1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
1 t les arêtes de la construction apparaissent trop nues . Chef-d’œuvre ou pas chef-d’œuvre d’ailleurs, il reste que le Tarrama
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 ’âge de la pierre, à la condition d’homme la plus nue  ; la plus éloignée de celle qui permet le surréalisme. 10. Une équip
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
3 sidéraient avec une pitié curieuse : je me sentis nu , tout le monde devait voir en moi une tare que j’étais seul à ignorer
4 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
4 ueurs, vers la mer. Sur le Lungarno trop vaste et nu , les voitures revenaient au pas des Cascine. Vers sept heures, il n’y
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
5 e ! En ma tête rôde ton souvenir, comme une femme nue dans une chambre étroite… J’ai dormi quelques heures, d’un sommeil tr
6 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
6 ures mortes, de petits paysages, il dessinait des nus aux crayons de fard. C’était un peu plus Blanchet que Barraud, plus P
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
7 ils trouvent ça pittoresque. Et le plaisir d’être nu devant un public supposé dévot, et qui n’ose en croire sa pudeur, et
8 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
8 ombe en hautes falaises dans le Danube, froide et nue , mais dans son flanc une grotte s’illumine, et la Vierge y sourit. Le
9 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
9 arrefour des cris perdus j’écoute encore une voix nue qui vient de dire ton nom même avec l’accent de notre amour et mon vi
10 ce sereine tu es toujours plus sereine infiniment nue dans la douceur du feu et de la joie. V Oh qui a retiré tes mains
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
11 ble des constructions. C’est là qu’on entre. Murs nus . Un catafalque de bois, au milieu, recouvert d’un très beau tapis min
12 en Hongrie, le nationalisme est une passion toute nue , qui exprime l’être profond de la race. On ne discute pas cet amour,
11 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
13 e père, qui est devenu moine, et qui marche pieds nus , à l’étranger lui aussi ; puis il y a eu votre pauvre tante Cornélia…
12 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
14 ceux qui savent dévisager notre condition la plus nue . « Alors on voit paraître le grand, c’est-à-dire on voit paraître l’h
15 c’est-à-dire dans l’élémentaire : un être qui est nu , qui a froid, qui a faim, qui a été jeté au sein d’une nature hostile
13 1932, Articles divers (1932-1935). « Mouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi » (16 avril 1932)
16 « Mouvement », « La morte ou la nue  », « Ainsi » (16 avril 1932)a Mouvement Ô ciel c’est par ici
17 re un mot de ne plus rien. La morte ou la nue Quand tes yeux se confondent et que tes bras autour de moi au
18 bien-aimé… a. « Mouvement », « La morte ou la nue  », « Ainsi », Le Journal des poètes, Bruxelles, n° 19, 16 avril 1932,
14 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
19 qui haïssent la religion parce qu’elle les met à nu , prend en pitié leur sale caractère : tous ceux qui poursuivent l’hum
15 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
20 que tout cède aux regards de l’ivresse. Un coude nu s’appuie à mon épaule, je brise des pailles sur une perle verte, l’or
21 rer ? Ce corps de femme défend encore sa nuit, si nu pourtant dans la soie et le velours, dans la lumière froide et la fat
16 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
22 ble des constructions. C’est là qu’on entre. Murs nus . Un catafalque de bois, au milieu, recouvert d’un très beau tapis min
23 en Hongrie, le nationalisme est une passion toute nue , qui exprime l’être profond de la race. On ne discute pas cet amour,
17 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
24 s me promener à la lisière des forêts, les jambes nues sous la pluie. L’herbe était pleine de sales limaces et de petits esc
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
25 que tout cède aux regards de l’ivresse. Un coude nu s’appuie à mon épaule, je brise des pailles sur une perle verte, l’or
26 rer ? Ce corps de femme défend encore sa nuit, si nu pourtant dans la soie et le velours, dans la lumière froide et la fat
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
27 le des constructions. C’est là qu’on entre. Murs nus . Un catafalque de bois, au milieu, recouvert d’un très beau tapis min
28 en Hongrie, le nationalisme est une passion toute nue , qui exprime l’être profond de la race. On ne discute pas cet amour,
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
29 çales. La brique est chaude encore sous mes pieds nus . À ma hauteur, et un peu plus bas, et puis beaucoup plus bas dans les
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
30 l bas, des éclairs de chaleur palpitaient dans la nue , et le jeune homme savait en repartant sur les sentiers obscurs, vers
22 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
31 tout ce qui les désarme devant Dieu et les jette nus dans la foi. 2. Un homme qui est dans la foi sait bien qu’il n’y a pa
23 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
32 volution le bouleversaient brutalement, mettant à nu les vraies raisons, les vrais problèmes. « Pasteur, je devais parler
24 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
33 , des phrénologues, des herboristes, un lord tout nu , les enfants terribles de Monsieur Crépin, et la silhouette élégante
25 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
34 lait au-devant de ces voix, sans armes, les mains nues , au risque de sa vie, peut-être alors le secret du grand Pan s’ouvrir
26 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
35 de l’argent, vous louerez un de ces studios bien nus , où la vie prend un visage tellement abstrait qu’on n’arrive plus mêm
27 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
36 entalité du citoyen moyen. Le fascisme a montré à nu ces prétentions, mais les États bourgeois n’ont plus guère à lui envi
28 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
37 ationales », par exemple2. Le fascisme a montré à nu ces prétentions, mais les états bourgeois n’ont plus guère à lui envi
29 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
38 le spectacle d’un si prodigieux peuple proscrit, nu , fugitif, errant sans crime… enfin qui, pour comble de toutes horreur
30 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
39 ces aides tendent à supprimer ce contact le plus nu et cette condition la plus humaine : ce contact avec la matière résis
31 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
40 rieur. 23 septembre 1934 Maintenant les murs sont nus  : d’un joli vert bleu très clair. Le carreau rouge a été débarrassé d
32 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
41 je revoyais cette centaine d’hommes dans la salle nue . Leur méfiance ou leur timidité, ou aussi leur fatigue après une long
33 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
42 cette arrivée au soleil dans une liberté naïve et nue , pauvre et joyeuse. Mais je vois bien qu’il me faut expliquer pourquo
43 midi. Armés de treilles à long manche, les jambes nues , nous courons sur les roches tapissées d’algues sombres dont le crépi
34 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
44 cette arrivée au soleil dans une liberté naïve et nue , pauvre et joyeuse… Mais je vois bien qu’il me faut expliquer pourquo
35 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
45 je revoyais cette centaine d’hommes dans la salle nue . Leur méfiance ou leur timidité, ou aussi leur fatigue après une long
46 eux ! Armés de treilles à long manche, les jambes nues , nous courons sur les roches tapissées d’algues sombres dont le crépi
47 ble en sapin, dans une vaste pièce vide, aux murs nus et aux fenêtres ouvertes, où passent le vent, une hirondelle, les bru
36 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
48 23 septembre 1934 Maintenant les murs sont nus  : d’un joli vert bleu très clair. Le carreau rouge a été débarrassé d
37 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
49 les trottoirs immenses, des enfants jouent pieds nus , heureux. Les arbres du boulevard sont encore verts, ici ; il y a de
38 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
50 cimetière danois, on peut lire cette inscription nue  : « Le Solitaire ». Le rire et la passion sévère, le ricanement puiss
39 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
51 araître sur le seuil un petit homme en brun, tête nue , au sourire extatique. Quarante mille hommes, quarante mille bras se
40 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
52 e de la passion dépose entre leurs corps une épée nue . Descendons quelques siècles et toute l’échelle qui va de l’héroïsme
41 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
53 s du haut en bas. Seul le palais Rothschild reste nu , scandaleusement nu, au fond de sa pelouse soignée. Au coin de la pla
54 ul le palais Rothschild reste nu, scandaleusement nu , au fond de sa pelouse soignée. Au coin de la place de l’Opéra, une d
55 araître sur le seuil un petit homme en brun, tête nue , au sourire extatique. Quarante mille hommes, quarante mille bras se
42 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
56 sychologies. C’est enfin qu’il permet de mettre à nu certain dilemme dont notre vie hâtive, notre culture et le ronron de
57 e que Tristan a déposé entre leurs corps son épée nue . Ému par ce qu’il prend pour un signe de chasteté, le roi les épargne
58 l n’y a pas d’obstacle, ils en inventent : l’épée nue , le mariage de Tristan. Ils en inventent comme à plaisir, — bien qu’i
59 ’est même l’inverse qui se produit alors : l’épée nue déposée par Tristan entre leurs corps demeurés vêtus, c’est encore oc
60 qui est le but de la passion, la tue. Mais l’épée nue n’est pas encore l’expression décisive du désir sombre, de la fin mêm
61 chevalier marié répond à la déposition de l’épée nue entre les corps. Mais une chasteté volontaire, c’est un suicide symbo
62 rahir » par des symboles tels que celui de l’épée nue ou de la périlleuse chasteté. Sans le savoir, les amants malgré eux n
43 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
63 lle est, bien au contraire, une sorte d’intensité nue et dénuante, oui vraiment, un amer dénuement, un appauvrissement de l
64 pouilla de tous ses vêtements et se dressant tout nu devant son père richement habillé, déclara que désormais Dieu seul se
44 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
65 ombre. Entre le corps des deux amants plus d’épée nue , mais la houlette dorée de Céladon ornée d’une faveur de la bergère.
45 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
66 e de la passion dépose entre leurs corps une épée nue . Descendons quelques siècles et toute l’échelle qui va de l’héroïsme
46 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
67 . (Ad libitum.) 3. Marchons sans fin Pauvres et nus Jusqu’à la mort qui vient Pauvres et nus Au jour venu Jésus connaîtra
68 uvres et nus Jusqu’à la mort qui vient Pauvres et nus Au jour venu Jésus connaîtra les siens. Une des ombres. —  Hé ! Q
69 milliers en grand arroi. Signe du ciel ! Une épée nue brandie par une main coupée ! À l’Orient, j’entends mugir un cor lugu
47 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
70 sychologies. C’est enfin qu’il permet de mettre à nu certain dilemme dont notre vie hâtive, notre culture et le ronron de
71 e que Tristan a déposé entre leurs corps son épée nue . Ému par ce qu’il prend pour un signe de chasteté, le roi les épargne
72 l n’y a pas d’obstacle, ils en inventent : l’épée nue , le mariage de Tristan. Ils en inventent comme à plaisir, — bien qu’i
73 ’est même l’inverse qui se produit alors : l’épée nue déposée par Tristan entre leurs corps demeurés vêtus, c’est encore oc
74 qui est le but de la passion, la tue. Mais l’épée nue n’est pas encore l’expression décisive du désir sombre, de la fin mêm
75 chevalier marié répond à la déposition de l’épée nue entre les corps. Mais une chasteté volontaire, c’est un suicide symbo
76 rahir » par des symboles tels que celui de l’épée nue ou de la périlleuse chasteté. Sans le savoir, les amants malgré eux n
48 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
77 catharisme. L’épreuve consistait à saisir à main nue une barre de fer portée au rouge : seuls les menteurs ou les parjures
49 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
78 lle est, bien au contraire, une sorte d’intensité nue et dénuante, oui vraiment, un amer dénuement, un appauvrissement de l
79 pouilla de tous ses vêtements et se dressant tout nu devant son père richement habillé, déclara que désormais Dieu seul se
50 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
80 ombre. Entre le corps des deux amants plus d’épée nue , mais la houlette dorée de Céladon ornée d’une faveur de la bergère.
51 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
81 e de la passion dépose entre leurs corps une épée nue . Descendons quelques siècles et toute l’échelle qui va de l’héroïsme
52 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
82 sychologies. C’est enfin qu’il permet de mettre à nu certain dilemme dont notre vie hâtive, notre culture et le ronron de
83 e que Tristan a déposé entre leurs corps son épée nue . Ému par ce qu’il prend pour un signe de chasteté, le roi les épargne
84 l n’y a pas d’obstacle, ils en inventent : l’épée nue , le mariage de Tristan. Ils en inventent comme à plaisir, — bien qu’i
85 ’est même l’inverse qui se produit alors : l’épée nue déposée par Tristan entre leurs corps demeurés vêtus, c’est encore oc
86 qui est le but de la passion, la tue. Mais l’épée nue n’est pas encore l’expression décisive du désir sombre, de la fin mêm
87 chevalier marié répond à la déposition de l’épée nue entre les corps. Mais une chasteté volontaire, c’est un suicide symbo
88 rahir » par des symboles tels que celui de l’épée nue ou de la périlleuse chasteté. Sans le savoir, les amants malgré eux n
53 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
89 catharisme. L’épreuve consistait à saisir à main nue une barre de fer portée au rouge : seuls les menteurs ou les parjures
54 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
90 lle est, bien au contraire, une sorte d’intensité nue et dénuante, oui vraiment, un amer dénuement, un appauvrissement de l
91 pouilla de tous ses vêtements et se dressant tout nu devant son père richement habillé, déclara que désormais Dieu seul se
55 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
92 ombre. Entre le corps des deux amants plus d’épée nue , mais la houlette dorée de Céladon ornée d’une faveur de la bergère.
56 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
93 e de la passion dépose entre leurs corps une épée nue . Descendons quelques siècles et toute l’échelle qui va de l’héroïsme
57 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
94 éfaut de sagesse générale qui se trouve ici mis à nu . Un autre fait, dans ce même ordre. Le but des inventions techniques
58 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
95 éfaut de sagesse générale qui se trouve ici mis à nu . Un autre fait encore dans ce même ordre. Le but des inventions techn
59 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
96 Les toits d’ardoises ne dépassent pas les façades nues , brunies par l’âge, palmées par les vents. Rares sont les boutiques,
60 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
97 usque, ou c’est le désir qui l’aveugle ? Elle est nue , ses jambes ont fui. — Toi qui connais le maître du palais, dis-moi s
98 es, et les herbes sauvages fouettaient les jambes nues . Au fond du parc, près de la porte démolie, là où les murs ne cachent
99 ns dévastés, il est vêtu des voiles, elle tremble nue . — Où se cacher encore ? dit-elle. — Dans tes voiles. — Tu les as pri
61 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
100 ans le jardin, et j’ai eu peur, parce que je suis nu , et je me suis caché. Et l’Éternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu e
101 Et l’Éternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu es nu  ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger
102 Dieu nous y oublie, soit que l’on monte dans les nues ou qu’à l’inverse on se renfonce dans la stupidité bestiale. Qu’il ai
62 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
103 ans le jardin, et j’ai eu peur, parce que je suis nu , et je me suis caché. Et l’Éternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu e
104 Et l’Éternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu es nu  ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger
105 Dieu nous y oublie, soit que l’on monte dans les nues ou qu’à l’inverse on se renfonce dans la stupidité bestiale. Qu’il ai
63 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
106 ans le jardin, et j’ai eu peur, parce que je suis nu , et je me suis caché. Et l’Éternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu e
107 Et l’Éternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu es nu  ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger
108 Dieu nous y oublie, soit que l’on monte dans les nues ou qu’à l’inverse on se renfonce dans la stupidité bestiale. Qu’il ai
64 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
109 Les toits d’ardoises ne dépassent pas les façades nues , brunies par l’âge, patinées par les vents. Rares sont les boutiques,
65 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
110 ans le jardin, et j’ai eu peur, parce que je suis nu , et je me suis caché. Et l’Éternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu e
111 Et l’Éternel Dieu dit : Qui t’a appris que tu es nu  ? Est-ce que tu as mangé de l’arbre dont je t’avais défendu de manger
66 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
112 imetière danois, l’on peut lire cette inscription nue  : « Le solitaire ». Le rire et la passion sévère, le ricanement puiss
67 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
113 ceux qui savent dévisager notre condition la plus nue . « Alors on voit paraître le grand, c’est-à-dire on voit paraître l’h
114 c’est-à-dire dans l’élémentaire : un être qui est nu , qui a froid, qui a faim, qui a été jeté au sein d’une nature hostile
115 ces aides tendent à supprimer ce contact le plus nu et cette condition la plus humaine : le contact avec la matière résis
68 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
116 qu’au trentième étage qui se couvrent d’un peuple nu , quêtant un souffle de la mer, un courant d’air de l’East River, quel
69 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
117 monde est beau, jamais on ne voit percer la trame nue du réel. Jamais un choc, pour tant de coups de poing, de coups de feu
70 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Deux presses, deux méthodes : l’Américain expose, le Français explique (4 avril 1946)
118 ut, leur arme favorite, reste l’information toute nue , ou presque. Sur trente-deux pages de leur édition quotidienne, le Ti
71 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
119 son destin et de sa liberté, s’il voyait à l’œil nu , leur sens dernier et l’enjeu véritable de ses choix, à qui reviendra
120 es, le corps en paix, mais le visage affreusement nu . Il désirait un palais vide à la mesure de sa tristesse. Il devint do
72 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
121 aïques et les Églises ; qu’il a brusquement mis à nu l’état minoritaire des chrétiens ; qu’il les a attaqués de front au n
73 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
122 çales. La brique est chaude encore sous mes pieds nus . À ma hauteur, et un peu plus bas, et puis beaucoup plus bas, dans le
74 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
123 arrête ici, et s’ouvrent les espaces de pâturages nus , en pente douce. Très loin, en silhouette sur la crête d’une colline,
124 et belle, qui mord une pomme, et son torse paraît nu dans un fin sweater jaune. Elle rit, jette la pomme, et nous salue de
75 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
125 imitive ne subsiste, plus un seul coin de terre à nu , et plus une ligne indécise, ni d’eau qui court, ni de feuillages. To
126 Le sol des plaines environnantes paraît encore à nu dans les cours des hôtels, entre les pavés provinciaux, aux esplanade
127 çales. La brique est chaude encore sous mes pieds nus . À ma hauteur, et un peu plus bas, et puis beaucoup plus bas, dans le
128 re de microscopique — permettant l’examen à l’œil nu . Décrivons sa partie, inférieure. La rue huileuse, parsemée de vieill
129 ’arrête ici et s’ouvrent les espaces de pâturages nus , en pente douce. Très loin, en silhouette sur la crête d’une colline,
130 et belle, qui mord une pomme, et son torse paraît nu dans un fin sweater jaune. Elle rit, jette la pomme et nous salue de
76 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
131 Les toits d’ardoise ne dépassent pas les façades nues , brunies par l’âge, patinées par les vents. Rares sont les boutiques,
77 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
132 sez qu’un dictateur devienne fou et descende tout nu dans la rue. Combien de temps faudra-t-il pour que son entourage adme
133 épose mon pistolet sur le bureau. Je me sens tout nu . Faute de soldats baïonnette au canon — on n’en trouve point —, c’est
78 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
134 d’examen », où l’on se présente généralement tout nu et sans préparation. Reçu de justesse. Passez à l’épreuve suivante. D
79 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
135 imitive ne subsiste, plus un seul coin de terre à nu , et plus une ligne indécise, ni d’eau qui court, ni de feuillage. Tou
136 Le sol des plaines environnantes paraît encore à nu dans les cours des hôtels, entre les pavés provinciaux, aux esplanade
80 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
137 fait claquer les pans du peignoir sur mes jambes nues , m’embrasse tout entier, m’apaise. Je me sens absolument libre, détac
138 actée entre les branches véhémentes et les troncs nus des grands eucalyptus. Grappes d’étoiles blanches dans les plumets dé
139 ues. Paysage de brumes dorées au ras des prairies nues et des eaux populeuses, où semblent se mêler encore plusieurs jours d
81 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
140 vieux prêtre anglican, dans une crypte de pierre nue . Exorciser en moi la part du diable, celle qu’il a sans doute prise à
141 qu’au trentième étage qui se couvrent d’un peuple nu , quêtant un souffle de la mer, un courant d’air de l’East River, quel
82 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
142 çales. La brique est chaude encore sous mes pieds nus . À ma hauteur, et un peu plus bas, et puis beaucoup plus bas, dans le
83 1946, Journal des deux mondes. Virginie
143 alaches, et le ciel s’alléger sur des terres plus nues , j’ai senti que nous passions un seuil, comme on le sent un peu après
144 arrête ici, et s’ouvrent les espaces de pâturages nus , en pente douce. Très loin, en silhouette sur la crête d’une colline,
145 et belle, qui mord une pomme, et son torse paraît nu dans un fin sweater jaune. Elle rit, jette la pomme, et nous salue de
84 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
146 re de microscopique — permettant l’examen à l’œil nu . Décrivons sa partie inférieure. La rue huileuse, parsemée de vieille
85 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
147 lait-il à deux rênes par une superbe blonde quasi nue et dressée sur ses skis dans l’écume, un canot moteur fendait l’onde
86 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tout est changé, personne ne bouge
148 de rebâtir des maisons et de vêtir ceux qui sont nus  ; quand je vois la guerre et que chacun s’y prépare ; quand je vois q
87 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
149 lait-il à deux rênes par une superbe blonde quasi nue et dressée sur ses skis dans l’écume, un canot moteur fendait l’onde
88 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tout est changé, personne ne bouge
150 de rebâtir des maisons et de vêtir ceux qui sont nus  ; quand je vois la guerre et que chacun s’y prépare ; quand je vois q
89 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
151 que tout cède aux regards de l’ivresse. Un coude nu s’appuie à mon épaule, je brise des pailles sur une perle verte, l’or
152 rer ? Ce corps de femme défend encore sa nuit, si nu pourtant dans la soie et le velours, dans la lumière froide et la fat
90 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
153 ble des constructions. C’est là qu’on entre. Murs nus . Un catafalque de bois, au milieu, recouvert d’un très beau tapis min
154 en Hongrie, le nationalisme est une passion toute nue , qui exprime l’être profond de la race. On ne discute pas cet amour,
91 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
155 cette arrivée au soleil dans une liberté naïve et nue , pauvre et joyeuse… Mais je sens bien qu’il me faut expliquer pourquo
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
156 je revoyais cette centaine d’hommes dans la salle nue . Leur méfiance ou leur timidité, ou aussi leur fatigue après une long
157 eux ! Armés de treilles à long manche, les jambes nues , nous courons sur les roches tapissées d’algues sombres dont le crépi
158 ble en sapin, dans une vaste pièce vide, aux murs nus et aux fenêtres ouvertes, où passent le vent, une hirondelle, les bru
93 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
159 23 septembre 1934 Maintenant les murs sont nus  : d’un joli vert bleu très clair. Le carreau rouge a été débarrassé d
94 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
160 les trottoirs immenses, des enfants jouent pieds nus , heureux. Les arbres du boulevard sont encore verts, ici : il y a de
95 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
161 s du haut en bas. Seul le palais Rothschild reste nu , scandaleusement nu, au fond de sa pelouse soignée. Au coin de la pla
162 ul le palais Rothschild reste nu, scandaleusement nu , au fond de sa pelouse soignée. Au coin de la place de l’Opéra, une d
163 araître sur le seuil un petit homme en brun, tête nue , au sourire extatique. Quarante mille hommes, quarante mille bras se
96 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
164 Les toits d’ardoise ne dépassent pas les façades nues , brunies par l’âge, patinées par les vents. Rares sont les boutiques,
165 sez qu’un dictateur devienne fou et descende tout nu dans la rue. Combien de temps faudra-t-il pour que son entourage adme
166 épose mon pistolet sur le bureau. Je me sens tout nu . Faute de soldats baïonnette au canon — on n’en trouve point —, c’est
97 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
167 d’examen », où l’on se présente généralement tout nu et sans préparation. Reçu de justesse. Passez à l’épreuve suivante. D
98 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
168 imitive ne subsiste, plus un seul coin de terre à nu , et plus une ligne indécise, ni d’eau qui court, ni de feuillage. Tou
169 Le sol des plaines environnantes paraît encore à nu dans les cours des hôtels, entre les pavés provinciaux, aux esplanade
99 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
170 fait claquer les pans du peignoir sur mes jambes nues , m’embrasse tout entier, m’apaise. Je me sens absolument libre, détac
171 actée entre les branches véhémentes et les troncs nus des grands eucalyptus. Grappes d’étoiles blanches dans les plumets dé
172 apaisait la rumeur primitive, au ras des prairies nues et des eaux populeuses où semblaient se mêler encore plusieurs jours
100 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
173 vieux prêtre anglican, dans une crypte de pierre nue . Exorciser en moi la part du diable, celle qu’il a sans doute prise à
174 qu’au trentième étage qui se couvrent d’un peuple nu , quêtant un souffle de la mer, un courant d’air de l’East River, quel