1 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
1 ne me sens pas trop embarrassé ; comme j’habite l’ Odéon , c’est toujours le fantôme de l’Odéon qui m’accompagne et nous ne dis
2 j’habite l’Odéon, c’est toujours le fantôme de l’ Odéon qui m’accompagne et nous ne disons presque rien, nous savons les même
2 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
3 ne me sens pas trop embarrassé ; comme j’habite l’ Odéon , c’est toujours le fantôme de l’Odéon qui m’accompagne et nous ne dis
4 j’habite l’Odéon, c’est toujours le fantôme de l’ Odéon qui m’accompagne et nous ne disons presque rien, nous savons les même
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
5 et un printemps dans un hôtel minable, près de l’ Odéon — d’où parfois je sortais la nuit en habit et chapeau claque pour all