1
jeunes songent que dans une Europe vieillie, les
parfums
puissants de l’Asie sauront encore éveiller de beaux rêves. Il y a ce
2
e. Mais ses fleurs de cristal, si elles sont sans
parfum
, ne se faneront pas. t. « Jean Cocteau : Rappel à l’ordre (Stock, P
3
notre monde à ce chant. L’odeur du fleuve est son
parfum
, le soleil rouge sa douleur. Les bœufs blancs, les roues peintes du c
4
lants remontent sur notre rive. Fraîcheur humide,
parfums
à peine sensibles, bruissement vague des roseaux aux feuilles sèches…
5
des ombres informes et des harmonies troubles de
parfums
et de courbes compliquées. Nous secouons un sortilège pénétrant comme
6
l’essence obtenue, si elle est de rose, est sans
parfum
. (Tout de même, Cocteau est un poète : j’en verrais une preuve, pou
7
ssement violent d’une immense fleur palpitante au
parfum
de passions, c’est une atmosphère toute chargée d’éclairs qui nous at
8
de cette fin d’après-midi, ces musiquettes et ces
parfums
de fleurs et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l
9
de la fin d’un après-midi, ces musiquettes et ces
parfums
de fleurs et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l
10
des frères racontait tout ce qui était arrivé, un
parfum
de millions de roses se répandit dans les airs, tandis qu’au sommet d
11
de la fin d’un après-midi, ces musiquettes et ces
parfums
de fleurs et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l
12
des frères racontait tout ce qui était arrivé, un
parfum
de millions de roses se répandit dans les airs, tandis qu’au sommet d
13
r de buanderie et ce relent de fauves de certains
parfums
de femmes, rien que pour regarder des êtres, et vivre un moment auprè
14
s, par leur tenue avachie ou insolente, par leurs
parfums
et leurs odeurs de bêtes sales, tantôt ils me tentaient par cela même
15
r de buanderie et ce relent de fauves de certains
parfums
de femmes, rien que pour regarder des êtres et vivre un moment auprès
16
aux devantures illuminées en plein midi, dans un
parfum
de sapin frais. « O Heil’ge Nacht ! », ô sainte nuit d’intimité, où d
17
nez autans ! soufflez sur mon jardin pour que ses
parfums
se répandent ! » Et saint Jean de la Croix : « Viens, Auster qui réve
18
nez autans ! soufflez sur mon jardin pour que ses
parfums
se répandent ! » Et saint Jean de la Croix : « Viens, Auster qui réve
19
nez autans ! soufflez sur mon jardin pour que ses
parfums
se répandent ! » Et saint Jean de la Croix : « Viens, Auster qui réve
20
r l’édition et sur la librairie, sur la vente des
parfums
, sur l’activité de millions d’avocats et de médecins, sur les magazin
21
r l’édition et sur la librairie, sur la vente des
parfums
, sur l’activité de millions d’avocats et de médecins, sur les magazin
22
r l’édition et sur la librairie, sur la vente des
parfums
, sur l’activité de millions d’avocats et de médecins, sur les magazin
23
l. Et partout, dans tous ces sanctuaires, le même
parfum
de chêne ciré, de luxe, de dignité, de dévotion correcte… Le goût
24
de la fin d’un après-midi, ces musiquettes et ces
parfums
de fleurs et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l
25
des frères racontait tout ce qui était arrivé, un
parfum
de millions de roses se répandit dans les airs, tandis qu’au sommet d
26
r de buanderie et ce relent de fauves de certains
parfums
de femmes, rien que pour regarder des êtres et vivre un moment auprès
27
s, par leur tenue avachie ou insolente, par leurs
parfums
et leurs odeurs de bêtes sales, tantôt ils me tentaient par cela même
28
aux devantures illuminées en plein midi, dans un
parfum
de sapin frais. « O Heil’ge Nacht ! », ô sainte nuit d’intimité, où d
29
fleurs, hauts comme des chênes d’Europe, dômes de
parfums
, et des forêts où quand je claque des mains des vols de perroquets s’
30
au pied des barrancas sur le Rio calme et violet.
Parfums
, douceur humide de l’air et des branchages, une sorte de magnificence
31
l. Et partout, dans tous ces sanctuaires, le même
parfum
de chêne ciré, de luxe, de dignité, de dévotion correcte… Un dimanc
32
ès qu’il s’agit d’autre chose que de peinture, de
parfums
, ou de vins du cru ? J’ai dit que nous sommes trois-cents-millions à
33
ur des torches et dans l’encens des cassolettes à
parfum
. Tel est donc le spectacle offert par les premières assises du christ
34
ur des torches et dans l’encens des cassolettes à
parfum
. Tel est donc le spectacle offert par les premières assises du christ
35
ines les métaux les plus utiles. Restent donc les
parfums
et les pierres précieuses quelle est obligée de tirer du dehors, mais
36
se déversant à flots, la séduction fascinante des
parfums
, et le goût impeccable du service saisirent les convives qui entraien
37
se déversant à flots, la séduction fascinante des
parfums
, et le goût impeccable du service saisirent les convives qui entraien
38
de Jésus de ses cheveux, les baise et les oint de
parfum
. Le pharisien se dit en lui-même : Si cet homme était un prophète, il
39
ines les métaux les plus utiles. Restent donc les
parfums
et les pierres précieuses qu’elle est obligée de tirer du dehors, mai
40
ie, l’ambre de la Baltique pour les perles et les
parfums
arabes, l’or d’Ophir pour l’étain de Thulé. Et maintenant voilà ce qu
41
à peine voulue… Furtifs retours : un visage, les
parfums
d’une maison rustique ; une rue de Paris où l’on se hâte vers l’école
42
Ah ! je veux Dans la vasque puiser, à travers le
parfum
de tes fleurs, et répandre, Sur le sol où renaît la prairie, l’eau sa