1
ns culture qui se chargent de gaver les masses du
pain
quotidien de la bêtise de tous les partis, on comprendra ce que je ve
2
rs » — tant qu’il y a des gens pour vous faire du
pain
; et c’est très beau, Aragon, de ne plus rien attendre du monde, mais
3
nce, un vide. C’était en dehors de la vie. 3. du
pain
rassis.
4
ent. Cela commence à se savoir. Ils promettent du
pain
, et croient ainsi triompher à la fois des bourgeois, et de la vérité
5
rines antibourgeoises. Mais ils ne donnent pas de
pain
. Ceux qui ne promettent que du pain, finalement n’en donnent jamais.
6
onnent pas de pain. Ceux qui ne promettent que du
pain
, finalement n’en donnent jamais. Nous avons en commun avec eux certai
7
ont jouée, t’ont dominée, ceux qui mangeaient ton
pain
t’ont dressé des pièges — et tu n’as pas su t’en apercevoir ! — Toi q
8
, c’était l’écho des bombardements, les cartes de
pain
, des menaces de violences sociales. Que devenaient, dans tout cela, l
9
t une solution réelle. Nous pourrons promettre du
pain
, et nous en promettons dans la mesure où nous assurerons en même temp
10
n de ce que dans la communion, et non pas dans le
pain
et le vin, il y a la présence réelle du Seigneur mort pour nous, impi
11
nt de manquer de travail et de ne pas gagner leur
pain
, mais c’est surtout de constater que l’Allemagne, pour laquelle ils s
12
lité. Commençons par le commencement : donnons du
pain
à tout le monde. Nous parlerons ensuite de ce spirituel auquel vous n
13
éjugé populaire qui consiste à croire que sans le
pain
que fait le paysan, sans les briques que font les maçons, les intelle
14
ont jouée, t’ont dominée, ceux qui mangeaient ton
pain
t’ont dressé des pièges — et tu n’as pas su t’en apercevoir ! — Toi q
15
t59. Cela commence à se savoir. Ils promettent du
pain
, et croient ainsi triompher à la fois des bourgeois, et de la vérité
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rines antibourgeoises. Mais ils ne donnent pas de
pain
. Ceux qui ne promettent que du pain, finalement n’en donnent jamais.
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onnent pas de pain. Ceux qui ne promettent que du
pain
, finalement n’en donnent jamais. Nous avons en commun avec eux certai
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lité. Commençons par le commencement : donnons du
pain
à tout le monde. Nous parlerons ensuite de ce spirituel auquel vous n
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éjugé populaire qui consiste à croire que sans le
pain
que fait le paysan, sans les briques que font les maçons, les intelle
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ont jouée, t’ont dominée, ceux qui mangeaient ton
pain
t’ont dressé des pièges — et tu n’as pas su t’en apercevoir ! — Toi q
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t52. Cela commence à se savoir. Ils promettent du
pain
, et croient ainsi triompher à la fois des bourgeois, et de la vérité
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rines antibourgeoises. Mais ils ne donnent pas de
pain
. Ceux qui ne promettent que du pain, finalement n’en donnent jamais.
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onnent pas de pain. Ceux qui ne promettent que du
pain
, finalement n’en donnent jamais. Nous avons en commun avec eux certai
24
r les nuits d’hiver, sans gîte, sans habits, sans
pain
, une voix étreignait mon cœur gelé : “Faiblesse ou force : te voilà,
25
t comme si les chrétiens ne vivaient pas aussi de
pain
. Le grand danger du socialisme n’est pas dans son matérialisme, mais
26
combattre la misère, car un homme qui n’a pas son
pain
ne peut pas être une personne ni exercer sa vocation ; combattre auss
27
Nous ne mangeons pas de ce
pain
-là : à propos du 14 juillet (15 juillet 1935)q Certains voudraient
28
’Ordre nouveau. q. « Nous ne mangeons pas de ce
pain
-là (à propos du 14 juillet) », Bulletin de liaison des groupes Ordre
29
nmoins (dixit nihilominus) : « Celui qui mange ce
pain
vivra éternellement » (Jean 6:55 et 6:59). On n’ose pas demander aux
30
ctature tue la liberté pour assurer l’ordre et le
pain
du corps (c’est le principe !). La liberté condamne la dictature, mai
31
it se battre sur deux fronts : il doit gagner son
pain
, et il doit triompher des conformismes et des « cabales ». Certains p
32
incipe de communion aussi pauvre. Car une fois le
pain
assuré, quand les poètes se virent enfin libres de chanter l’homme to
33
de la pensée et de l’action : « Donnez d’abord le
pain
à tous, et le reste viendra par-dessus. » Telle fut la grande maxime
34
issance pratique à l’heure où il faudra donner du
pain
si l’on veut prendre ou garder le pouvoir. Qui sait même si cette cra
35
des nourritures de luxe, et nous avons besoin de
pain
de ménage. Elle nous offre des spécialités pharmaceutiques et nous av
36
incipe de communion aussi pauvre. Car une fois le
pain
assuré, quand les poètes se virent enfin libres de chanter l’homme to
37
de la pensée et de l’action : « Donnez d’abord le
pain
à tous, et le reste viendra par-dessus. » Telle fut la grande maxime
38
e « désintéressée ». Il fallait d’abord donner le
pain
, d’abord rendre sa « liberté » à la nation. La culture viendrait aprè
39
issance pratique à l’heure où il faudra donner du
pain
, si l’on veut prendre ou garder le pouvoir. Qui sait même si cette cr
40
’une caricature du « Donne-nous chaque jour notre
pain
quotidien ». Le bourgeois athée, le fasciste et le communiste disent
41
roid extraordinaire, cueillir une fleur, voler un
pain
, faire l’amour, choisir un menu, courir après l’autobus, labourer une
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des nourritures de luxe, et nous avons besoin de
pain
de ménage. Elle nous offre des spécialités pharmaceutiques et nous av
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incipe de communion aussi pauvre. Car une fois le
pain
assuré, quand les poètes se virent enfin libres de chanter l’homme to
44
de la pensée et de l’action : « Donnez d’abord le
pain
à tous, et le reste viendra par-dessus. » Telle fut la grande maxime
45
e « désintéressée ». Il fallait d’abord donner le
pain
, d’abord rendre sa « liberté » à la nation. La culture viendrait aprè
46
issance pratique à l’heure où il faudra donner du
pain
, si l’on veut prendre ou garder le pouvoir. Qui sait même si cette cr
47
’une caricature du « Donne-nous chaque jour notre
pain
quotidien ». Le bourgeois athée, le fasciste et le communiste disent
48
roid extraordinaire, cueillir une fleur, voler un
pain
, faire l’amour, choisir un menu, courir, après l’autobus, labourer un
49
ande plus sa part au festin de l’impérialisme. Le
pain
, les jeux, l’abolition des classes, tels sont désormais ses mots d’or
50
dre les problèmes de la paix, de la liberté et du
pain
des hommes. » Autant dire qu’il ne fait plus confiance à Marx. Autant
51
dre les problèmes de la paix, de la liberté et du
pain
des hommes »ad. À vrai dire, nous n’espérions pas un triomphe si rapi
52
et d’éclabousser les convives. Nous ferons notre
pain
nous-mêmes. j. « C’est jeune », À nous la liberté, Paris, n° 6, 10
53
ration boulangers, minotiers et consommateurs. Le
pain
, la tombe. Deux réalités fondamentales. Voilà qui est bien dans l’har
54
Pour la vie, l’homme debout et actif, il faut le
pain
. Pour la mort, l’homme qui se recouche, il faut la tombe. Il y a touj
55
. Mais avec le produit de nos pêches, les bons de
pain
, le reste du tonneau de vin blanc, nous pourrions subsister sans arge
56
ir vivra la vie ordinaire des hommes, gagnant son
pain
par un métier quelconque. » C’est le contraire qui m’est arrivé : j’a
57
te femme : « À quoi je pense avant tout, c’est au
pain
quotidien. » ⁂ Il est rare que le film d’une conversation, non retouc
58
fût consacré aux tâches plus urgentes : donner du
pain
et des spectacles à la foule. Mais Paul était apôtre et non pas dicta
59
textant que l’intérieur importe seul, et que le «
pain
de vie » suffit à nourrir l’homme ! Peut-être suffit-il à vous nourri
60
quand il ne s’agit plus de rien que de trouver le
pain
du lendemain, et c’est le cas du très grand nombre. D’autre part, ceu
61
poration boulanger, minotier et consommateurs. Le
pain
, la tombe. Deux réalités fondamentales. Voilà qui est bien dans l’har
62
Pour la vie, l’homme debout et actif, il faut le
pain
. Pour la mort, l’homme qui se recouche, il faut la tombe. Il y a touj
63
. Mais avec le produit de nos pêches, les bons de
pain
, le reste du tonneau de vin blanc, nous pourrions subsister sans arge
64
oi, certifié et scellé par les signes visibles du
pain
et du vin, je dois croire identiquement que c’est là le centre vivant
65
urnir aux pauvres des vêtements, du charbon et du
pain
. Selon d’autres, une bonne part de l’argent extorqué aux passants cra
66
et liberté dans le monde. Communauté, égalité et
pain
pour le Peuple. N’oublions pas, dans nos démocraties, que la grande
67
us convertissons en lui de la même manière que le
pain
dans le sacrement se change en corps du Christ : je suis ainsi changé
68
il le répétera souvent : « L’homme ne vit pas de
pain
seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de mon Père »…
69
e plan religieux. Nicolas pauvre et se privant de
pain
à l’époque même où les Suisses sont tentés par les richesses étrangèr
70
té de ne prendre aucun aliment ! Je me nourris du
pain
du ciel, à la très sainte communion. L’abbé. — Comment une telle
71
-nous fuir ? Mais la vie est dure, chez vous ! Le
pain
est cher ! Il y a trop de monde partout, et jamais de travail pour no
72
tre chef ! Toi le plus pauvre ! Défends-nous ! Du
pain
! Défends-nous ! Nicolas. — Pauvres enfants ! Vous voulez faire l
73
nts ! Vous voulez faire la guerre pour obtenir du
pain
? Oh ! malheureux ! Partout où la guerre a passé, les pauvres l’ont p
74
nnes paroles, et nos enfants crient pour avoir du
pain
! Tous. — Du pain ! Du pain ! Nicolas. — Ils en auront encore
75
nfants crient pour avoir du pain ! Tous. — Du
pain
! Du pain ! Nicolas. — Ils en auront encore bien moins si vous al
76
ent pour avoir du pain ! Tous. — Du pain ! Du
pain
! Nicolas. — Ils en auront encore bien moins si vous allumez l’in
77
aste champs et greniers. Vous n’avez pas assez de
pain
, c’est une chose très injuste et très cruelle. Mais celui qui n’a rie
78
Mais celui qui n’a rien du tout, celui qui vit du
pain
céleste, pourra-t-il vous donner un conseil ? (Un temps.) Gardez la j
79
us convertissons en lui de la même manière que le
pain
dans le sacrement se change en corps du Christ : je suis ainsi changé
80
us convertissons en lui de la même manière que le
pain
dans le sacrement se change en corps du Christ : je suis ainsi changé
81
que chose comme une friandise. Elle n’est plus un
pain
quotidien. Quand on dit de quelqu’un : c’est un intellectuel ! cela s
82
pas du « partage » spirituel, qui devait être le
pain
quotidien de ces communautés souvent persécutées. Certes, il ne faudr
83
te, ce grand maître du vrai réalisme. « Jette ton
pain
sur la face des eaux, car avec le temps tu le retrouveras ; donnes-en
84
que chose comme une friandise. Elle n’est plus un
pain
quotidien. Et après tout, cela est juste, si l’on commence par admett
85
des langues, le Sel et l’Huile. Je lui oppose le
Pain
et le Vin. Je lui oppose aussi les œuvres d’hommes où sa part a été c
86
des langues, le Sel et l’Huile. Je lui oppose le
Pain
et le Vin. Je lui oppose aussi les œuvres d’hommes où sa part a été c
87
des langues, le Sel et l’Huile. Je lui oppose le
Pain
et le Vin. Je lui oppose aussi les œuvres d’hommes où sa part a été c
88
s, contez-leur une histoire. « S’ils n’ont pas de
pain
, qu’ils mangent des brioches ! » Le siècle est en révolution, l’Europ
89
isme. Nous voulons que les trains roulent, que le
pain
soit vendu, que la jeunesse retrouve l’espoir, et non pas que tel par
90
ise de pouvoir, en se moquant bien des trains, du
pain
, de la jeunesse, et du sens de la vie des hommes dans la cité. Or, no
91
building, comme une hostie est moins grosse qu’un
pain
; ils ne sont pas si enfantins que leurs critiques. On ne m’avait pas
92
te, ce grand maître du vrai réalisme. « Jette ton
pain
sur la face des eaux, car avec le temps tu le retrouveras ; donnes-en
93
us vendre : café, liqueurs, savon, beurre, sucre,
pain
blanc et vin rouge… Le pain et le vin, symboles de la terre de France
94
savon, beurre, sucre, pain blanc et vin rouge… Le
pain
et le vin, symboles de la terre de France, marques sacrées d’une civi
95
. Les soldats mériteront du repos, les peuples du
pain
et des jeux. Il n’y a pas de probabilité que la guerre suscite les no
96
t23. Cela commence à se savoir. Ils promettent du
pain
, et croient ainsi triompher à la fois des bourgeois, et de la vérité
97
rines antibourgeoises. Mais ils ne donnent pas de
pain
. Ceux qui ne promettent que du pain, finalement, n’en donnent jamais.
98
onnent pas de pain. Ceux qui ne promettent que du
pain
, finalement, n’en donnent jamais. Nous avons en commun avec eux certa
99
quand il ne s’agit plus de rien que de trouver le
pain
du lendemain, et c’est le cas du très grand nombre. D’autre part, ceu
100
poration boulanger, minotier et consommateurs. Le
pain
, la tombe. Deux réalités fondamentales. Voilà qui est bien dans l’har
101
Pour la vie, l’homme debout et actif, il faut le
pain
. Pour la mort, l’homme qui se recouche, il faut la tombe. Il y a touj
102
. Mais avec le produit de nos pêches, les bons de
pain
, le reste du tonneau de vin blanc, nous pourrions subsister sans arge
103
oi, certifié et scellé par les signes visibles du
pain
et du vin, je dois croire identiquement que c’est là le centre vivant
104
urnir aux pauvres des vêtements, du charbon et du
pain
. Selon d’autres, une bonne part de l’argent extorqué aux passants cra
105
et liberté dans le monde. Communauté, égalité et
pain
pour le Peuple. N’oublions pas, dans nos démocraties, que la grande
106
on la formule officielle : Communauté, égalité et
pain
pour le peuple. Nul, peut-être, n’a mieux rendu compte de cet état d’
107
te, ce grand maître du vrai réalisme. « Jette ton
pain
sur la face des eaux, car avec le temps tu le retrouveras ; donnes-en
108
peine : quinze jours au fort de Saint-Maurice, au
pain
et à l’eau, sans visites ni courrier. Vous avez bien compris ? Vous ê
109
us vendre : café, liqueurs, savon, beurre, sucre,
pain
blanc et vin rouge… Le pain et le vin, symboles de la terre de France
110
savon, beurre, sucre, pain blanc et vin rouge… Le
pain
et le vin, symboles de la terre de France, marques sacrées d’une civi
111
. Les soldats mériteront du repos, les peuples du
pain
et des jeux. Il n’y a pas de probabilité que la guerre suscite les no
112
facilement. Le boulanger continuerait à faire du
pain
, parce que c’est son plaisir, et qu’il faut s’occuper. On prendrait c
113
uper. On prendrait chez lui sans payer un ou deux
pains
par jour, on ne peut pas en manger davantage, et il serait inutile d’
114
s donnent des mitraillettes à ceux qui veulent du
pain
, une discipline aveugle à ceux qui cherchent un ordre, et le camp de
115
s, contez-leur une histoire. « S’ils n’ont pas de
pain
, qu’ils mangent des brioches. » Le siècle est en révolution, l’Europe
116
building, comme une hostie est moins grosse qu’un
pain
; ils ne sont pas si enfantins que leurs critiques. On ne m’avait pas
117
s donnent des mitraillettes à ceux qui veulent du
pain
, une discipline aveugle à ceux qui cherchent un ordre, et le camp de
118
l’ordre, et plus qu’à la richesse, et plus qu’au
pain
qu’il mange à une notion de l’homme, qu’il ne sait pas toujours formu
119
ine Marie-Antoinette conseillait à un peuple sans
pain
. Culture n’est pas consommation, mais production. C’est ce que l’époq
120
Le Sentiment tragique de la vie. 72. Silone : Le
Pain
et le vin. 73. Dostoïevski : L’Idiot. 74. — Les Frères Karamazov. 75.
121
e ne pas se faire massacrer quand elle demande du
pain
, la paix, la liberté, et si possible un peu de vérité. 60. On sait
122
apper l’esprit des foules, « car on ne vit pas de
pain
seulement »… Chacun récolte donc ce qu’il a semé, et qui n’était pas
123
qu’on jugeait vital pour chaque régime : ici, le
pain
quotidien ; là, le rêve compensateur. De quoi faudrait-il s’étonner ?
124
tout Ordre qui n’a su qu’encadrer l’anarchie ? Du
pain
? L’État l’assure à ses clients dociles. « Clarissimes » oisifs sur l
125
ie ou de religion à ceux qui demandent d’abord du
pain
. Ventre affamé n’a point d’oreilles. » Il peut sembler pourtant que l
126
ières ?[préface] (1958)g L’homme ne vit pas de
pain
seulement, mais ne vit pas longtemps sans pain. Ainsi de l’Europe. Po
127
de pain seulement, mais ne vit pas longtemps sans
pain
. Ainsi de l’Europe. Pour unir les 332 millions d’habitants qu’elle co
128
l le tente par la faim (transforme ces pierres en
pains
), par la magie (jette-toi dans le vide du haut du Temple et les anges
129
ns à Londres du temps de César ; ils mangeront du
pain
d’avoine, et s’égorgeront à coups de couteau pour un poisson séché au
130
peine : quinze jours au fort de Saint-Maurice, au
pain
et à l’eau, sans visites ni courrier. Vous avez bien compris ? Vous ê
131
eu et il y aura des hommes ne connaissant ni le «
pain
quotidien » ni le vin, ni les graines et semences dont parlent les pa
132
fût consacré aux tâches plus urgentes : donner du
pain
et des spectacles à la foule. Mais Paul était apôtre et non pas dicta
133
textant que l’intérieur importe seul, et que le «
pain
de vie » suffit à nourrir l’homme ! Peut-être suffit-il à vous nourri
134
de celle de l’animal en ce qu’il « ne vit pas de
pain
seulement ». Ce verset de l’Évangile n’exprime pas un vœu ou une obju
135
’un signe secondaire. Plus sérieux est l’usage du
pain
et du vin pour la communion. La vigne est une culture typique du bass
136
mme tout le monde, d’ici huit jours, ira jeter du
pain
aux cygnes », me disait le chef de la police municipale à la veille d
137
e étape. Nous nous assîmes devant une collation —
pain
, beurre, confiture et café — servie sur de longues tables de sapin. «
138
e, ce grand maître du vrai réalisme : « Jette ton
pain
sur la face des eaux, car avec le temps tu le retrouveras : donnes-en
139
omme tout le monde, d’ici huit jours ira jeter du
pain
aux cygnes », me disait le chef de la police municipale à la veille d
140
facilement. Le boulanger continuerait à faire du
pain
, parce que c’est son plaisir et qu’il faut s’occuper. On prendrait ch
141
uper. On prendrait chez lui sans payer un ou deux
pains
par jour, on ne peut pas en manger davantage, et il serait inutile d’
142
ant de la route, à deux-cents pas de la fontaine.
Pain
gris, fromage de chèvre, énormes olives noires et une cruche bien fra
143
quelques kilomètres de Grasse. En l’an 2000 ni
pain
, ni eau, peut-être ! Il parle de son livre d’une voix lente, pèse
144
mme de l’an 2000, dit-il : sans eau potable, sans
pain
, sans vin et privé même du comprimé d’algues marines en guise de stea
145
notre homme de l’An 2000 : sans eau potable, sans
pain
, sans vin, et privé même du comprimé d’algues marines en guise de ste
146
: l’homme se voit condamné désormais à gagner son
pain
à la sueur de son front, la femme à enfanter dans la douleur, tous le
147
ntation de la Puissance. (« Change ces pierres en
pain
! Ou : si tu te prosternes devant moi, je te donnerai puissance sur t
148
e à quinze jours de forteresse dans le Valais, au
pain
, à l’eau, sans visites ni courrier. Vous avez bien compris ? Répétez.
149
ne condamnation à quinze jours de forteresse « au
pain
et à l’eau, sans visites ni courrier », pour « insultes à chef d’État