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ndamne le populisme de M. Thérive, il condamne le
pacifisme
de M. Thomas Mann, il condamne l’Amérique de Ford et la Russie de Sta
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me qui n’est qu’une rancune contre la patrie ; un
pacifisme
qui traduit bien plus la crainte de « se faire des ennemis » que la s
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t pas le nier, purement et simplement au nom du «
pacifisme
», au nom d’une théorie quelconque… Moi. — Admettons même que votre
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ie des Soviets, puis la dictature de Staline ; le
pacifisme
à tout prix des débuts et l’impérialisme actuel (si mal déguisé par l
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on scrupule est contre nature. Et toute espèce de
pacifisme
ou d’humanitarisme, au bout du compte. C’est uniquement s’il y a dans
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pas le nier, purement et simplement, au nom du «
pacifisme
», au nom d’une théorie quelconque… Moi. — Admettons même que votre
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au bellicisme de Roosevelt le sens du droit et le
pacifisme
des dictateurs. Ce n’était donc pas plus malin que cela ? Il suffit d
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as conduit au national-socialisme, mais plutôt au
pacifisme
et au désarmement (sauf en Finlande), ce qui est peut-être déplorable
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ition, de la lutte pour les droits du travail, du
pacifisme
militant, bref, de toutes les grandes causes publiques en Amérique, v
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’intervention, c’est par objection de conscience,
pacifisme
, antimilitarisme, crainte du régime tyrannique que toute guerre risqu
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on scrupule est contre nature. Et toute espèce de
pacifisme
ou d’humanitarisme, au bout du compte. C’est uniquement s’il y a dan
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pas le nier, purement et simplement, au nom du «
pacifisme
», au nom d’une théorie quelconque… Moi. — Admettons même que votre
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au bellicisme de Roosevelt le sens du droit et le
pacifisme
des dictateurs. Ce n’était donc pas plus malin que cela ? Il suffit d
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ris la montagne après avoir répandu un tract d’un
pacifisme
paraît-il exceptionnel. S’est fait cravater peu après — et enfermer à
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’intervention, c’est par objection de conscience,
pacifisme
, antimilitarisme, crainte du régime tyrannique que toute guerre risqu
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’intervention, c’est par objection de conscience,
pacifisme
, antimilitarisme, crainte du régime tyrannique que toute guerre risqu
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ition, de la lutte pour les droits du travail, du
pacifisme
militant, bref de toutes les grandes causes publiques en Amérique, vo
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listes allemands, ayant refusé l’Europe au nom du
pacifisme
, ont une armée allemande. Les nationalistes français, ayant refusé l’
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eur comme aux profonds calculs machiavéliques, au
pacifisme
ému par la peur atomique comme à la Realpolitik. Elle peut réussir. M
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tes inventé la guerre totale, mais aussi conçu le
pacifisme
, l’idée chrétienne de condamner la guerre. Elle a certes créé le nati
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rsis — elle n’en aura plus pour longtemps — et le
pacifisme
d’Einstein se voit soumis à l’examen analytique d’un praticien courto
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tester contre le péril atomique, ni d’afficher un
pacifisme
désarmant. Pourtant, un soir de fièvre, il a signé la lettre proposan
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militarisme éternel du peuple allemand et sur le
pacifisme
actuel de certains colonels français, erreur sur l’Europe et sa situa
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par R. Umbdenstock, in William Penn théoricien du
Pacifisme
. Thèse de l’Université de Dijon, 1931. 98. Extraits du Projet pour r
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eibniz, ou encore entre les tyrans éclairés et le
pacifisme
intégral. Considérant l’Europe dans l’état où elle est, pleine d’abus
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esque roi de la Pennsylvanie, relevons surtout le
pacifisme
intransigeant, le sens pratique et le souci de l’économie. Il propose
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ie des Soviets, puis la dictature de Staline ; le
pacifisme
à tout prix des débuts et l’impérialisme actuel (si mal déguisé par l
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nière de penser. C’est ça le danger et non pas le
pacifisme
! Quelle peut être la réponse des pacifistes ? La première réponse, c
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er la bombe. Cela me paraît plus dangereux que le
pacifisme
. Alors, que faire ? Il n’y a qu’un moyen d’éviter la tempête nucléair
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t aux questions soulevées par l’actuelle vague de
pacifisme
. Peut-être est-ce l’occasion, dans notre pays, de rouvrir le débat su
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régions, d’écologie, ou même, horribile dictu, de
pacifisme
? Je passe donc aux aveux : ils ne seront pas complets, faute de temp