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e antirévolutionnaire20. Le matérialisme, c’est l’
opium
de la révolution. 3e — La conception personnaliste est seule capable
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lation socialiste n’est rien d’autre qu’un nouvel
opium
. Ce bourrage de crâne réalisé sur une échelle que Ford n’avait imagin
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conscience idéaliste du régime. « Littérature »,
opium
des peuples incroyants. Notre troisième espèce est plus rare, et vaut
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dire, très exactement, que le matérialisme est l’
opium
de la Révolution. Certes, le marxisme contient bien d’autres éléments
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e antirévolutionnaire57. Le matérialisme, c’est l’
opium
de la révolution. 3° La conception personnaliste est seule capable d’
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lation socialiste n’est rien d’autre qu’un nouvel
opium
. Ce bourrage de crâne réalisé sur une échelle que Ford n’avait imagin
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dire, très exactement, que le matérialisme est l’
opium
de la Révolution. Certes, le marxisme contient bien d’autres élément
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e antirévolutionnaire50. Le matérialisme, c’est l’
opium
de la révolution. 3° La conception personnaliste est seule capable
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lation socialiste n’est rien d’autre qu’un nouvel
opium
. Ce bourrage de crâne réalisé sur une échelle que Ford n’avait imagin
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ilm, celle du journal, celle du roman — qui est l’
opium
des peuples incroyants. La mauvaise qualité de la langue des auteurs
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ilm, celle du journal, celle du roman — qui est l’
opium
des peuples incroyants. La mauvaise qualité de la langue des auteurs
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la menace des canons, à s’ouvrir au commerce de l’
opium
. Un tel fait donne raison en apparence à la critique marxiste. En vér
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hes contemporains disent que la Providence est un
opium
; que l’homme s’endort à imaginer un ordre du monde où sa place serai
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nchement des inversions et l’odeur sournoise de l’
opium
se faisaient à peine remarquer dans le brouhaha parfaitement mesuré »
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er la bienveillante Providence. La religion est l’
opium
du peuple, disait Marx. Je lui réponds que sa croyance au Progrès est
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. Je lui réponds que sa croyance au Progrès est l’
opium
de la culture. S’il fallait résumer rapidement les caractères générau
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la bienveillante Providence. « La religion est l’
opium
du peuple », disait Marx. Je lui réponds que la croyance au Progrès e
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réponds que la croyance au Progrès est devenue l’
opium
de la pensée. Bien entendu, ce n’est point parce qu’ils étaient mécha
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mme antirévolutionnaire. Le matérialisme, c’est l’
opium
de la révolution. 3° La conception personnaliste est seule capable d’
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hes contemporains disent que la Providence est un
opium
; que l’homme s’endort à imaginer un ordre du monde où sa place serai
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la menace des canons, à s’ouvrir au commerce de l’
opium
. Un tel fait donne raison en apparence à la critique marxiste. En vér
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tion qu’on apporte aux peuples asservis : c’est l’
opium
, le rhum, et les armes, « ce qui ruine et ce qui détruit, au moral co
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ela que j’ai souvent défini le marxisme comme « l’
opium
de la révolution ». Quant à la démocratie et à notre scepticisme deva
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ges ». Celle-ci par exemple : « le marxisme est l’
opium
de la révolution ». La formule n’est pas de moi, mais de mes amis Rob