1 ul Éluard, Capitale de la douleur (mai 1927)aj Nocturnes aux caresses coupantes comme certaines herbes. Capitale de la douleur

2 is des chevauchées sous le soleil, des campements nocturnes où le souvenir des pays désertés enfièvre encore un désir de perditio

3 e vers ce visage très blanc où les yeux d’un bleu nocturne se refusent… Quelle tendresse, auprès de cet être secret, inaccessibl

4 is des chevauchées sous le soleil, des campements nocturnes où le souvenir des pays désertés enfièvre encore un désir de perditio

5 es au désir de celui qui marche dans une campagne nocturne . Mais plus douce que toutes choses est la rencontre sous un arbre noi

6 îcheur sobre. L’on s’éveille enfin du long voyage nocturne , les yeux cessent de cligner, le corps se détend. Là devant, un chauf

7 e vers ce visage très blanc où les yeux d’un bleu nocturne se refusent… Quelle tendresse, auprès de cet être secret, inaccessibl

8 is des chevauchées sous le soleil, des campements nocturnes où le souvenir des pays désertés enfièvre encore un désir de perditio

9 îcheur sobre. L’on s’éveille enfin du long voyage nocturne , les yeux cessent de cligner, le corps se détend. Là devant, un chauf

10 es au désir de celui qui marche dans une campagne nocturne . Mais plus douce que toutes choses est la rencontre sous un arbre noi

11 s grand lorsque, après avoir décrit l’enterrement nocturne et secret d’une de ses coreligionnaires, il conclut par ces mots : N

12 oisse qui tourmente cet homme depuis sa rencontre nocturne , devienne aussi la nôtre, et nous ferme la bouche ! » J’avais parlé l

13 ine, au plus profond d’une contemplation des eaux nocturnes . Ma police personnelle m’envoie aussi me coucher. Elle m’y contraint

14 sée lointaine qui anime un rêve, dans une chambre nocturne . C’est un homme qui rencontre un autre homme dans sa situation concrè

15 ine, au plus profond d’une contemplation des eaux nocturnes . Ma police personnelle m’envoie aussi me coucher. Elle m’y contraint

16 sée lointaine qui anime un rêve, dans une chambre nocturne . C’est un homme qui rencontre un autre homme dans sa situation concrè

17 ptique se rejette avec passion vers les « aspects nocturnes  » de sa nature. Ainsi naquit le romantisme allemand après le siècle d

18 vant, à Venise, j’écoutais Honegger dirigeant son Nocturne dans le théâtre goldonien de la Fenice et je me disais une fois de pl

19 x regards du général romain perdu dans sa rêverie nocturne  : « Sais-tu que je suis fée ? », dit-elle. Éros a revêtu les apparenc

20 tion vers la Lumière prend pour symbole l’attrait nocturne des sexes. Le grand Jour incréé, aux yeux de la chair, n’est que la N

21 Dante aurait pris pour modèle le Livre du Voyage nocturne du mystique Ibn el Arabi, écrit quatre-vingts ans auparavant : ce tra

22 ronde. Dans son Penseroso, éloge de la Mélancolie nocturne , s’adressant à cette « Vierge sérieuse » il la prie d’évoquer encore

23 tre vie de créatures finies. Il y manque l’aspect nocturne , l’épanouissement mystique dans la vie infinie de la Nuit. Il y manqu

24 poètes ne sont plus les seuls à tenter l’au-delà nocturne  : un philosophe comme Schubert spécule sur le Nachtseite de l’existen

25 e sur leurs cœurs. Les initiés pénètrent au monde nocturne de l’extase libératrice. Et le jour qui revient avec le cortège royal

26 ossible — que son éloquent abandon aux puissances nocturnes du mythe n’ait été un dernier moyen de le déprimer par un excès voulu

27 ce n’est pas le moment de les oublier ! — la vie nocturne de l’étudiant, des lectures qui ne servent à rien, des promenades qui

28 x regards du général romain perdu dans sa rêverie nocturne  : « Sais-tu que je suis fée ? », dit-elle. Éros a revêtu les apparenc

29 tion vers la lumière prend pour symbole l’attrait nocturne des sexes. Le grand Jour incréé, aux yeux de la chair, n’est que la N

30 ronde. Dans son Penseroso, éloge de la Mélancolie nocturne , s’adressant à cette « Vierge sérieuse », il la prie d’évoquer encore

31 tre vie de créatures finies. Il y manque l’aspect nocturne , l’épanouissement mystique dans la vie infinie de la Nuit. Il y manqu

32 poètes ne sont plus les seuls à tenter l’au-delà nocturne  : un philosophe comme Schubert spécule sur le Nachtseite de l’existen

33 e sur leurs cœurs. Les initiés pénètrent au monde nocturne de l’extase libératrice. Et le jour qui revient avec le cortège royal

34 ossible — que son éloquent abandon aux puissances nocturnes du mythe n’ait été un dernier moyen de le déprimer par un excès voulu

35 x regards du général romain perdu dans sa rêverie nocturne  : « Sais-tu que je suis fée ? », dit-elle. Éros a revêtu les apparenc

36 tion vers la lumière prend pour symbole l’attrait nocturne des sexes. Le grand Jour incréé, aux yeux de la chair, n’est que la N

37 ronde. Dans son Penseroso, éloge de la Mélancolie nocturne , s’adressant à cette « Vierge sérieuse », il la prie d’évoquer encore

38 tre vie de créatures finies. Il y manque l’aspect nocturne , l’épanouissement mystique dans la vie infinie de la Nuit. Il y manqu

39 poètes ne sont plus les seuls à tenter l’au-delà nocturne  : un philosophe comme G. von Schubert spécule sur le « côté nocturne 

40 sophe comme G. von Schubert spécule sur le « côté nocturne  » (Nachtseite) de l’existence. Fichte lui-même donne la définition de

41 e sur leurs cœurs. Les initiés pénètrent au monde nocturne de l’extase libératrice. Et le jour qui revient avec le cortège royal

42 ossible — que son éloquent abandon aux puissances nocturnes du mythe n’ait été un dernier moyen de le déprimer par un excès voulu

43 ptique se rejette avec passion vers les « aspects nocturnes  » de sa nature. Ainsi naquit le romantisme allemand après le siècle d

44 îcheur sobre. L’on s’éveille enfin du long voyage nocturne , les yeux cessent de cligner, le corps se détend. Là devant, un chauf

45 e vers ce visage très blanc où les yeux d’un bleu nocturne se refusent… Quelle tendresse, auprès de cet être secret, inaccessibl

46 is des chevauchées sous le soleil, des campements nocturnes où le souvenir des pays désertés enfièvre encore un désir de perditio

47 es au désir de celui qui marche dans une campagne nocturne . Mais plus douce que toutes choses est la rencontre sous un arbre noi

48 de L’Ordre nouveau y tient souvent des séances nocturnes , présidées par Arnaud Dandieu. Nous discutons thèses doctrinales et t

49 ine, au plus profond d’une contemplation des eaux nocturnes . Ma police personnelle m’envoie aussi me coucher. Elle m’y contraint

50 sée lointaine qui anime un rêve, dans une chambre nocturne . C’est un homme qui rencontre un autre homme dans sa situation concrè

51 Au théâtre doré de la Fenice, Honegger dirige son Nocturne . Voilà l’homme avec qui et pour qui je voudrais faire un opéra, un je

52 dans une très grande ville ou un désert. Travail nocturne . Je dors un peu le matin ou l’après-midi. La femme de ménage n’est pl

53 s, des abîmes, entre la création dans une chambre nocturne , et les institutions dont nous allons parler ! « Qu’est-ce que cela p

54 t, François Mauriac. Ses interminables promenades nocturnes avec Fargue et Ravel sont maintes fois décrites dans ses notes. Léon-

55 e la plupart auraient flanché pendant cette étape nocturne . De fait, nous approchions du village de la Lenk, signalé par quelque

56 s transition, mais non sans art : après une scène nocturne d’un comique insidieux et digne du modèle, où l’on voit Proust lunair

57 t préférer aux réceptions ou à l’opéra le travail nocturne des commissions. C’est elle qu’il s’agirait de rendre sensible si l’o

58 tôt, à Venise, j’écoutais Honegger dirigeant son Nocturne au théâtre de la Fenice. J’éprouvais une fois de plus que sa musique

59 venais d’entendre, à Venise, Honegger diriger son Nocturne et je m’étais dit : Voilà celui pour qui je voudrais écrire quelque c

60 tières nationales mais au contraire les marathons nocturnes de Bruxelles sur la surproduction des vins méditerranéens ou le prix

61 e se peut que dans une très grande ville. Travail nocturne . Je dors un peu le matin ou l’après-midi. La femme de ménage n’est pl

62 sur leurs fantasmes, sur leurs rêves éveillés ou nocturnes . Nous sommes manipulés par les Pouvoirs. Je tiens à le dire ici : le