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our notre époque déchirée entre un thomisme et un
nihilisme
exaspérés, pour notre nouveau mal du siècle, il n’est peut-être pas d
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est surtout la description d’une angoisse que le
nihilisme
de M. Malraux veut sans issues : l’angoisse que fait naître au cœur d
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e maîtresse de cette œuvre, conduirait l’homme au
nihilisme
absolu : mais ce péril est tout imaginaire. Car seule la connaissance
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que peut envisager notre pensée. Pour échapper au
nihilisme
qui l’étreint, dès lors que « Dieu est mort » ou qu’il l’a « tué », i
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1935, Die Runde). Nietzsche tente de surmonter le
nihilisme
européen (résultant de la « mort de Dieu ») par la pensée du Retour é
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que peut envisager notre pensée. Pour échapper au
nihilisme
qui l’étreint, dès lors que « Dieu est mort » ou qu’il l’a « tué », i
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la mise au pas du pays, sa mise en marche vers le
nihilisme
— ou l’annexion. « Faire du socialisme, écrit-il, c’est faire la moit
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vitale, en même temps qu’elle se fait l’agent du
nihilisme
le plus virulent. Tous les extrêmes s’y touchent, s’y engendrent l’un
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philosophie de ce monde-là ne pouvait être que le
nihilisme
. Et tôt après, Hitler en a tiré des conséquences implacables. Que pou
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vitale, en même temps qu’elle se fait l’agent du
nihilisme
le plus virulent. Tous les extrêmes s’y touchent, s’y engendrent l’un
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philosophie de ce monde-là ne pouvait être que le
nihilisme
. Et tôt après, son peuple en a tiré des conséquences implacables. Que
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vitale, en même temps qu’elle se fait l’agent du
nihilisme
le plus virulent. Tous les extrêmes s’y touchent, s’y engendrent l’un
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philosophie de ce monde-là ne pouvait être que le
nihilisme
. Et tôt après, son peuple en a tiré des conséquences implacables. Que
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que peut envisager notre pensée. Pour échapper au
nihilisme
qui l’étreint dès lors que « Dieu est mort », ou qu’il l’a « tué », i
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: symbole de l’abstraction et de l’arbitraire. —
Nihilisme
social. — Appel des individus (désormais isolés et sans coordonnées)
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ruines, au-dessus de laquelle se meut l’esprit du
nihilisme
. Les derniers lieux communs moraux se désintègrent. Il reste assez d’
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jeunesse d’Europe, on déplore ce qu’on nomme son
nihilisme
. Si l’on veut dire par là qu’elle ne croit plus aux idéaux et aux gra
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jeunesse d’Europe, on déploie ce qu’on nomme son
nihilisme
. Si l’on veut dire par là qu’elle ne croit plus aux idéaux et aux gra
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qui les cerne sans les incorporer, exilés dans le
nihilisme
, exilés dans la transcendance. Il n’y a plus de commune mesure entre
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olitiques — mais je me ferais plutôt balayeur. Un
nihilisme
décent, c’est ce que j’espère, en général. Je pense qu’un pays bien c
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imer. Mais il n’est pas question de le suivre. Le
nihilisme
, si « décent » soit-il, est une faible défense contre les monstres de
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isme, les poussera à leurs conséquences extrêmes (
nihilisme
), ou les rendra si religieusement intransigeantes qu’elle aboutira à
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ce qu’ils avaient à enseigner. » L’éclipse du
nihilisme
et l’essor culturel (1880-1917) La fin du siècle est marquée en Ru
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Don Juan incarne donc, si l’on ose dire, l’absolu
nihilisme
moral. Il séduit par la seule énergie du désir. Je ne l’imagine pas
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Pourtant, nul n’était moins que lui tenté par le
nihilisme
ou simplement par la révolte. Car il croyait que notre incohérence av
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Don Juan incarne donc, si l’on ose dire, l’absolu
nihilisme
moral. Il séduit par la seule énergie du désir. « Je ne l’imagine pas
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poir vers une confiance ressuscitée, à travers le
nihilisme
vers une conscience de soi fondée ; il vit dans l’angoisse qui est l’
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, des armements ou de la drogue. Autour d’eux, le
nihilisme
étend ses terrains vagues, ses décharges fumantes, dans la cité démes
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que l’alibi de nos lâchetés, et cache bien mal un
nihilisme
foncier, celui de tout pouvoir qui se prend pour sa fin. De cette com
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ruines, au-dessus de laquelle se meut l’esprit du
nihilisme
. Les derniers lieux communs moraux se désintègrent. Il reste assez d’
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cri, mais un cri qui se perd dans le vide, car le
nihilisme
ne peut rien fonder. L’on a assisté récemment, en Allemagne, à une ca
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i est vouloir du non, vouloir du rien. Tel est le
nihilisme
de l’État-nation. Ce qui est tout simplement absurde, dans les discou