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pressent et s’y bousculent ; de temps à autre une
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d’artiste ou de psychologue se glisse dans leur flot. Voilà le lecteu
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ision, modération dans le jugement, humour léger,
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suggestive, telles sont les vertus de sa critique. Ce n’est que dans
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soir un nouveau ciel. Il l’a transcrite en brèves
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lyriques suivant le rythme d’un songe, sans cesse brisé par les élans
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oriental que de Traz, et c’est ce qui donne à ses
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tout leur prix. Elles ne nous renseignent pas sur une partie oriental
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e risqueraient de lasser, par une multiplicité de
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touchant à la monotonie. Au reste, à mesure qu’on avance, l’on compre
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l des années 1846 à 1848, on trouve de nombreuses
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de ce genre : « Grande sera ma responsabilité si je rejette une missi
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rix que les poèmes des troubadours comportent des
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« réalistes » et des descriptions précises de la Dame aimée, alors qu
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rix que les poèmes des troubadours comportent des
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« réalistes » et des descriptions précises de la Dame aimée, alors qu
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rix que les poèmes des troubadours comportent des
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« réalistes » et des descriptions précises de la Dame aimée, alors qu
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; il ne reste pour le journal que les plus sèches
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(Byron, Stendhal). D’autres fois, l’œuvre et le journal sont simpleme
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ournal des années 1846 à 1848, on trouve quelques
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de ce genre : « Grande sera ma responsabilité si je rejette une missi
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: il ne reste pour le journal que les plus sèches
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(Byron, Stendhal). D’autres fois, l’œuvre et le journal sont simpleme
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liographie rameutée à l’appui de mes dires, cette
notation
plaisante dans un roman moderne, dont l’auteur se trouve être un brah
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liographie rameutée à l’appui de mes dires, cette
notation
plaisante dans un roman moderne, dont l’auteur se trouve être un brah