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mour malheureux. « Il n’y a dans toute la lyrique
occitane
et la lyrique pétrarquesque et dantesque qu’un thème : l’amour ; et p
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mour malheureux. « Il n’y a dans toute la lyrique
occitane
et la lyrique pétrarquesque et dantesque qu’un thème : l’amour ; et p
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mour malheureux. « Il n’y a dans toute la lyrique
occitane
et la lyrique pétrarquesque et dantesque qu’un thème : l’amour ; et p
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e et significative que la revendication d’un État
occitan
ou les plasticages en Bretagne, qui parfois attirent l’attention légè
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le je serai sauvé ! » Tout cela — qui est d’abord
occitan
, arabe, celte et anglo-saxon — va donner en français, par Béroul et C
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s de Français, mais des Bretons, des Basques, des
Occitans
, des Alsaciens, des Niçois, des Poitevins, des Catalans, des Francs-C
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e et significative que la revendication d’un État
occitan
ou les plasticages en Bretagne ». On sait ce qu’il en est advenu deux
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lamands, Basques, Catalans, Corses, Provençaux et
Occitans
, qui persistent à parler leur langue maternelle au lieu de la langue
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reton, flamand au nord, allemand à l’est, basque,
occitan
, catalan et italien au sud, et naturellement le français, imposé comm
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avers le culte chrétien ; l’apport de la cortezia
occitane
mêlée de gnose et d’érotique arabe : voilà la poésie et le roman de l
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le breton, l’alsacien, le catalan, le flamand, l’
occitan
, le français, deux dialectes italiens et le basque, parlés par des pe
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bretonne, la flamande, la basque, la catalane, l’
occitane
, la germanique, l’italienne, l’arabe hier encore, et la française bie
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ton et flamand au nord, allemand à l’est, basque,
occitan
, catalan et italien au sud, et naturellement le français, imposé comm
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vallée d’Udine, mais aussi aux Gallois, Bretons,
Occitans
, Sorabes, Croates du Burgenland, etc. La répression de la liberté lin
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uit langues : breton, flamand, allemand, italien,
occitan
, catalan, basque, et naturellement le français, imposé comme seule la
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qu’on y parle, non le breton, ni l’alsacien, ni l’
occitan
. Le parler ? Mais l’écrire… Bon Dieu ! pour qui nous prenez-vous ? Ro
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qu’il a même initié la renaissance d’une mystique
occitane
autour de Montségur, d’une « aventure nouvelle » (selon Robert Lafont
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ivres consacrés au catharisme, si leur auteur est
occitan
— me semble mériter quelque attention. Cet aspect ombrageux du Langue
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passionnelle — fût-ce en fervent ami de la cause
occitane
—, je doute qu’il soit bien juste de le rationaliser, comme on tend à
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xe du colonisé ». N’y aurait-il pas plutôt chez l’
Occitan
, antérieurement aux épreuves historiques qu’il a subies, une sorte de
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, aussi merveilleusement mêlé que dans la lyrique
occitane
. Bien entendu, cela ne prouve pas que les troubadours parlaient de la
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eulement troubadours et cathares, mais courtoisie
occitane
et légendes celtiques (le Midi précathare se révèle apparenté aux Cel
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ît correspondre à la mort-par-amour de l’érotique
occitane
» (p. 251), et que pour Guilhem Montanhagol « comme pour les anciens
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d’œuvre et où l’on sent battre le cœur du lyrisme
occitan
, le canso de l’Alouette, tout est d’abord lum et clartaz. Mais c’est
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s troubadours. La Joie d’amour, ou Joy d’amors en
occitan
, est un mot masculin dont le sens varie non seulement selon les époqu
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, le breton, le flamand, l’allemand, le basque, l’
occitan
, le catalan, l’italien et naturellement le français, imposé comme seu
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épopée antique, germanique, nordique, celtique ou
occitane
, de la littérature des États totalitaires contemporains.
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es non françaises, comme le breton, le flamand, l’
occitan
, le provençal, le basque, l’italien, le catalan et l’allemand. Toute
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. Cet ilote ivre du nationalisme non pas corse ou
occitan
, comme on eût pu s’y attendre, mais uniquement français, proclame enc
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et jusqu’en Angleterre, d’autre part vers l’Ouest
occitan
où elle s’installera solidement dans les grandes et petites cours de
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a rue de définir les Basques ou les Flamands, les
Occitans
ou les Gallois, il le fera par la langue d’abord, et le plus souvent
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nations conquises, bretonne, basque, catalane et
occitane
, écossaise, irlandaise et galloise, pendant des siècles, avant d’appl
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ionales », au sens ancien, dont la grande culture
occitane
, qui a été étouffée, et d’autres comme la bretonne, la provençale ou
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; langue d’oc des contrées méridionales (gascon,
occitan
, limousin, auvergnat, provençal, dauphinois) ; langue franco-provença