1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 couronnes de laurier. Vous n’êtes pas couronnés d’ olivier . La main connaît la main dans la prise du témoin. L’épaule connaît l’
2 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
2 faut l’accepter. Songez à l’agonie du Jardin des Oliviers . Blanche se souvint que Lady Mount-Stratton lui avait dit presque la
3 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
3 eux. Toutes les nuances du gris, herbes, pierres, oliviers , et quelques touches de vert humide au fond des vallons, de vert somb
4 ue le versant sud, avec ses restanques touffues d’ oliviers , ferme l’horizon immédiat. Au sud-est, nous avons une échappée sur la
5 olacée entre des monticules pointus tout frisés d’ oliviers , un paysage de primitifs italiens. Le mas au flanc de la colline, déj
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
6 sions de la joie, est dit aussi par le vallon des oliviers et par sa jeune nudité. Pas une vapeur ne s’élève de l’herbe pauvre d
7 nt doux passe de grandes caresses sur le pelage d’ oliviers de la colline toute proche. Dans l’ouverture de la vallée, le triangl
8 at neuf, sa densité, sa légèreté originelles. Les oliviers sont plus soyeux et plus moirés sur le vert plus violent des terrasse
5 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
9 eux. Toutes les nuances du gris, herbes, pierres, oliviers , et quelques touches de vert humide au fond des vallons, de vert somb
10 ue le versant sud, avec ses restanques touffues d’ oliviers , ferme l’horizon immédiat. Au sud-est, nous avons une échappée sur la
11 olacée entre des monticules pointus tout frisés d’ oliviers , un paysage de primitifs italiens. Le mas au flanc de la colline, déj
12 sions de la joie, est dit aussi par le vallon des oliviers et par sa jeune nudité. Pas une vapeur ne s’élève de l’herbe pauvre d
13 nt doux passe de grandes caresses sur le pelage d’ oliviers de la colline toute proche. Dans l’ouverture de la vallée, ce triangl
14 at neuf, sa densité, sa légèreté originelles. Les oliviers sont plus soyeux et plus moirés sur le vert plus violent des terrasse
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
15 eux. Toutes les nuances du gris, herbes, pierres, oliviers , et quelques touches de vert humide au fond des vallons, de vert somb
16 ue le versant sud, avec ses restanques touffues d’ oliviers , ferme l’horizon immédiat. Au sud-est, nous avons une échappée sur la
17 olacée entre des monticules pointus tout frisés d’ oliviers , un paysage de primitif italien. Le mas au flanc de la colline, déjà
18 sions de la joie, est dit aussi par le vallon des oliviers et par sa jeune nudité. Pas une vapeur ne s’élève de l’herbe pauvre d
19 nt doux passe de grandes caresses sur le pelage d’ oliviers de la colline toute proche. Dans l’ouverture de la vallée, ce triangl
20 at neuf, sa densité, sa légèreté originelles. Les oliviers sont plus soyeux et plus moirés sur le vert plus violent des terrasse
7 1969, Articles divers (1963-1969). À la fontaine Castalie (1969)
21 Soudain, quittant l’immense ombrage des vergers d’ oliviers de la plaine d’Itea, striés de vives lueurs sur le sol rose, la route
22 cien, d’un gris fauve rongé et poreux — parmi les oliviers géants, incultes, les chèvres, et trois touristes silencieux… Tout pa
8 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
23 on la colombe, qui apporte en son bec un rameau d’ olivier , amorçant la fin du déluge. La vie repart. Les descendants de Deucali