1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 , quoi qu’en pense M. de Montherlant. Et voici, ô paradoxe , qu’il rejoint Kant, Kant qui écrit : « C’est sur des maximes, non su
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 es les vieilleries morales et immorales, tous les paradoxes , le chaos, etc. — Certes, aucune époque ne fut à la fois plus morale
3 de la plupart de nos jeunes moralistes. Le mot de paradoxe serait bien pauvre pour expliquer ce besoin de porter à son excès tou
3 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
4 Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)b Nous voyons un mythe prendre corp
5 é de quelque doute au fond. » (René Crevel) b. «  Paradoxe de la sincérité », Revue de Belles-Lettres, Lausanne-Neuchâtel-Genève
4 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
6 ient-ce que celles de mes folies ? Je me répète : paradoxes , mais cela ne suffit plus à m’en délivrer. Ma vie m’a repris, je ne s
5 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
7 ulation et d’alternances. Tel est ce sophisme, le paradoxe du bon marché. Celui de la réclame a même but, mêmes effets. Mais le
8 bien montré, dans un article intitulé « Le grand paradoxe du monde moderne »3, ce qu’il y a de profondément antihumain dans la
9 les sacrifices qu’elle exige de l’homme moderne. Paradoxes plus ou moins intéressés, optimisme d’homme à qui tout réussit, messi
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
10 e que de loin, — c’est alors ce qu’on appelait un paradoxe , du temps des petites manières. Cependant, la réalité d’un pays appar
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
11 nnés par un renouveau doctrinal. Car, et c’est un paradoxe qui n’étonnera pas ceux que le problème de la création intéresse, l’a
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
12 tiente d’être ramené sans cesse dans un cercle de paradoxes et de malentendus où il semble qu’un esprit de cette classe ne devrai
9 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
13 caractérise Kierkegaard. L’on y trouvera moins de paradoxe et plus de délectation peut-être, une acuité lente de la réflexion, u
10 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
14 nd, tels sont les éléments qui composent non sans paradoxe ce recueil de « motifs » romantiques et de frissons anarchiques. Le t
11 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
15 ation — permettra-t-elle, par la vivacité même du paradoxe , une prise de conscience plus juste et plus efficace des puissances g
16 r le réel. Au contraire l’on peut considérer sans paradoxe que la littérature de Goethe est un des moyens de silence dont il dis
12 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
17 rges Duhamel (mai 1932)e L’ambiguïté, c’est du paradoxe détendu ; ou si l’on veut, c’est une contradiction intérieure dont le
13 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
18 me actif (novembre 1932)b …que nous faisons du paradoxe  ? Non. Dieu nous est paradoxal. Le paradoxe est la réalité, ou plus e
19 ns du paradoxe ? Non. Dieu nous est paradoxal. Le paradoxe est la réalité, ou plus exactement le paradoxe est la marque et la pr
20 Le paradoxe est la réalité, ou plus exactement le paradoxe est la marque et la preuve de toute réalité en tant que saisie et véc
21 écue, c’est-à-dire assumée par l’homme. Sortir du paradoxe pour s’évader dans une synthèse quelconque, rationaliste, catholique,
14 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
22 Pour la jeunesse de 1932, le conflit de vivre, le paradoxe fondamental de toute « existence » se concrétise dans une « nécessité
15 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
23 nisme et la métamorphose « Métamorphose » et «  paradoxe  », tels sont peut-être les mots-clés de l’Europe sentimentale. Pourqu
24 e d’un malentendu plus tenace. Lorsqu’on parle de paradoxe , Tartempion se souvient du café du Commerce, tandis que le premier de
25 — il n’y a jugement possible que du même —, et le paradoxe apparaît aux yeux de ceux pour qui la religion n’est qu’assurance, co
26 pour s’en vanter, l’idée qu’il était né malin. Paradoxe du sentiment Une rumeur lointaine et continue, nous l’entendons se
27 ure, la notion germanique et la notion latine. Le paradoxe humain revêt aux yeux du philosophe moderne une valeur métaphysique a
16 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
28 tous les truismes se sont évanouis ; restent les paradoxes  : peut-être vont-ils se mettre à rêver à voix haute ? Ébranle un peu
17 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
29 e que de loin, — c’est alors ce qu’on appelait un paradoxe , du temps des petites manières. Cependant, la réalité d’un pays appar
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
30 nisme et la métamorphose « Métamorphose » et «  paradoxe  », tels sont peut-être les mots-clés de l’Europe sentimentale. Pourqu
31 e d’un malentendu plus tenace. Lorsqu’on parle de paradoxe , Tartempion se souvient du café du Commerce, tandis que le premier de
32 — il n’y a jugement possible que du même —, et le paradoxe apparaît aux yeux de ceux pour qui la religion n’est qu’assurance, co
33 pour s’en vanter, l’idée qu’il était né malin. Paradoxe du sentiment Une rumeur lointaine et continue, nous l’entendons se
34 ure, la notion germanique et la notion latine. Le paradoxe humain revêt aux yeux du philosophe moderne une valeur métaphysique a
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
35 tous les truismes se sont évanouis ; restent les paradoxes  : peut-être vont-ils se mettre à rêver à voix haute ? Ébranle un peu
20 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
36 e ce reproche et démontre une fois de plus que le paradoxe de la « politique du pessimisme actif » inspirera toujours les constr
21 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
37 confond pas avec l’enjeu de son salut. Tel est le paradoxe , qui remonte au cœur même du christianisme, si le christianisme est l
22 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
38 lle en fait d’ailleurs immédiatement ressortir le paradoxe . En effet, quel est le but de la machine ? Une économie de travail. L
39 de la liberté, le machinisme crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société capitaliste-bourgeoise. On pou
23 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
40 uisque notre rapport à Dieu, depuis la chute, est paradoxe par définition. Tel est l’aspect humain de la dialectique dont il est
41 ue5 et au « concept d’angoisse ». Car enfin si le paradoxe n’est pas dans la situation même de l’homme devant Dieu, notre foi es
42 l’expression la plus directe ; si au contraire le paradoxe est bien réel, s’il est bien tel que l’ont formulé un Paul, un Luther
43 tant que tels, l’acceptation du salut impossible, paradoxe dont la formule est le nom même de Jésus-Christ. La réalité centrale
44 e non, nous ne pouvons que recourir au langage du paradoxe . Car tout autre langage traduirait l’impossible en termes de synthèse
24 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
45 pour que se lèvent de toutes parts de troublants paradoxes . La Bible nous parle-t-elle de religion ? Ne nous montre-t-elle pas p
46 is de quoi va-t-il encore pouvoir parler ? Ici le paradoxe devient plus aigu. Le théologien doit parler de Dieu, son nom l’indiq
47 d’être purement négative et désespérée. « Ici le paradoxe joue à plein — écrivait-on à ce propos dans un récent article1 — la t
25 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
48 méthode de correction, ou d’assurances contre les paradoxes de l’existence. Ce que nous demandons à la philosophie, c’est de mett
26 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
49 is on ne peut le comprendre et le vivre, dans son paradoxe profond, que si l’on se réfère au rapport primitif qui fonde la perso
50 ce pas pour cette seule raison, où bat le cœur du paradoxe le plus fou, que l’Évangile nous dit : « Aimez vos ennemis » ? 6. J
27 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
51 trompe son attente ; et que le panthéisme, par un paradoxe dont nous avons tenté de suivre la logique fatale, isole l’individu d
28 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
52 dition telle que Dieu l’a voulue, une négation du paradoxe de l’Amour. L’universalité du désespoir, qui est la thèse maîtresse d
29 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
53 e qui ? Pourquoi ? Et comment garantis ? C’est un paradoxe curieux que devoir en 1934, en pleine crise économique, des garçons q
30 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
54 on, sauvé. Ainsi l’homme n’est humain que dans un paradoxe  ; il est perdu lorsqu’il se croit sauvé, il est sauvé lorsqu’il se sa
55 sauvé lorsqu’il se sait perdu. Je dis que seul ce paradoxe le fait humain : car si l’homme peut se voir perdu, c’est qu’il croit
56 u ; le croyant seul, véritablement homme. Dans ce paradoxe essentiel, et non ailleurs, peut se fonder une politique qui mérite l
57 tude des objecteurs porte à son acuité extrême le paradoxe défini dans ma première partie. Elle ne saurait être mise en symétrie
31 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
58 ses propres yeux. Il a voulu chasser du monde le paradoxe et le scandale du solitaire plus grand que tous. Il a voulu que tout
32 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
59 Sara Alelia (3 novembre 1934)g Voulez-vous un paradoxe  ? Littéraire ? Je détiendrais volontiers celui-ci : que le roman est
60 oindre ! Je constate un fait. Mais laissons là le paradoxe . Vous n’ignorez pas plus que moi que la plupart des romanciers dont j
61 vois une suite d’illustrations vivantes du fameux paradoxe luthérien qui est au centre de la Réforme : simul peccator et justus.
33 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
62 fascisme ou la dictature stalinienne. Tel est le paradoxe malheureux de la démocratie laïque. L’individu au nom duquel légiféra
34 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
63 on, sauvé. Ainsi l’homme n’est humain que dans un paradoxe  ; il est perdu lorsqu’il se croit sauvé, il est sauvé lorsqu’il se sa
64 sauvé lorsqu’il se sait perdu. Je dis que seul ce paradoxe le rend humain, le fait humain : car si l’homme peut se voir perdu, c
65 u ; le croyant seul, véritablement homme. Dans ce paradoxe essentiel, et non ailleurs, peut se fonder une politique qui mérite l
35 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
66 Sur la devise du Taciturne Faisons-nous donc du paradoxe  ? Non : Dieu nous est paradoxal. Le paradoxe est la réalité, ou plus
67 c du paradoxe ? Non : Dieu nous est paradoxal. Le paradoxe est la réalité, ou plus exactement le paradoxe est la marque et la pr
68 Le paradoxe est la réalité, ou plus exactement le paradoxe est la marque et la preuve de toute réalité en tant que saisie et véc
69 écue, c’est-à-dire assumée par l’homme. Sortir du paradoxe pour s’évader dans une synthèse quelconque, rationaliste, romaine, ou
70 ces. Mais la devise du Taciturne exprime, par son paradoxe , une espérance qui se rit de nos espoirs, c’est-à-dire qui se rit de
36 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
71 at, une fois tous les risques endossés. Voilà son paradoxe et l’humour de sa lutte. L’issue de la bataille, il peut bien la prév
37 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
72 confond pas avec l’enjeu de son salut. Tel est le paradoxe , qui remonte au cœur même du christianisme, si le christianisme est l
38 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
73 Pour la jeunesse de 1932, le conflit de vivre, le paradoxe fondamental de toute « existence » se concrétise dans une « nécessité
39 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
74 ans parti pris. Et voilà qui paraît à beaucoup un paradoxe bien irritant. Le parti pris que nous affirmons est bien connu : il n
40 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
75 lle en fait d’ailleurs immédiatement ressortir le paradoxe . En effet, quel est le but de la machine ? Une économie de travail. L
76 de la liberté, le machinisme crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société capitaliste-bourgeoise. On pou
41 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
77 similé par la vie humaine ; il reste pour elle un paradoxe étrange et effrayant », s’écrie Carl Koch, visiblement scandalisé. Ma
78 , comme l’éternité pour le temps. Oui, c’est un «  paradoxe étrange » qui veut que l’homme soit sauvé par sa perte. Mais que vien
42 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
79 fascisme ou la dictature stalinienne. Tel est le paradoxe malheureux de la démocratie laïque. L’individu au nom duquel légiféra
43 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
80 on, sauvé. Ainsi l’homme n’est humain que dans un paradoxe  ; il est perdu lorsqu’il se croit sauvé, il est sauvé lorsqu’il se sa
81 sauvé lorsqu’il se sait perdu. Je dis que seul ce paradoxe le rend humain, le fait humain : car si l’homme peut se voir perdu, c
82 u ; le croyant seul, véritablement homme. Dans ce paradoxe essentiel, et non ailleurs, peut se fonder une politique qui mérite l
44 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
83 Sur la devise du Taciturne Faisons-nous donc du paradoxe  ? Non : Dieu nous est paradoxal. Le paradoxe est la réalité, ou plus
84 c du paradoxe ? Non : Dieu nous est paradoxal. Le paradoxe est la réalité, ou plus exactement le paradoxe est la marque et la pr
85 Le paradoxe est la réalité, ou plus exactement le paradoxe est la marque et la preuve de toute réalité en tant que saisie et véc
86 écue, c’est-à-dire assumée par l’homme. Sortir du paradoxe pour s’évader dans une synthèse quelconque, rationaliste, romaine, ou
87 ces. Mais la devise du Taciturne exprime, par son paradoxe , une espérance qui se rit de nos espoirs, c’est-à-dire qui se rit de
45 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
88 at, une fois tous les risques endossés. Voilà son paradoxe et l’humour de sa lutte. L’issue de la bataille, il peut bien la prév
46 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
89 confond pas avec l’enjeu de son salut. Tel est le paradoxe , qui remonte au cœur même du christianisme, si le christianisme est l
47 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
90 Pour la jeunesse de 1932, le conflit de vivre, le paradoxe fondamental de toute « existence » se concrétise dans une « nécessité
48 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
91 ans parti pris. Et voilà qui paraît à beaucoup un paradoxe bien irritant. Le parti pris que nous affirmons est bien connu : il n
49 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
92 lle en fait d’ailleurs immédiatement ressortir le paradoxe . En effet, quel est le but de la machine ? Une économie de travail. L
93 de la liberté, le machinisme crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société capitaliste-bourgeoise. On pou
50 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
94 de son temps : la foi étant ce que j’ai dit – le paradoxe le plus inouï – avez-vous cette foi, êtes-vous vraiment chrétiens ? S
95 plus différents et vingt fois il échoue devant ce paradoxe monstrueux. Il n’y a donc personne de la taille d’Abraham, personne
96 s la vie comme si rien ne s’était passé. Voilà le paradoxe des paradoxes : vivre comme tout le monde, mais « en vertu de l’absur
97 e si rien ne s’était passé. Voilà le paradoxe des paradoxes  : vivre comme tout le monde, mais « en vertu de l’absurde ». C’est là
98 nous trouvons le même réalisme fondé dans le même paradoxe . La même façon de considérer l’homme à la fois tel qu’il est devant D
51 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
99 ntiers sur le « terrain abstrait de l’orgueilleux paradoxe  ». Il ne nous pardonne guère de faire table rase de ce qu’il appelle
100 l’appui de sa thèse : « Kierkegaard, ce prince du paradoxe , comme l’appelle si joliment mon ami Monod. » Selon Nicodème, le term
52 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
101 fait jour, et cesse d’apparaître comme un simple paradoxe d’intellectuels. D’une façon beaucoup plus générale, nous reconnaisso
53 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
102 au Christ. Mais croire au Christ, c’est croire au Paradoxe de l’incarnation, c’est croire que Dieu a revêtu la forme de ce monde
103 peut être transformée. — à vrai dire, en vertu du paradoxe le plus fou. Nous ne pouvons agir « qu’en vertu de l’absurde » ; mais
104 plus de toute éternité la renoncer ; et c’est le paradoxe  ; mais il faut un courage paradoxal et humble pour embrasser le temps
105 en pure absence. 13. K. entend : en vertu de ce paradoxe impensable, l’Incarnation historique de Dieu. Pas de réponse rationne
54 1936, Le Semeur, articles (1933–1949). Notre foi, par Emil Brunner (janvier 1936)
106 olvant par quelque ingénieuse synthèse — tous les paradoxes chrétiens qui gênent si fort notre humaine raison. Mais la foi n’est
55 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
107 à tenir Kierkegaard pour une espèce d’esthète du paradoxe moral, pour un immoraliste avant la lettre nietzschéenne. Admettons q
108 l’acte de foi, qui saisit dans ce temps l’éternel paradoxe de la vie et de la mort du Christ, jette sur tous nos sérieux, poses
56 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
109 nait dans un crucifié vaincu ». Par une espèce de paradoxe — personne n’a chéri davantage le paradoxe depuis Kierkegaard — M. Mo
110 èce de paradoxe — personne n’a chéri davantage le paradoxe depuis Kierkegaard — M. Monod déduit de cette « hypothèse de travail 
57 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
111 ure communiste devrait dorénavant s’organiser (le paradoxe est d’ailleurs soutenable) se substitue dans les esprits les plus viv
58 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
112 d’aujourd’hui, se condamner à n’être pas compris. Paradoxe d’un génie catholique, isolé de la foule des hommes, par ce qui manif
59 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
113 démagogues et philosophes — qui saura vivifier le paradoxe d’un rationalisme enthousiaste, c’est elle qui gagnera la vraie batai
114 ationnel de l’acquis : enrichissement. Tel est le paradoxe que les systèmes de Hegel et de Comte vont résoudre magistralement. H
115 uple trône et autel. Mais les mots dissimulent le paradoxe . 13. Discours du Trône, mars 1830. 14. Voir sur ce point ma Politi
60 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
116 ure communiste devrait dorénavant s’organiser (le paradoxe est soutenable) se substitue dans les esprits les plus vivants à l’id
61 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
117 r l’inactualité des décrets de l’esprit — premier paradoxe  — a-t-elle pu s’imposer à des peuples entiers, alors que — second par
118 imposer à des peuples entiers, alors que — second paradoxe  — les clercs qui la défendent paraissent irrémédiablement séparés de
119 it comme à la fois créateur et déterminé. Mais ce paradoxe a cessé depuis longtemps d’être essentiel. Lorsqu’un marxiste, aujour
62 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
120 ser des énigmes et fatiguer le lecteur à force de paradoxes . Je pourrais aussi essayer d’énumérer une foule d’exemples d’actes. J
121 nous approcher de cette mort. Et voici le dernier paradoxe  : c’est cet instant où nous touchons la mort qui recrée notre vie tem
63 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
122 ité et de la réalité, voir Meyerson). Il n’y a de paradoxe épistémologique que pour qui refuse d’aborder le problème de la conna
123 nt qu’acte, elle est l’improbabilité essentielle. Paradoxe que M. Meyerson a décrit sous le nom de paradoxe épistémologique. » (
124 Paradoxe que M. Meyerson a décrit sous le nom de paradoxe épistémologique. » (Arnaud Dandieu). a. « L’Acte comme point de dép
64 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
125 démagogues et philosophes — qui saura vivifier le paradoxe d’un rationalisme enthousiaste, c’est elle qui gagnera la vraie batai
126 ationnel de l’acquis : enrichissement. Tel est le paradoxe que les systèmes de Hegel et de Comte vont résoudre magistralement. H
127 uple trône et autel. Mais les mots dissimulent le paradoxe . 14. Discours du Trône, mars 1830. 15. Voir sur ce point ma Politi
65 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
128 ure communiste devrait dorénavant s’organiser (le paradoxe est soutenable) se substitue dans les esprits les plus vivants à l’id
66 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
129 r l’inactualité des décrets de l’esprit — premier paradoxe  — a-t-elle pu s’imposer à des peuples entiers, alors que — second par
130 imposer à des peuples entiers, alors que — second paradoxe  — les clercs qui la défendent paraissent irrémédiablement séparés de
131 it comme à la fois créateur et déterminé. Mais ce paradoxe a cessé depuis longtemps d’être essentiel. Lorsqu’un marxiste, aujour
67 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
132 ser des énigmes et fatiguer le lecteur à force de paradoxes . Je pourrais aussi essayer d’énumérer une foule d’exemples d’actes. J
133 nous approcher de cette mort. Et voici le dernier paradoxe  : c’est cet instant où nous touchons la mort qui recrée notre vie tem
68 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
134 le s’est constituée, soit capable de concevoir ce paradoxe ou ce scandale d’une éternité seule actuelle ? C’est un mystère plus
135 une prière précise et instante, ne vit-il pas ce paradoxe et ce mystère : croire que « l’Éternel est vivant », croire que sa vo
136 suffit à établir pour le chrétien la vérité d’un paradoxe que Luther n’a pas inventé, mais qui est au cœur même de l’Évangile.
137 me le répète Luther —, ce que nous nommons ici un paradoxe demeure une pure et simple absurdité. Mais alors, on peut se demander
138 on du Dieu qui sauve.) La similitude étonnante du paradoxe luthérien et du paradoxe nietzschéen ne saurait être ramenée à quelqu
139 similitude étonnante du paradoxe luthérien et du paradoxe nietzschéen ne saurait être ramenée à quelque influence inconsciente,
69 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
140 se). Mettre en forme ce qui nous défait, c’est le paradoxe génial, l’audace comme malgré soi re-créatrice d’un Chamisso. Les ama
70 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
141 Et l’on sait que Nietzsche lui-même aboutit à un paradoxe tout semblable à celui de Luther : la liberté est à ses yeux dans la
71 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
142 n écrivain est par nature un empêtré. Et voilà le paradoxe et l’injustice : c’est qu’on attend, qu’on exige même de ces gens-là
72 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
143 n écrivain est par nature un empêtré. Et voilà le paradoxe et l’injustice : c’est qu’on attend, qu’on exige même de ces gens-là
73 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
144 je pose au prolétaire, il n’y a qu’un cheveu. ⁂ Paradoxes . — Un intellectuel chômeur n’est pas un homme démoralisé par la priva
145 n écrivain est par nature un empêtré. Et voilà le paradoxe et l’injustice : c’est qu’on attend, qu’on exige même de ces gens-là
146 es. Mais utile à soi-même, avant tout, ou par un paradoxe assez étrange, utile en soi7, le « beau travail » du vivre goethéen n
74 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
147 en eux ne semblait préparer. On peut le dire sans paradoxe  : Israël n’eût pas eu d’histoire sans la promesse que Dieu fit à Abra
75 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
148 le s’est constituée, soit capable de concevoir ce paradoxe ou ce scandale d’une éternité seule actuelle ? C’est un mystère plus
149 une prière précise et instante, ne vit-il pas ce paradoxe et ce mystère : croire que « l’Éternel est vivant », croire que sa vo
150 uffit à établir, pour le chrétien, la vérité d’un paradoxe que Luther n’a pas inventé, mais qui est au cœur même de l’Évangile.
151 mme le répète Luther — ce que nous nommons ici un paradoxe demeure une pure et simple absurdité. Mais alors, on peut se demander
152 on du Dieu qui sauve.) La similitude étonnante du paradoxe luthérien et du paradoxe nietzschéen ne saurait être ramenée à quelqu
153 similitude étonnante du paradoxe luthérien et du paradoxe nietzschéen ne saurait être ramenée à quelque influence inconsciente,
76 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
154 d’esprit civique, pour tout dire. Par un curieux paradoxe , c’est le régime national-socialiste qui est en train de leur faire d
77 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
155 ation indivisible de l’homme libre mais relié, le paradoxe vivant et vivifiant de l’un pour tous, tous pour un ! Ainsi, dès l’or
78 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
156 a part du feu, et l’on va même parfois jusqu’à ce paradoxe de présenter la passion amoureuse comme le couronnement d’un hymen id
79 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Page d’histoire (novembre 1938)
157 re européen furent les premiers à s’apercevoir du paradoxe politique que nous venons de définir. Ils eurent l’habileté de baser
80 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
158 n plus par la morale, mais par l’amour. 6. Les paradoxes de l’Occident Ces quelques remarques sur la passion et le mariage
81 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
159 d’esprit civique, pour tout dire. Par un curieux paradoxe , c’est le régime national-socialiste qui est en train de leur faire d
82 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
160 l ne lui déplait pas de se faire le champion d’un paradoxe . Tristan aime sa passion, explique-t-il. Il n’aime pas Iseut de chari
83 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
161 oyaume du Silence absolu ; et pourtant — voici le paradoxe —, nous voyons bien que les grands mystiques, et après eux les romant
162 ssi que s’y révèle une maladie de la personne. Le paradoxe de l’expression d’un Indicible est tellement essentiel au romantisme
84 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
163 difiée depuis lors. Dès les premiers instants, le paradoxe technique de ce drame m’était clairement apparu : il s’agissait de pe
85 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
164 sie provençale et l’arabe pour soutenir un pareil paradoxe . Mais Schlegel prouvait de la sorte que cette double ignorance était
86 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
165 ême s’était civilisée, dans toute la mesure où le paradoxe est soutenable. Le duel des chefs était fort en honneur, et suffisait
87 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
166 a part du feu, et l’on va même parfois jusqu’à ce paradoxe de présenter la passion amoureuse comme le couronnement d’un hymen id
88 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
167 on plus par la morale, mais par l’amour. 6.Les paradoxes de l’Occident Ces quelques remarques sur la passion et le mariage
89 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
168 . Ces hommes nouveaux apparaissent donc comme des paradoxes vivants, et cependant nous savons bien que leur libération et leur se
169 effet, la personne chrétienne était une sorte de paradoxe  : elle unissait l’individu libre et la persona ou fonction sociale, d
170 aque homme. Notez bien que nous retrouvons ici le paradoxe essentiel de la personne : à la fois libre et engagée, distincte et r
171 ctrine peut-il comprendre mieux que tout autre le paradoxe politique du fédéralisme : la liberté de chacun dans une action commu
172 s autres, qu’ils n’ont pas encore bien compris le paradoxe vivant que représente, en chacun de nous, la personne : l’homme qui s
90 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
173 il a tout sacrifié au salut de la communauté. Le paradoxe central d’une pièce sur Nicolas, sa tension créatrice, réside donc da
174 spectaculaire de cette donnée propose un nouveau paradoxe  : je dispose d’une scène de 30 mètres de largeur, qui ne peut être oc
91 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
175 sie provençale et l’arabe pour soutenir un pareil paradoxe . Mais Schlegel prouvait de la sorte que cette double ignorance était
176 Dieu — sitôt qu’on aura décidé de lui céder. (Ce paradoxe annonce l’amor fati de Nietzsche.) Quand Béroul limitait à trois ans
177 e la dualité, de la distinction des personnes. Ce paradoxe essentiellement manichéen sous-tend l’immense poème du Rhénan. Gottfr
92 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
178 même s’était civilisée dans toute la mesure où le paradoxe est soutenable. Le duel des chefs était fort en honneur, et suffisait
93 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
179 a part du feu, et l’on va même parfois jusqu’à ce paradoxe de présenter la passion amoureuse comme le couronnement d’un hymen id
94 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
180 on plus par la morale, mais par l’amour. 6.Les paradoxes de l’Occident Ces quelques remarques sur la passion et le mariage
95 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
181 sie provençale et l’arabe pour soutenir un pareil paradoxe . Mais Schlegel prouvait de la sorte que cette double ignorance était
182 Dieu — sitôt qu’on aura décidé de lui céder. (Ce paradoxe annonce l’amor fati de Nietzsche.) Quand Béroul limitait à trois ans
183 e la dualité, de la distinction des personnes. Ce paradoxe essentiellement manichéen sous-tend l’immense poème du Rhénan. Gottfr
96 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
184 même s’était civilisée dans toute la mesure où le paradoxe est soutenable. Le duel des chefs était fort en honneur, et suffisait
97 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
185 a part du feu, et l’on va même parfois jusqu’à ce paradoxe de présenter la passion amoureuse comme le couronnement d’un hymen id
98 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
186 on plus par la morale, mais par l’amour. 6.Les paradoxes de l’Occident Ces quelques remarques sur la passion et le mariage
99 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
187 en a besoin plus que nul autre. Sa devise est un paradoxe qu’il n’a pas toujours bien compris. Elle exclut en principe toute do
100 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
188 . Ces hommes nouveaux apparaissent donc comme des paradoxes vivants, et cependant nous savons bien que leur libération et leur se
189 effet, la personne chrétienne était une sorte de paradoxe  : elle unissait l’individu libre et la persona ou fonction sociale, d
190 s Son plan. Notez bien que nous retrouvons ici le paradoxe essentiel de la personne : à la fois libre et engagée, distincte et r
191 ctrine peut-il comprendre mieux que tout autre le paradoxe politique du fédéralisme : la liberté de chacun dans une action commu
192 t les autres, qu’ils n’ont encore rien compris au paradoxe vivant que représente en chacun de nous, la personne : l’homme qui sa