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n côté, et de l’autre côté ceux qu’on appelle les
neutralistes
, c’est-à-dire ceux qui refusent absolument d’appuyer l’Amérique en ca
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les Européens qui se proclament (curieusement) «
neutralistes
». En voici un : « Dès le début, nous avons ici dénoncé… les dangers
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les Européens qui se proclament (curieusement) «
neutralistes
». En voici un : « Dès le début, nous avons ici dénoncé… les dangers
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ires de gauche et de droite, des communistes, des
neutralistes
, et des nationalistes de tous les pays. L’internationale de l’anti-Eu
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tinent. La compagnie paraît assez mêlée. Mais les
neutralistes
, qui dénonçaient à grands cris la disproportion des forces au sein de
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s. Il y a là, pour parler comme certains journaux
neutralistes
, « une proposition constructive et que l’on ne saurait écarter sans u
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pour y noyer l’Europe des Six. Pensait-il que nos
neutralistes
et leurs alliés nationalistes en France, qui dénoncent à grands cris
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ile à établir. Mais la Russie est du nombre…) Les
neutralistes
, qui dénonçaient à grands cris la disproportion des forces au sein de
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avec celles de nos communistes occidentaux et des
neutralistes
qui les suivent ? En proposant un système de sécurité européenne, Mos
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ontempteurs de l’Occident, douteurs chroniques ou
neutralistes
de l’esprit ne peuvent rien apprendre aux hommes de l’Est : ceux-ci n
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ront sans intérêt un dialogue avec leur écho. Les
neutralistes
? Ce sont les défaitistes de l’Occident, ils n’ont rien de positif à
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derniers se composant de trois communistes, deux
neutralistes
pro-soviétiques, et cinq non-communistes plus ou moins déclarés. (Cet
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nt laisser nos libéraux jobards et nos soi-disant
neutralistes
, c’est la condition même de ce qu’ils entendent garder : le Plan supp
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-même. Et parmi les hommes que j’ai dit libéraux,
neutralistes
ou progressistes, certains le savaient très bien, puisque, en effet,
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tes à stopper brutalement ce progrès. Prenons les
neutralistes
de bonne volonté, ébranlés dans leurs préférences (inavouées mais ind
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mme le proposent en somme, au nom de la paix, les
neutralistes
. Un certain rationalisme aplati, une certaine logique prétendue carté
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isaient soit des arrière-pensées « dangereusement
neutralistes
», soit une touchante absence de réalisme. Et pourtant, l’année 1966