1 cette main cruelle… et quitta le bal au matin. Il neigeait dans les rues sourdes comme un songe de son enfance. Aux fenêtres du

2 s senti l’Europe. Hier, j’étais dans ce train. Il neigeait , on ne voyait guère que quelques pans de rochers sombres dans les déc

3 inçant la joue, et la vendeuse nous planta là. Il neigeait sur la Cinquième Avenue, sur les paquets enrubannés, sur les fourrure

4 nçant la joue, et la vendeuse nous planta là. Il neigeait sur la Cinquième Avenue, sur les paquets enrubannés, sur les fourrure

5 chose, qui ne vient pas. 31 octobre 1939 Il neigeait ce matin de gros flocons humides sur ce petit vallon du haut Jura où

6 s senti l’Europe. Hier, j’étais dans ce train. Il neigeait , on ne voyait guère que quelques pans de rochers sombres dans les déc

7 inçant la joue, et la vendeuse nous planta là. Il neigeait sur la Cinquième Avenue, sur les paquets enrubannés, sur les fourrure

8 chose, qui ne vient pas. 31 octobre 1939 Il neigeait ce matin de gros flocons humides sur ce petit vallon du haut Jura où

9 s senti l’Europe. Hier, j’étais dans ce train. Il neigeait , on ne voyait guère que quelques pans de rochers sombres dans les déc

10 inçant la joue, et la vendeuse nous planta là. Il neigeait sur la Cinquième Avenue, sur les paquets enrubannés, sur les fourrure