur
114
t dans son article 2 « le droit à l’autonomie des
nationalités
et des régions qui composent la nation espagnole », mais déclare à l’
115
t dans son article 2 « le droit à l’autonomie des
nationalités
et des régions qui composent la nation espagnole », mais déclare à l’
116
encore. En 1915, Guy, qui a réintégré dès 1912 la
nationalité
française en vertu des lois sur les réfugiés pour cause de religion,
117
aris, où il commence à publier. Ayant recouvré la
nationalité
française deux ans plus tôt, il est mobilisé en 1914, et nommé offici
118
e on l’a rappelé ce matin, qu’il réunissait douze
nationalités
. Qu’aurait-il fallu choisir comme culture nationale à imposer à toute
119
artiens à la Confédération suisse qui me donne ma
nationalité
, mon passeport. Comme écrivain, mon allégeance va à l’ensemble de la
120
turgie, ainsi que la langue des relations entre «
nationalités
» différentes — la langue européenne, en quelque sorte — mais elle se
121
l’Hexagone. « Ces Français n’ont aucun sens de la
nationalité
! », écrit-il, de l’École de Brienne, au grand chef corse Paoli73. Qu
122
: Grâce aux divisions morbides que la folie des
nationalités
a mises et met encore entre les peuples de l’Europe, grâce aux politi
123
s’est dissout puisque nous étions de différentes
nationalités
. Je fus tout de suite mobilisé en Suisse où j’étais lieutenant dans l
124
t cela a dominé, au xxe siècle, la politique des
nationalités
qui a présidé aux « traités de banlieue » qui ont partagé les États s
125
’est un dogme et que c’est sacré (le principe des
nationalités
aboutissant à un système d’enclaves, genre Dantzig et beaucoup d’autr
126
ncore par l’Autriche-Hongrie, qui réunissait onze
nationalités
différentes. Cette désintégration s’est opérée en 1919 et 1920, lors
127
nstitué par le Soviet de l’Union et le Soviet des
nationalités
(sur le modèle du Congrès et du Sénat aux USA, ou du Conseil national
128
chambres : le Soviet de l’Union et le Soviet des
nationalités
. Ce qui correspond exactement au système bicaméral des États-Unis et
129
e et de l’enfant droits égaux sans distinction de
nationalité
et de race ; — liberté de conscience, c’est-à-dire « Église séparée d