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ent encore les ailes intactes ; l’évocation toute
nervalienne
en sa nostalgie, de la jeune étrangère dont on rêve à 15 ans ; et voi
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ars 1928)m À Pierre Jeanneret et à son étoile
nervalienne
. Je vins à Vienne pour fuir l’Amérique. Mais les Viennois avaient fu
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avec Gérard À Pierre Jeanneret et à son étoile
nervalienne
. Je vins à Vienne pour fuir l’Amérique. Mais les Viennois avaient fu