1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Éluard, Capitale de la douleur (mai 1927)
1 us séduisant, le plus dangereusement gracieux des noctambules . Rêves éveillés, entre deux gorgées d’un élixir dont il voudrait bien
2 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
2 a Revue de Belles-Lettres …………18 La plupart des noctambules préfèrent d’aller à pied ; mais moi je me méfie ; se promener seul la
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
3 les mêmes boîtes sous les arcades. La plupart des noctambules préfèrent aller à pied ; mais moi je me méfie ; se promener seul la n