1 tre acquittement par contumace. Elle est le grand non-lieu de millions d’hommes — le non-lieu —, ce vrai no man’s land où l’on n

2 e est le grand non-lieu de millions d’hommes — le non-lieu —, ce vrai no man’s land où l’on n’est plus responsable de soi. La gu

3 ment, d’une utopie, d’un lieu de nulle part, d’un non-lieu ) chacun doit inventer son chemin vers le Réel, c’est-à-dire vers le B

4 ue, littéral, d’ou-topos, ou-topéia, qui signifie non-lieu , phénomène non lié à un lieu. 2. La production d’utopies est dans la

5 n-où », le non-lieu-pays, c’est-à-dire le pays du non-lieu , le « huitième climat » ou « l’Orient de l’âme ». Ou encore : le mond

6 de « clins d’œil hors du où »45. Ce lieu qui est non-lieu physique (ou-topos), mais lieu réel de l’aventure spirituelle, on ne

7 l’espace de la Terre une cité idéale inspirée du non-lieu transcendant de la Nouvelle Jérusalem, anticipant ainsi sur ce qui do

8 en siècle la sécularisation, la profanisation du non-lieu transcendant et de la cité spirituelle, son transfert de plus en plus

9 at-nation, à l’utopie parfaite, l’« u-topos », le non-lieu , le lieu de nulle part, le lieu quelconque sur lequel on pose une str