1 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
1 par la suite pour conquérir l’unité des races, la nationalité . C’est la thèse des Italiens et des Prussiens de 1866, 1870. Ce sera
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
2 par la suite pour conquérir l’unité des races, la nationalité . C’est la thèse des Italiens et des Prussiens de 1866, 1870. Ce sera
3 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
3 par la suite pour conquérir l’unité des races, la nationalité . C’est la thèse des Italiens et des Prussiens de 1866, 1870. Ce sera
4 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
4 es races, qui se limite au nord à un brassage des nationalités d’Europe, devient au sud un véritable croisement entre les Blancs et
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
5 es races, qui se limite au nord à un brassage des nationalités d’Europe, devient au sud un véritable croisement entre les Blancs et
6 1951, Articles divers (1951-1956). Comment fabriquer un Européen ?
6 , que prendrez-vous ? Si vous mélangez toutes nos nationalités , au hasard, vous obtiendrez au mieux des Américains manqués. Les méla
7 1953, Articles divers (1951-1956). Unité et diversité de l’Europe (juin 1953)
7 ondre nos diversités de langues, de religions, de nationalités , de partis politiques et d’intérêts, dans une espèce d’espéranto tota
8 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
8 papiers » qui font de vous un candidat admis à la nationalité américaine, puis rentrer en cette qualité. Cette cérémonie symbolique
9 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
9 toutes tailles, de toutes altitudes et de toutes nationalités , répondant à des besoins différents. Il y aura une série de grandes s
10 1959, Articles divers (1957-1962).  Une expérience de fédéralisme : la Suisse (1959)
10 choses qui nous engagerait au sacrifice de notre nationalité . » Un autre député qualifiait de « chimère » l’idée d’une Union suiss
11 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
11 tisme, en appelant lyriquement la formation des «  nationalités  » comme autant d’étapes nécessaires d’une dialectique de l’Esprit, s’
12 es romantiques allemands : celle d’une Europe des nationalités , qu’il considère lui aussi comme une étape inévitable, quoique danger
13 ur que la vie surgisse de la mort et pour qu’à la nationalité païenne succède la fraternité chrétienne. Passons sur des exclamatio
14 dans le sens mazzinien d’une « Internationale des nationalités  », et il loue Herder d’avoir considéré l’humanité « comme une grande
15 icain ! Pauvres petits-fils ! Si pour Heine la «  nationalité  » représente la dernière défense des diversités européennes, pour les
16 métropole d’un monde au sein duquel toutes les «  nationalités  » politiques et spirituelles, sauvegardant leur diversité, entreraien
17 autre origine. La Pologne et la Hongrie sont des nationalités opprimées et qui ont perdu l’indépendance ; l’Allemagne et l’Italie s
18 n, « les mouvements légitimes de croissance et de nationalité des peuples ». Cependant, elle n’entend pas : incendier le monde, ma
19 frontières, a créé entre les esprits cette grande nationalité intellectuelle qui sera l’achèvement de la Révolution française et la
20 ’Europe… Lorsque cet idéal sera réalisé, alors la nationalité internationale des Suisses pourra se dissoudre dans la plus grande co
21  ». Grâce aux divisions morbides que la folie des nationalités a mises et met encore entre les peuples de l’Europe, grâce aux politi
12 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Guide européen de l’enseignement civique [introduction] (1960-1961)
22 ment de fierté patriotique » et « le sentiment de nationalité qui fait le bon citoyen ». En Italie, il s’agit d’abord « d’effacer t
13 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
23 t à Cracovie, en 1888, d’une famille polonaise de nationalité autrichienne, assez riche et hautement intellectuelle. Parmi ses plus
24 ngères et rédigé au nom du Dr Joseph Retinger, de nationalité polonaise. « C’était, je crois, la première fois depuis plus d’un siè
25 siècle qu’un gouvernement reconnaissait ainsi la nationalité polonaise », remarque-t-il non sans fierté. Pour la Pologne : succ
14 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
26 t et justifiant doctrinalement la formation des «  nationalités  », comme autant d’étapes nécessaires d’une dialectique de l’Esprit, s
27 épouse l’idéologie herdérienne d’une Europe des «  nationalités  » qu’il considère, un peu à la manière de Fichte, comme une étape ind
28 ur que la vie surgisse de la mort et pour qu’à la nationalité païenne succède la fraternité chrétienne.193 Sa conception de l’uni
29 e tantôt comme celle du groupe populaire, de la «  nationalité  » secouant le joug de tous les despotismes, politiques ou spirituels,
30 de la propriété ; il ne sera alors question ni de nationalité ni de religion ; il n’y aura qu’une seule patrie, la terre, et qu’une
31 métropole d’un monde au sein duquel toutes les «  nationalités  » politiques et spirituelles, sauvegardant leur diversité, entreraien
32 éciproque.201 La Pologne et la Hongrie sont des nationalités opprimées et qui ont perdu leur indépendance politique ; l’Allemagne
33 es peuples, a créé entre les esprits cette grande nationalité intellectuelle qui sera l’achèvement de la Révolution française et la
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
34 La variété, la multiplicité, l’individualité, la nationalité , lui paraissent essentielles à l’Europe, qui par là se distingue de l
35 t de variété ; celui-ci constitue le principe des nationalités respectives et représente ce que les peuples autochtones ont retenu d
36 te le cours du temps, plus on constate que chaque nationalité se divise en ses éléments originels ; et si on enlève tout ce qu’il y
37 Europe unie ; ils ont cru tous les deux que la «  nationalité  » était l’un des termes essentiels de toute union vivante de l’Europe
38 du nationalisme sur la libre « association » des nationalités . Il s’interroge sur les causes de cette défaite et les trouve dans la
39 t de nationalisme substitué partout à l’esprit de nationalité , dans la folle prétention que chaque peuple a eue de pouvoir résoudre
40 nt hors de doute, c’est qu’il faut à l’Europe une nationalité européenne, un gouvernement un, un immense arbitrage fraternel, la dé
41 et par suite, du désarmement général. Alors toute nationalité reviendrait à la liberté ; alors se réaliserait l’idée d’un équilibre
42 politique. Ainsi aborde-t-il le problème de la «  nationalité  », dont nous avons vu les ambiguïtés pervertir tout l’élan de 1848. C
43 rtir tout l’élan de 1848. Comment concevoir une «  nationalité européenne » sur le modèle des Nations souveraines et uniformes qui c
44 rra pas son appartenance européenne menacée ni la nationalité suisse arrêtée dans son développement. … S’il est une nationalité sui
45 se arrêtée dans son développement. … S’il est une nationalité suisse, elle possède au plus haut degré un caractère international… L
46 ermine leur vie spirituelle. Pour cette raison la nationalité politique des Suisses doit conserver un caractère international dans
47 domaine des rapports culturels. Plus la véritable nationalité se confond avec la communauté culturelle et plus ce caractère interna
48 lturelle et plus ce caractère international de la nationalité suisse aura sa juste valeur. Il est devenu pour la Suisse un principe
49 … Si cet idéal de l’avenir se réalise un jour, la nationalité suisse de caractère international devra s’incorporer à la communauté
50 rend justice à l’élan primitif et libertaire des nationalités , mais il constate aussi que cet élan a dépassé son but : Ainsi s’exp
51 explique l’actuel retour en force du principe des nationalités , comme réaction contre l’absolutisme du siècle précédent, qui ignorai
52 goriquement et souvent même foulait aux pieds les nationalités en traitant les peuples comme une masse imposable et recrutable… De m
53 -delà du but assigné, ainsi la valorisation de la nationalité devint un but absolu… Au stade des nations fermées correspondent les
16 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
54 ous livrer l’Orient ; par une sorte d’instinct de nationalité européenne, ils nous refoulent en Orient pour ne plus nous rencontrer
55 rra se faire qu’avec l’aide de l’Europe… … notre nationalité a été jusqu’ici une nationalité barbare, grossière, immobile à la chi
56 ’Europe… … notre nationalité a été jusqu’ici une nationalité barbare, grossière, immobile à la chinoise. La civiliser, l’élever, l
17 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
57 s’imposant à elles, et corrigeant le principe des nationalités par le principe de fédération… Le principe de la fédération européenn
58  : Grâce aux divisions morbides que la folie des nationalités a mises et met encore entre les peuples de l’Europe, grâce aux politi
59 ion de la pleine égalité de droits par toutes les nationalités ayant pris forme d’État souverain est aussi contraire à l’Histoire et
18 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
60 arbares, qui sont proprement les responsables des nationalités , en ce qu’ils opposèrent les « gentes » à ces éléments d’internationa
19 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
61 ination d’une nouvelle conscience, d’une nouvelle nationalité (parce que, comme nous l’avons vu déjà, les nations ne sont pas des d
62 à l’étroit dans les limites de sa nation, sent sa nationalité comme une limitation absolue… Si l’on nous réduisait — expérience pur
63 que « le chemin de l’humanité, en passant par la nationalité , mène à la bestialité ». Le fait que les différents peuples se complè
20 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
64 9,5 et de 220 millions. 55. Cf. Léo Moulin, « La nationalité des prix Nobel de science de 1901 à 1960, essai d’analyse sociologiqu
21 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
65 atiques, — celles de la paix. 1. Léo Moulin, La Nationalité des prix Nobel de sciences de 1901 à 1960, Cahiers internationaux de
22 1963, Articles divers (1963-1969). Aspects fédéralistes dans les plans et projets d’union européenne du Moyen Âge à nos jours (1963)
66 au xviie siècle) et, plus tard, au xixe siècle, nationalité , nationalisme, puis, avec Nietzsche, supranationalité, enfin fédérati
23 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
67 e pour l’édification de l’Europe. Selon lui, « la nationalité suisse possède au plus haut degré un caractère très international »,
68 l’avenir se réalise un jour, écrit-il en 1875, la nationalité suisse devra s’incorporer à la communauté de la Grande Europe. De cet
69 ou instantanées. Interpénétration croissante des nationalités , des races, des groupes sociaux. Information audiovisuelle planétaire
70 ur l’Europe entière. Au moment où le principe des nationalités domine toute la scène européenne comme une puissance satanique, au mo
71 ndique l’honneur d’un idéal national dominant les nationalités et les unissant dans son sein. Et Robert de Traz, dans le même temps
24 1964, Articles divers (1963-1969). L’idée européenne en Suisse (1964)
72 e pour l’édification de l’Europe. Selon lui, la «  nationalité suisse possède au plus haut degré un caractère très international »,
73 l’avenir se réalise un jour, écrit-il en 1875, la nationalité suisse devra s’incorporer à la communauté de la Grande Europe. De cet
25 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
74 préconiser la conception révolutionnaire d’une «  nationalité suisse » englobant toutes les traditions locales, et dans un beau mou
75 est lui qui nous imprime un cachet ineffaçable de nationalité commune… Oui, l’idée d’une commune patrie ne nous est point étrangère
76 ne nous est point étrangère ; le sentiment de la nationalité existe dans nos cœurs. Et quoi qu’en disent les détracteurs des temps
77 entre l’union et les autonomies et à prôner une «  nationalité internationale » analogue à la nationalité intercantonale de la Confé
78 une « nationalité internationale » analogue à la nationalité intercantonale de la Confédération suisse. Notons bien que Bluntschli
79 gerait au sacrifice plus ou moins étendu de notre nationalité . » La nationalité est donc cantonale, non pas suisse, pour un réalist
80 e plus ou moins étendu de notre nationalité. » La nationalité est donc cantonale, non pas suisse, pour un réaliste de ce temps. Un
26 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les institutions et la vie politique
81 piers » qui feront de vous un candidat admis à la nationalité américaine, puis rentrer en cette qualité, c’est-à-dire passer la fro
27 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
82 in. Et c’est ainsi qu’il garda jusqu’à sa mort la nationalité allemande. » Enfin, un Suisse primitif, Hans Erni, Lucernois de vieil
83 riginaire de Zurich. À vingt ans, il opta pour la nationalité suisse, parce que sa mère lui avait dit : « En Suisse, tu n’auras que
84 ns d’histoire naturelle. 114. Cf. Léo Moulin, La nationalité des Prix Nobel des sciences de 1901 à 1960, dans Cahiers internationa
28 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
85 e pour l’édification de l’Europe. Selon lui, la «  nationalité suisse possède au plus haut degré un caractère très international »,
86 l’avenir se réalise un jour, écrit-il en 1875, la nationalité suisse devra s’incorporer à la communauté de la Grande Europe. De cet
87 ou instantanées. Interpénétration croissante des nationalités , races, groupes sociaux. Information audiovisuelle planétaire, pouvan
88 ur l’Europe entière. Au moment où le principe des nationalités domine toute la scène européenne comme une puissance satanique, au mo
89 ndique l’honneur d’un idéal national dominant les nationalités et les unissant dans son sein. Et Robert de Traz, dans le même temps
29 1967, Articles divers (1963-1969). Au-delà des nations (1967)
90 rands, ni les cantons suisses trop petits, ni les nationalités de la Double-Monarchie d’antan ou de l’URSS d’aujourd’hui, ni les « S
30 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
91 ands, ni les cantons suisses, trop petits, ni les nationalités de la Double-Monarchie d’antan ou de l’URSS d’aujourd’hui, ni les « S
31 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
92 nneté commune sans que soit perdue pour autant la nationalité d’origine ». La controverse entre fédéralistes et unionistes laisse u
32 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
93 ands, ni les cantons suisses, trop petits, ni les nationalités de la Double-Monarchie d’antan ou de l’URSS d’aujourd’hui, ni les « S
33 1969, Articles divers (1963-1969). Le personnalisme, la contestation, les hippies et… le fédéralisme (27 septembre 1969)
94 u en mesurer toute l’absurdité puisque, de par sa nationalité , il était neutre. Nous sommes ici à patauger, pouvons-nous lire dans
34 1969, Articles divers (1963-1969). Un souvenir de Solférino de Henry Dunant [préface] (1969)
95 ieu « voyant que je ne fais aucune distinction de nationalité , suivent mon exemple en témoignant la même bienveillance à tous ces h
35 1970, Articles divers (1970-1973). « S’unir, au-delà de nos fausses souverainetés, pour préserver nos vraies diversités » (mai-juin 1970)
96 cantonal, disait lui-même au siècle passé que la nationalité suisse possède au plus haut degré un caractère très international et
36 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Rapport général présenté à la Conférence européenne de la culture, Lausanne, du 8 au 12 décembre 1949
97 eption), un professeur d’université doit avoir la nationalité du pays où il enseigne. (Dans les pays de l’Est, la nationalité russe
98 pays où il enseigne. (Dans les pays de l’Est, la nationalité russe suffit.) Certaines dérogations à cette règle sont pratiquées co
37 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — L’Europe contestée par elle-même
99 rde aujourd’hui à reconnaître que la question des nationalités a joué un rôle décisif. Elle se trouvait posée par le nationalisme né
38 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
100 ands, ni les cantons suisses, trop petits, ni les nationalités de la double monarchie d’antan ou de l’URSS d’aujourd’hui, ni les « S
39 1971, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Au défi de l’Europe, la Suisse (31 juillet-1er août 1971)
101 n Europe… Si cet idéal de l’avenir se réalise, la nationalité suisse de caractère international devra s’incorporer à la communauté
40 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aspects culturels de la coopération dans les régions frontalières (été 1972)
102 coupent arbitrairement des régions homogènes, des nationalités ou ethnies caractérisées, des ensembles économiques actuels ou potent
41 1973, Articles divers (1970-1973). L’Europe, c’est d’abord une culture (juillet-août 1973)
103 citoyen du canton de Neuchâtel, je suis Suisse de nationalité . En tant qu’écrivain, je relève de la francophonie, qui couvre deux t
42 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
104 Genève, de Bruxelles ou de Vienne, jusqu’à vingt nationalités différentes.) Mais si les attributs classiques et formels de la commu
105 leur exemplaire générale. 147. Léo Moulin, « La nationalité des prix Nobel de sciences de 1901 à 1960 », dans Cahiers internation
43 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience régionale
106 Bretagne il ne s’agit d’abord de la région : une nationalité minoritaire exige son propre État, et ce projet peut apparaître comme
44 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
107 ont on devient citoyen suisse. Tout candidat à la nationalité helvétique est tenu de résider pendant huit à douze ans, selon les ca
45 1977, Articles divers (1974-1977). Robert Schuman (1886-1963) : l’homme de la frontière (1977)
108  ; Français d’éducation germanique contraint à la nationalité allemande, Robert Schuman s’est à plusieurs reprises, très justement,
46 1978, Articles divers (1978-1981). Pleine page sur Denis de Rougemont (14-15 mai 1978)
109 raisonné, mais peut-on vraiment lui attribuer une nationalité lorsqu’on sait que sa famille originaire de Lausanne compte une branc
47 1978, Articles divers (1978-1981). Ramuz, Présence de la mort [préface à la traduction américaine] (24 septembre 1978)
110 nt la guerre de 1914. Il se trouve être Suisse de nationalité , parce que le canton de Vaud est l’une des 22 républiques qui forment
48 1978, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (hiver 1978)
111 de mémoire historique (via l’École) à toutes ses nationalités , au mépris déclaré de leurs identités. Les héritiers de cette France
49 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
112 és, mais aussi contre les langues différentes des nationalités conquises): dans les Allemagnes, la Bible traduite par Luther, en Gra
113 nationale ce que celle-ci fit jadis à ces propres nationalités . Mais ils se trompent doublement : sur le sens du fédéralisme et sur
50 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
114 t dans son article 2 « le droit à l’autonomie des nationalités et des régions qui composent la nation espagnole », mais déclare à l’
51 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. Annexes
115 t dans son article 2 « le droit à l’autonomie des nationalités et des régions qui composent la nation espagnole », mais déclare à l’
52 1981, Articles divers (1978-1981). Guy de Pourtalès l’Européen [préface] (1981)
116 encore. En 1915, Guy, qui a réintégré dès 1912 la nationalité française en vertu des lois sur les réfugiés pour cause de religion,
117 aris, où il commence à publier. Ayant recouvré la nationalité française deux ans plus tôt, il est mobilisé en 1914, et nommé offici
53 1982, Articles divers (1982-1985). L’Europe une et diverse : la contribution des cultures nationales [commentaires] (1982)
118 e on l’a rappelé ce matin, qu’il réunissait douze nationalités . Qu’aurait-il fallu choisir comme culture nationale à imposer à toute
54 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : conclusions (1984)
119 artiens à la Confédération suisse qui me donne ma nationalité , mon passeport. Comme écrivain, mon allégeance va à l’ensemble de la
55 1984, Cadmos, articles (1978–1986). L’État-nation contre l’Europe : Notes pour une histoire des concepts (printemps 1984)
120 turgie, ainsi que la langue des relations entre «  nationalités  » différentes — la langue européenne, en quelque sorte — mais elle se
121 l’Hexagone. « Ces Français n’ont aucun sens de la nationalité  ! », écrit-il, de l’École de Brienne, au grand chef corse Paoli73. Qu
56 1984, Articles divers (1982-1985). Le Patrimoine européen [conclusion] (1984)
122  : Grâce aux divisions morbides que la folie des nationalités a mises et met encore entre les peuples de l’Europe, grâce aux politi
57 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
123 s’est dissout puisque nous étions de différentes nationalités . Je fus tout de suite mobilisé en Suisse où j’étais lieutenant dans l
58 1988, Inédits (extraits de cours). État-nation
124 t cela a dominé, au xxe siècle, la politique des nationalités qui a présidé aux « traités de banlieue » qui ont partagé les États s
125 ’est un dogme et que c’est sacré (le principe des nationalités aboutissant à un système d’enclaves, genre Dantzig et beaucoup d’autr
126 ncore par l’Autriche-Hongrie, qui réunissait onze nationalités différentes. Cette désintégration s’est opérée en 1919 et 1920, lors
59 1994, Articles divers (1982-1985). URSS (1994)
127 nstitué par le Soviet de l’Union et le Soviet des nationalités (sur le modèle du Congrès et du Sénat aux USA, ou du Conseil national
128 chambres : le Soviet de l’Union et le Soviet des nationalités . Ce qui correspond exactement au système bicaméral des États-Unis et
129 e et de l’enfant droits égaux sans distinction de nationalité et de race ; — liberté de conscience, c’est-à-dire « Église séparée d